CRISE EN ARMENIE

Le chef de file de Podemos Pablo Iglesias a annoncé qu'il quittait la politique après la large victoire de la candidate de la droite Isabel Díaz Ayuso, qui s'est démarquée par son hostilité aux restrictions sanitaires.
Lâché par l'armée et la police, faisant face à une opposition qui conteste sa réélection et multiplie les troubles, Evo Morales a présenté sa démission. Nombre de figures de la gauche latino-européenne et européenne ont dénoncé un«coup d'Etat».
En proie à une instabilité politique depuis 2015, l'Espagne retourne aux urnes le 10 novembre, pour la quatrième fois en quatre ans. Toutefois, aucune formation politique ne semble dessiner une majorité absolue.
Figure de proue de la contestation anti-système en Espagne, Pablo Iglesias, qui dirige le groupe Podemos, est attaqué sur le sujet de son patrimoine : une villa récemment acquise pour une valeur de 600 000 euros. Jean-Luc Mélenchon s'insurge.
Le candidat de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, a souhaité «ne pas interrompre le processus de la démocratie» et aller à la rencontre de ses soutiens, à Paris, à l’occasion d’un nouvel «apéro insoumis», à Paris.
Le parti de gauche veut véhiculée une image innovante et dynamique à deux semaines des élections espagnoles lors desquelles Podemos devrait se faufiler devant les socialistes du PSOE, selon dans les sondages.
Le chef du parti de gauche radicale Podemos Pablo Iglesias a proposé vendredi de former un gouvernement avec le parti socialiste, rapprochant la gauche du pouvoir en Espagne après les élections du 20 décembre.
Pour illustrer leur volonté de rejeter les privilèges traditionnellement accordés aux acteurs de la vie politique, les 69 députés du parti de la gauche radicale Podemos ont renoncé à une partie des avantages financiers que leur confère leur poste.
Depuis l'arrivée de Jeremy Corbin à la tête du Labour, les nouveaux partisans sont très nombreux. Car Jeremy Corbyn jouit d'une popularité importante grâce à ses combats passés et un style nouveau, explique le journaliste Nathanaël Uhl.
Pablo Iglesias, leader du parti de gauche radicale espagnol, a promis mardi un «gouvernement raisonnable» s’il était porté au pouvoir après les élections législatives. Il a également fustigé les positions du président français face à l’Allemagne.
La gauche française s'est réjouie, ce week-end, de l'élection de Jeremy Corbyn à la tête du Labour. En France pourtant, l'élan de gauche qui traverse l'Europe avec Corbyn, Syriza ou Podemos, semble difficile à prendre.
Le leader du parti anti-austérité espagnol Podemos, Pablo Iglesias, s'est entouré du célèbre économiste français Thomas Piketty pour sa campagne contre l'austérité en Europe.