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Lors d'un discours au Forum économique de Saint-Pétersbourg, le président russe a notamment reproché à la classe dirigeante de certains Etats occidentaux de vivre dans l'illusion d'une domination politique et économique du monde – désormais révolue.
Le président ukrainien a déploré les pertes «terrifiantes» de la bataille de Severodonetsk, réclamant davantage d'armes à l'Occident. Depuis plusieurs jours, les responsables ukrainiens alertent sur le nombre de leurs soldats tués dans les combats.
Les dirigeants russe, français et allemand se sont entretenus au sujet des derniers développements du conflit ukrainien. Vladimir Poutine a notamment alerté ses interlocuteurs sur «le caractère dangereux» des livraisons d'armes occidentales à Kiev.
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déploré lors d’une conférence de presse la culture de l’annulation mise en œuvre par l’Occident à l’encontre du monde russe, à rebours des valeurs exprimées à la fin de la Guerre froide.
Selon l'institut indépendant Levada, près de 83% des Russes approuvent l'action de leur président, soit une progression de 12 points depuis l'enquête précédente, réalisée avant le début de l'offensive en Ukraine.
Le président russe est monté au créneau contre les déprogrammations d'artistes et d'œuvres russes, décidées en réaction à l'opération militaire russe en Ukraine. Le chef d'Etat a établi un parallèle avec les autodafés nazis.
Cuba a sévèrement critiqué le 19 février l'«expansion» de l'OTAN aux frontières russes mais aussi l'«hystérie propagandiste» de Washington, alors que le vice-Premier ministre russe, Iouri Borissov, était en visite officielle sur l'île.
L'actuel chef de l'OTAN, le Norvégien Jens Stoltenberg, a été nommé ce 4 février à la tête de la Banque centrale de Norvège, a annoncé le ministère norvégien des Finances. Sa prise de fonction devrait être effective vers le 1er décembre.
Le président français a annoncé ce 2 février qu'il allait s'entretenir de la crise autour de l'Ukraine avec son homologue américain Joe Biden «dans les prochaines heures» et qu'il n'excluait pas de se rendre à Moscou pour discuter de ce dossier.
Lors d'un entretien téléphonique ce 2 février avec le Premier ministre britannique, le président russe a regretté que l'OTAN ne réponde pas aux inquiétudes de son pays en matière de sécurité. Des propos faisant écho à d'autres tenus la veille.
Dans des lettres que le journal El Pais dit avoir obtenues, Washington et l'Alliance atlantique formulent des réponses aux demandes de la Russie en matière de sécurité. L'OTAN n'a toutefois pas confirmé – ni infirmé – la véracité de ces documents.
En visite à Moscou, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a assuré qu'il était possible pour l'Occident et la Russie de parvenir à un accord garantissant la paix et la sécurité en Europe, malgré des «différences significatives» entre les parties.
Le Monde défend «les acquis» de la fin de la guerre froide, en oubliant que, dans de nombreux pays d’Europe orientale, les sympathies populaires ne sont nullement atlantistes, selon Pierre Lévy, du mensuel Ruptures.
L'écrivain Bernard-Henri Lévy a estimé le 27 janvier sur Fox News que l'Occident, notamment les Etats-Unis, n'avait «pas le choix» et devait réagir à ce qu'il croit être une déclaration de guerre de Vladimir Poutine en Ukraine.
Alors que les tensions sont fortes entre l'Occident et la Russie autour de l'Ukraine, Volodymyr Zelensky appelé ce 28 janvier les Occidentaux à ne pas semer la panique. Le chef d'Etat ukrainien craint pour la stabilité économique de son pays.
Le directeur du renseignement extérieur russe considère que ses homologues occidentaux ont constaté une baisse d'intérêt de la population russe pour l'opposant Alexeï Navalny. Partant, ils chercheraient un opposant «qui pourrait le remplacer».
Vladimir Poutine a défendu, lors d'un discours au Club Valdaï, le modèle russe face à celui des Occidentaux qui se positionnerait notamment dans un «effacement agressif de pages entières de leur propre histoire» et dans «la discrimination inversée».
Philippe Mesnard analyse pour RT France les nouvelles attaques universitaires visant l'Occident : il ne suffit plus désormais à ce dernier de se repentir, encore faut-il qu'il aille jusqu’à détruire son passé en ne l’enseignant plus…
Alors que les dirigeants du G7 affirment voir des opportunités en matière de «multilatéralisme» sous Joe Biden, le chef de la diplomatie russe déplore l'absence de volonté de leur part d'établir un dialogue sur la base de l'égalité.
Selon Vladimir Poutine, les pays occidentaux utilisent la figure d'Alexeï Navalny dans l'objectif d'«endiguer» la Russie, car ils sont irrités par ses succès militaires et sanitaires dans un contexte mondial d'«épuisement et de grande frustration».