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L'entreprise américaine s'est vue infliger une amende de 2 millions d'euros par le tribunal de commerce de Paris pour ses pratiques commerciales abusives envers les développeurs d'applications mobiles. Elle doit modifier son contrat de distribution.
Dans le cadre de la dernière mise à jour de son système d'exploitation iOS, le géant américain Apple propose un élargissement de la gamme d'émoticônes à la disposition de ses utilisateurs. Une annonce qui n'est pas passée inaperçue.
Le concepteur israélien du logiciel d'espionnage controversé Pegasus a annoncé qu'il allait enquêter après la révélation d'informations selon lesquelles un de ses logiciels avait servi à espionner des diplomates américains en Afrique.
Une organisation de cybersécurité a découvert que le logiciel controversé ciblait «la bibliothèque de rendu des images d'Apple, et fonctionnait contre les appareils Apple iOS, MacOS et WatchOS», les systèmes d'exploitation de la marque à la pomme.
612 entreprises et associations du secteur technologique ont dépensé 97 millions d'euros par an depuis 2019 en lobbying auprès de Bruxelles, selon un rapport de CEO et LobbyControl. Un tiers de ce budget est financé par dix entreprises seulement.
Sous la pression de nombreux utilisateurs et d'ONG, le géant du numérique a ajourné de plusieurs mois le lancement de ces outils destinés à lutter contre la pédopornographie, mais accusés de porter atteinte à la confidentialité des données privées.
Le lanceur d'alerte américain a mis en garde contre de nouvelles technologies d'Apple – un projet pour l'instant retardé par la firme – qui créent selon lui un dangereux précédent en permettant potentiellement de scanner le contenu d'un téléphone.
Les députés sud-coréens ont adopté le 31 août une loi qui contraint Apple et Google à renoncer à leur monopole sur les systèmes de paiement pour l'achat d'applications. Une loi similaire a été déposée aux Etats-Unis par trois sénateurs.
Le géant du numérique se servira d'iMessage, de Siri et d'iCloud afin de lutter contre les prédateurs sexuels et la pédopornographie. Les outils utilisés font craindre des dérives potentielles concernant la protection des données personnelles.
Google est visé aux Etats-Unis par plusieurs Etats pour «monopole illégal» dans l'accès aux applications mobile via sa boutique Play Store. Selon la procureur, le groupe «étouffe des millions de petites entreprises qui essayent juste de rivaliser».
Après avoir été supprimé du magasin d'applications de la marque à la pomme, Parler a fait son retour le 17 mai sur l'App Store. Une décision saluée par le réseau social, qui estime avoir montré patte blanche au Congrès américain et au grand public.
L'Agence anti-monopole russe a condamné Apple à une amende de 12 millions de dollars (10 millions d'euros) pour avoir «abusé de sa position dominante» dans la distribution d'applications mobiles. Apple a annoncé faire appel de cette amende.
Danger pour la libre-concurrence et la démocratie selon les Démocrates, menace directe à la liberté d'expression pour les Républicains : lors de leur audition devant des membres du Congrès, les patrons des GAFA ont essuyé de nombreuses critiques.
Le géant américain du numérique a fustigé les demandes d’informations formulées à son adresse par la Commission européenne. D'après lui, les documents requis sont «sans rapport avec leur enquête» et contiennent «des informations privées».
Les juges européens ont annulé la décision de la Commission européenne qui avait sommé, à l'été 2016, la société Apple de rembourser à l'Irlande 13 milliards d'euros d'avantages fiscaux jugés indus par Bruxelles.
Alors que Cédric O avait considéré le coût de l'application mobile comme «négligeable», L'Obs révèle qu'elle coûterait entre 200 000 et 300 000 euros par mois. Un montant démesuré et une efficacité mise en doute par certains experts.
Abandonnée en 2019, l’idée d’une taxe européenne sur les entreprises du numérique pourrait refaire surface sous la pression économique engendrée par l’épidémie de Covid-19. L’idée a de nouveau été évoquée par le commissaire chargé de la fiscalité.
L'application StopCovid, dont la mise en place devra être débattue par les députés, sera prête le 2 juin : c'est ce qu'a déclaré le secrétaire d'Etat au numérique Cédric O.
Alors qu'Edouard Philippe avoue ne même pas savoir si elle marcherait, l'application française StopCovid n'est toujours pas sur les rails. L'Hexagone tente d'obtenir un aménagement du protocole d'Apple pour faire fonctionner StopCovid.
Les deux géants des Gafa, Google et Apple, ont annoncé leur alliance pour permettre le traçage numérique des personnes infectées par le coronavirus afin de prévenir la propagation de l'épidémie.