Le Parlement australien a finalement adopté une loi obligeant les géants du Net à rémunérer les éditeurs de presse pour les contenus diffusés via les plateformes numériques comme Google et Facebook. Une première mondiale.
Après une bataille entre Facebook et le gouvernement australien autour d'une loi visant à réguler les relations entre les médias traditionnels en difficulté financière et les géants du net, un accord a été trouvé sur les contenus d'actualité.
Quelques semaines après s'être vu refuser l'accès à son compte professionnel, une chercheuse en éthique et intelligence artificielle a été remerciée par Google. Que se passe-t-il dans la filiale d'Alphabet ?
Inscrite dans la loi de Finances pour 2020, la surveillance des réseaux sociaux par le fisc va débuter par une expérimentation de trois ans afin de débusquer les fraudeurs. Le Conseil constitutionnel et la CNIL émettent de nombreuses réserves.
Google s'est vu infliger le 15 février une amende de plus d'un million d'euros pour pratique commerciale trompeuse. La répression des fraudes a jugé que le classement du géant américain pouvait être confondu avec les étoiles attribuées aux hôtels.
Google a annoncé le retrait de sa boutique applicative du réseau social Parler, prisé des partisans de Donald Trump, en raison de la présence de messages «incitant à la violence». Une démarche que pourrait suivre Apple.
Les sites YouTube et des services liés à Google tels que Gmail ont fait l'objet d'une panne générale dans de nombreux pays dont la France. La plateforme de vidéos en ligne a fait savoir que l'incident était en cours de résolution.
Google et Amazon se sont vu infliger des amendes records par la Cnil en raison de leur usage de «cookies» (traceurs publicitaires) sans accord préalable des utilisateurs. Les deux groupes défendent leur «transparence» et expriment leur «désaccord».
Des géants du numérique comme Google et Facebook s'engagent de manière symbolique à «prendre leurs responsabilités» pour «une juste contribution aux impôts» dans les pays où ils sont établis.
Le PDG de la société Alphabet, propriétaire de Google, et Thierry Breton, commissaire européen chargé du numérique, ont eu une explication franche. En cause : une campagne de lobbying contre la future réglementation européenne sur les GAFA.
Le département de la Justice des Etats-Unis, suivi par 11 Etats américains, a engagé devant le tribunal fédéral de Washington des poursuites contre Google pour «violation des lois antitrust américaines», l'accusant d'abus de position dominante.
L'organisation conservatrice Project Veritas a publié une vidéo dans laquelle un cadre de Google affirme que la firme américaine biaise les résultats de son moteur de recherche afin de favoriser Joe Biden et le Parti démocrate.
Aux Etats-Unis, les commerçants ont désormais les possibilité d'ajouter une nouvelle information dans leur fiche Google, indiquant que leur boutique est «tenue par un Noir». Un moyen, selon le géant de l'internet, de soutenir les Afro-américains.
Danger pour la libre-concurrence et la démocratie selon les Démocrates, menace directe à la liberté d'expression pour les Républicains : lors de leur audition devant des membres du Congrès, les patrons des GAFA ont essuyé de nombreuses critiques.
Le gouvernement a reconnu que Google disposait de l'adresse IP des téléphones sur lesquels l'application StopCovid est utilisée, et hébergera les données de santé des Français sur des serveurs gérés par Microsoft. Un danger pour la vie privée ?
Alors que Cédric O avait considéré le coût de l'application mobile comme «négligeable», L'Obs révèle qu'elle coûterait entre 200 000 et 300 000 euros par mois. Un montant démesuré et une efficacité mise en doute par certains experts.
Le président américain a ratifié un décret visant à lever l'immunité contre toute poursuite judiciaire dont bénéficient les réseaux sociaux sur les contenus publiés par des tiers si ces derniers cessent de se comporter en simple hébergeur.
Abandonnée en 2019, l’idée d’une taxe européenne sur les entreprises du numérique pourrait refaire surface sous la pression économique engendrée par l’épidémie de Covid-19. L’idée a de nouveau été évoquée par le commissaire chargé de la fiscalité.
La Cnil a donné son feu vert à la mise en place de StopCovid, l'application de traçage de contacts pour smartphones voulue par le gouvernement pour lutter contre l'épidémie du coronavirus. L'application sera utilisable sur la base du volontariat.
Alors qu'Edouard Philippe avoue ne même pas savoir si elle marcherait, l'application française StopCovid n'est toujours pas sur les rails. L'Hexagone tente d'obtenir un aménagement du protocole d'Apple pour faire fonctionner StopCovid.