Une forte explosion a touché un immeuble du centre de Madrid, causant d'importants dommages. La cause du drame est pour l'instant inconnue, mais il pourrait s'agir d'une fuite de gaz. Il y a quatre morts.
Construit en un temps record, un nouvel hôpital public a été inauguré le 1er décembre à Madrid. Destiné à soulager le réseau sanitaire de la capitale espagnole, mis à rude épreuve par le Covid-19, il est pourtant au cœur d'une vaste polémique.
Un haut tribunal de Madrid a rejeté le 8 octobre le bouclage partiel de la capitale espagnole et de neuf communes voisines imposé par les autorités pour tenter de freiner la deuxième vague de Covid-19.
Après l'annonce du gouvernement espagnol d'un nouveau plan de lutte contre le Covid-19 prévoyant des restrictions pour toute la région de Madrid, dont un reconfinement partiel, les autorités madrilènes ont annoncé leur refus de l'appliquer.
La Communauté de Madrid a annoncé la mise en place de restrictions strictes dans certaines zones de la région, pour lutter contre la propagation du Covid-19. Des mesures qui ont donné lieu à des vagues de protestation dans la ville.
Dénonçant des restrictions à leur liberté après le durcissement des mesures visant à empêcher un rebond de la pandémie de Covid-19, des Espagnols se sont réunis pour protester dans leur capitale.
Les bourses de Paris, Francfort, Londres, Madrid et Zurich ont toutes chuté à cause de la propagation de l'épidémie de coronavirus. La directrice du FMI estime que le virus Covid-19 pourrait «mettre en péril» la reprise de l'économie mondiale.
Après sa visite en France, Juan Guaido s'est rendu en Espagne où il a été reçu par la ministre des Affaires étrangères, mais pas par le chef du gouvernement socialiste. Ce qui a valu à Pedro Sanchez une volée de bois vert de l'opposition de droite.
Le ministre espagnol de la Sécurité sociale, de l'inclusion et des migrations estime que son pays aura besoin de plusieurs millions de migrants dans les années à venir et que les pays voisins doivent se préparer à une intégration massive.
Des milliers de personnes ont manifesté dans plusieurs villes espagnoles, afin de dénoncer l'accord conclu entre le futur gouvernement de Pedro Sanchez et certains indépendantistes catalans. Ils répondaient à l'appel du parti de droite radicale Vox.
Le 24 novembre, six Femen, ont tenté d'interrompre un rassemblement d'extrême droite à Madrid. Les activistes féministes ont rapidement été arrêtées par les forces de l’ordre.
Des milliers de brebis, moutons et chèvres ont traversé Madrid le 20 octobre, dans le cadre du défilé annuel «Fête de la Transhumance».
Au micro de RT France, Manuel Valls, candidat malheureux à la mairie de Barcelone, a exprimé son opposition ferme et sans concession aux velléités d'indépendance de la Catalogne.
Une structure opaque et des dirigeants inconnus : la plateforme Tsunami Democràtic qui mobilise des milliers d'indépendantistes catalans via l'application Telegram, a pris de court les autorités espagnoles. Son origine soulève des interrogations.
La situation s'envenime en Catalogne où les manifestations se succèdent après la condamnation à des peines de prison de leaders indépendantistes. Madrid promet de réagir avec «fermeté», alors que les manifestants vont entamer une grève générale.
Le nouveau maire de Madrid, élu en battant la gauche, a choqué un auditoire d'enfants en assurant qu'il préférerait donner de l'argent pour la reconstruction de la cathédrale Notre-Dame que pour préserver la forêt amazonienne.
La bataille d’eau organisée chaque année à Madrid a attiré ce 15 juillet des milliers de personnes. Cette coutume date de 1981, lorsque pour la première fois des jeunes gens ont décidé de se rafraîchir dans la chaleur suffocante de l'été.
L'ancien Premier ministre français, défait lors des élections municipales à Barcelone, aurait entamé des négociations avec le PSOE afin de remplacer Josep Borrell aux Affaires étrangères.
Manuel Valls, pour faire barrage à l'indépendantiste catalan Ernest Maragall aux élections municipales à Barcelone, a décidé de soutenir la maire sortante de gauche. Contre l'avis des libéraux Ciudadanos, qui l'ont aussitôt exclu.
Alors que l'Elysée remet en question la collaboration de LREM avec les centristes espagnols au parlement européen en cas d'alliance locale avec des nationalistes, le chef du parti populiste de droite Vox a réagi dans un message au vitriol.