Les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et leurs alliés se sont mis d'accord sur une augmentation de leur production de 500 000 barils par jour en janvier, contre près de 2 millions initialement prévus.
Confrontés à une demande déprimée par la pandémie du Covid-19, les pays de l'Opep et leurs alliés ont acté le prolongement en juillet de la réduction historique de production à laquelle ils s'astreignent depuis le 1er mai.
L'Opep et ses partenaires, dont la Russie, se retrouvent ce 6 juin afin de donner suite à leur accord de réduction de la production de pétrole, censée aider un marché déprimé par la pandémie.
Les pays producteurs de pétrole ont conclu un accord sur une baisse mondiale historique de la production, de près de 10 millions de barils par jour, qui devrait entrer en vigueur le 1er mai. Conséquence de la crise du Covid-19, la demande a chuté.
L'Arabie saoudite organise une conférence exceptionnelle des pays producteurs de pétrole pour tenter d'enrayer la crise du marché énergétique, sur fond d'épidémie. Un accord entre Moscou et Riyad sur une réduction de la production est en vue.
Sourde aux appels de la diplomatie américaine à «rassurer les marchés énergétiques et financiers», l’Arabie saoudite a confirmé son intention d’augmenter sa production de pétrole brut. Des sénateurs américains parlent de «guerre économique».
L’échec des négociations entre les producteurs de pétrole de l’Opep menés par l’Arabie saoudite et les Etats non-membres comme la Russie a provoqué un effondrement des cours du brut. Les conséquences de ce désaccord s’ajoutent à l’effet coronavirus.
La deuxième visite d’Etat en Arabie saoudite du président russe a été l’occasion de renforcer la coopération entre les deux pays dans le domaine de l’énergie. Mais Moscou et Riyad ont également prévu d’augmenter leurs échanges de biens agricoles.