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Trois ONG ont porté plainte pour «complicité de crimes de guerre» contre Dassault, Thalès et MBDA France, accusées d'avoir vendu à l'Arabie saoudite et aux Emirats arabes unis des armes utilisées contre des civils dans le conflit au Yémen.
Le très médiatique écrivain français a rencontré et apporté son soutien à Maxim Marchenko, qui a pendant deux ans commandé le bataillon de volontaires ukrainiens Aïdar, accusé de crimes de guerre dans le Donbass par Amnesty International.
Des militants de l'ONG Amnesty International ont symboliquement rebaptisé «la France muette» une station de métro parisien, pour demander plus de transparence sur les ventes d'armes de Paris à des pays accusés de violations des droits de l'Homme.
Amnesty a publié un long rapport le 1er février qualifiant «d'apartheid» la politique israélienne à l'encontre des Palestiniens. L'ONG a aussi saisi la CPI pour qu'elle intègre ce crime à l'enquête déjà menée pour «crimes contre l'humanité».
L'ONG de défense des droits de l'Homme Amnesty international a mené une action matinale au siège de la FFF pour dénoncer le silence du football français sur les conditions de travail des ouvriers sur les sites de la coupe du monde 2022 au Qatar.
Des personnalités politiques ainsi que des organisations non gouvernementales sont montées au créneau après l'annulation par la justice britannique de son précédent refus d'extrader Julian Assange vers les Etats-Unis.
L'ONG a pointé le fait que moins de 8% des doses de vaccin distribuées par Pfizer l'avaient été à destination des pays à revenus faible et «intermédiaire inférieur». Pour Amnesty, l'entreprise a volontairement camouflé sa distribution inégalitaire.
Un rapport d'Amnesty dénonce l'utilisation de la pandémie par certains gouvernements pour restreindre la liberté d'expression. Si la Chine ou la Russie sont pointées du doigt, d'autres pays, comme l'Australie, semble passer sous les radars de l'ONG.
Frédéric Taddeï reçoit l’historien Sébastien Ledoux pour son livre «La nation en récit», chez Belin.
Amnesty International a condamné les mesures «illégales» et les «attaques non justifiées» commises par les forces israéliennes alors que les heurts se multiplient à Jérusalem-Est. De son côté, Israël dément tout abus.
Fin février, Amnesty International décidait de cesser les références à Alexeï Navalny comme «prisonnier d'opinion» en raison de propos haineux qu'il avait tenus dans le passé. Visiblement gênée par l'impact de cette mesure, l'ONG a fait volte-face.
Les états d'urgence antiterroriste puis sanitaire ont restreint les libertés individuelles, déséquilibré le pouvoir judiciaire et limité le pouvoir parlementaire au profit de l'exécutif, selon Evelyne Sire-Marin, magistrate et membre de la LDH.
La nouvelle secrétaire générale de l'ONG Amnesty international Agnès Callamard met notamment en cause les restrictions au droit de manifester et la politique étrangère de la France – y compris le retour au cas par cas des enfants de djihadistes.
L'ONG Amnesty international a annoncé que 14 personnes – dont au moins deux civils – ont été tuées dans ville de Bambari à l'intérieur d'un édifice religieux, en marge d'affrontements entre les forces pro-gouvernementales et des groupes armés.
Avant de devenir une icône médiatique dans certains pays occidentaux, l'opposant russe comparait les musulmans du Caucase à des cafards. Des propos dénoncés par Amnesty international qui continue néanmoins à réclamer la libération d'Alexeï Navalny.
Charges sans sommation, arrestations sans poursuites...un rapport d'Amnesty International s'inquiète de la stratégie employée par les forces de l'ordre lors de la manifestation du 12 décembre à Paris contre la loi Sécurité globale.
L'ONG affirme que du matériel de fabrication française a été utilisé par les forces de l'ordre du pays afin de réprimer des manifestations, et appelle par conséquent la France à ne plus autoriser des transferts d'armes vers le Liban.
Amnesty estime qu'Israël doit «arrêter d'ignorer ses obligations internationales en tant que puissance occupante» en s'assurant que des vaccins contre le Covid-19 soient fournis aux Palestiniens. Ceux-ci doivent en recevoir en février grâce à l'OMS.
Le quai d'Orsay a demandé la «libération rapide» de Loujain al-Hathloul condamnée à cinq ans et huit mois de prison en Arabie Saoudite. La militante des droits de l'Homme a été condamnée pour s'être mobilisée pour obtenir le droit de conduire.
21 ressortissants irakiens condamnés à mort pour terrorisme ont été exécutés dans le pays. Depuis fin 2017, les tribunaux du pays ont ordonné des centaines de peines capitales, y compris contre des ressortissants français.