VIDEO

Depuis un forum au Portugal, la présidente de la Banque centrale européenne a reconnu que l’inflation était un défi pour sa politique monétaire. Sa préoccupation : relever les taux sans plonger la zone euro dans la récession.
La présidente de la banque centrale européenne s'est attaquée frontalement aux cryptomonnaies qui, selon elle, «ne valent rien». Avec l'idée de voir un jour l'émergence d'un euro numérique dont la BCE aurait le contrôle.
La hausse brutale des taux d'intérêt menace la stabilité financière des Etats largement endettés de la zone euro. Certains indicateurs, comme l’écart entre les taux allemands et ceux d’autres pays, rappellent la crise de la dette de 2010.
Stimulée par la hausse des prix de l’énergie, l’inflation a atteint en Espagne son plus haut niveau depuis décembre 1986. Pour l’ensemble la zone euro, la Banque centrale européenne a relevé sa prévision de hausse des prix de +3,2% à +5,1%.
La présidente de la BCE a été promue commandeur de l'ordre national du Mérite par le président. Quelques jours plus tôt, selon Les Echos, Nicolas Sarkozy aurait soufflé à Emmanuel Macron le nom de Christine Lagarde comme potentiel Premier ministre.
Dans cet épisode de C’est Cash, Estelle Farge et Olivier Delamarche se questionnent sur une suppression de la dette détenue par la Banque Centrale Européenne.
Après des années de largesses, les grandes Banques centrales entament la normalisation de leurs politiques monétaires. Mais comment agir sur les vannes du crédit sans peser sur une croissance qui s’essouffle déjà, comme c’est le cas en Europe ?
Dans sa chronique éco, Jacques Sapir est revenu sur le 20e anniversaire de l’euro, introduit en janvier 2002, et ses conséquences sur l’économie, y compris sur la perte de revenus des Français ou encore sa compétitivité face au dollar américain.
La monnaie unique européenne va bientôt fêter son vingtième anniversaire. Pour l’occasion, la Banque centrale va lancer une consultation visant à modifier l’aspect des billets afin que les Européens puissent s’y identifier plus facilement.
Malgré une situation économique meilleure qu’il y a six mois, la Banque centrale européenne (BCE) estime que la lenteur du rythme de la vaccination contre le Covid-19 dans certaines parties du monde pourrait menacer la stabilité financière.
Alors que la hausse des prix, entraînée par celle des cours de l’énergie, a atteint 3,4% sur un an, bien au-delà du seuil estimé souhaitable de 2%, la BCE a pour le moment maintenu inchangée sa politique monétaire accommodante.
La Banque centrale se donne deux ans pour se préparer au lancement éventuel d’un euro numérique. Il ne s’agira toutefois pas d’une crypto-monnaie soumise à des fluctuations de marché et Francfort en garderait le contrôle exclusif.
Le Conseil d’analyse économique, rattaché au Premier ministre, suggère la distribution de «monnaie hélicoptère» comme moyen pour la BCE d'écarter la menace de déflation. Le gouverneur de la Banque de France a déjà exprimé son hostilité à cette idée.
Sans parler ouvertement d’augmenter la dette commune, Philip Lane plaide dans une interview accordée au journal Le Monde pour une «union budgétaire plus étroite» en Europe afin de moins s’inquiéter des déficits.
Après les tribunes d’économistes ou d'hommes politiques dans les médias, l’Assemblée nationale se saisit du débat sur la dette publique. Une occasion pour les groupes parlementaires de préciser leur position à un an de l’élection présidentielle.
Cette semaine dans C'est Cash, Olivier Delamarche et Estelle Farge se penchent sur la récente remontée des taux d'intérêt aux Etats-Unis.
Certains acteurs classiques du monde économique s'inquiètent du succès croissant des cryptomonnaies, bitcoin en tête. Entre méfiance, tentatives de régulation, et volonté de créer leurs propres monnaies virtuelles, ceux-ci organisent leur riposte.
La présidente de la Banque centrale européenne a estimé dans les colonnes du JDD qu'une annulation de la dette Covid-19 était «inenvisageable», car contraire au traité européen. Elle a ainsi battu en brèche la proposition de certains économistes.
Le débat sur la dette publique détenue par la Banque centrale européenne enfle alors qu'une nouvelle tribune d’économistes appelle à l’annuler. Pourtant, pour certains c’est inutile, car cette dette n’existe tout simplement pas.
La Banque centrale européenne sort le grand jeu et élargit son plan de soutien à la zone euro de 500 milliards d’euros pour le porter à 1 850 milliards. Mais quelles sont les limites de cette politique ultra-généreuse ?