Lydia Guirous, essayiste, ancienne porte-parole des Républicains, et Georges Kuzmanovic, fondateur de République souveraine, reviennent sur la condamnation de François Fillon et les critiques visant l'indépendance de la justice.
Yves d'Amécourt, conseiller Régional LR et Denis Demonpion, éditorialiste politique s’exprimaient au sujet du procès Fillon dont le jugement a été rendu ce 29 juin : l'ancien Premier ministre a été condamné à cinq ans de prison, dont deux ferme.
L'ancien Premier ministre François Fillon a été condamné à cinq ans de prison, dont deux ferme, dans l'affaire des emplois fictifs de son épouse Penelope qui avait fait dérailler sa campagne présidentielle il y a trois ans.
Le député LR va déposer une proposition de loi pour «supprimer» le PNF, jugeant que ce qu'ont «subi» François Fillon et Nicolas Sarkozy n'était pas conforme à une «justice équitable, totalement indépendante des pressions et du contexte politique».
Emmanuel Macron a décidé de saisir le Conseil supérieur de la magistrature pour «lever tout doute sur l’indépendance et l’impartialité de la justice» lors de l'enquête sur l'affaire Fillon. Y aurait-il ainsi une justice politique en France ?
Emmanuel Macron a décidé de saisir pour avis le Conseil supérieur de la magistrature, selon l'Elysée ce 19 juin dans la soirée, pour «lever tout doute sur l’indépendance et l’impartialité de la justice» lors de l'enquête sur l'affaire Fillon.
Du RN à LFI en passant par LR, l'opposition a crié au scandale après les déclarations de l'ancienne cheffe du parquet national financier révélant avoir subi des «pressions» de sa hiérarchie dans la conduite de l'enquête sur l'affaire Fillon.
Les dernières audiences du procès des époux Fillon et du suppléant Marc Joulaud ont eu lieu le 11 mars en attente d'un jugement qui interviendra le 29 juin. Les avocats de la défense ont chacun déployé leurs plaidoiries, parfois hautes en couleurs.
Trois ans après le «Penelopegate», François Fillon et son épouse sont jugés pour des soupçons d'emplois fictifs concernant cette dernière. Le parquet a requis cinq ans de prison à l'encontre de l'ex-Premier ministre.
A l'ouverture du procès de François Fillon, l'accusation n'a pas hésité à évoquer l'Ancien régime. L'ancien Premier ministre a lui promis «la vérité» à ses juges, dénonçant les «dégâts irréparables» causés selon lui par cette affaire.
Trois ans après le «Penelopegate», François Fillon et son épouse sont jugés pour des soupçons d'emplois fictifs concernant cette dernière. L'audience a été renvoyée au 26 janvier en raison de la grève des avocats contre la réforme des retraites.
Charles Consigny, avocat, s'exprime dans «Répondez, les Français Veulent Savoir !».
En entrant dans son 29e jour de grève, la mobilisation à la SNCF bat le record du front social de l'hiver 1986-1987. Les transports en commun sont toujours largement perturbés, sur le réseau SCNF mais aussi RATP, en Ile-de-France.
Dans un entretien à un média suisse, François Fillon s'est exprimé sur le mandat d'Emmanuel Macron. Pour l'homme de droite, la présidence a montré sa faiblesse en se laissant déstabiliser par un mouvement de «150 000 à 180 000 personnes».
Dans une interview accordée au Télégramme, le président de l'Assemblée nationale a confirmé qu'il ne démissionnerait pas après sa mise en examen. Il s'est dit «serein et déterminé», insistant sur le fait qu'un «mis en examen n’est coupable de rien».
Deux ans après l'ouverture d'une enquête fatale à la campagne présidentielle de François Fillon, le parquet national financier a requis un procès en correctionnelle pour l'ex-candidat de la droite et son épouse, soupçonnés d'emplois fictifs.
L'ancien Premier ministre français François Fillon et l'actuel président russe Vladimir Poutine entretiennent de bonnes relations et ont gardé contact depuis qu'ils ont dirigé le gouvernement de leur Etat respectif, durant la même période.
A l’occasion des 60 ans de la Ve République l'écrivain Denis Tillinac analyse pour RT France l'héritage laissé par Charles De Gaulle et les paradoxes de la vie politique française sous Emmanuel Macron.
François Fillon est de nouveau entendu par la justice ce 7 septembre dans l'enquête concernant les soupçons d'emplois fictifs de son épouse et de ses enfants comme assistants parlementaires. Pénélope Fillon avait été auditionnée la veille.
Dans une interview au JDD, l'ex-sénateur Les Républicains et président de l'Association des maires de France fustige les décisions budgétaires de l'exécutif. Il y voit la conséquence des «pleins pouvoirs» donnés, selon lui, à la haute administration.