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Les pays producteurs de pétrole de l'Opep+ ont maintenu ce 4 décembre leur quotas de production dans un climat très incertain, à la veille de l'entrée en vigueur de nouvelles sanctions visant le brut russe.
En réponse au refus des pays de l’Opep+ de s’aligner sur les demandes de Washington en matière de production pétrolière, plusieurs élus démocrates appellent à sanctionner Riyad. Au Congrès, un projet de loi anti-Opep refait surface.
Les pays de l'Opep+ ont décidé de réduire leur production pour soutenir les prix face aux craintes de récession. Un camouflet pour le président des Etats-Unis qui s’était rendu à Ryiad pour demander une hausse de la production.
Le vice-Premier ministre russe chargé de l'Energie Alexandre Novak a estimé que les Européens seraient les premiers à être affectés par les sanctions antirusses, et notamment par l'embargo décidé par l'Union européenne pour des raisons «politiques».
Les pays producteurs de pétrole ont décidé ce 2 juin d'un accroissement des volumes d'or noir pour l'été 2022, espérant stabiliser des marchés toujours orientés à la hausse sur fond de conflit en Ukraine et d'embargo européen sur le pétrole russe.
Le ministre russe des Affaires étrangères s'est rendu en Arabie saoudite à l'approche d'un sommet des pays producteurs de pétrole, dans le contexte du conflit en Ukraine. Sur ce dossier, les pays du Golfe se distinguent par leur neutralité.
Les membres de l’Opep et leurs partenaires emmenés par la Russie, se sont mis d’accord pour augmenter chaque mois leur production globale de 400 000 barils par jour à partir d’août. Mais ils sont encore loin des niveaux d’avant la crise.
Avec le déconfinement progressif de l’économie mondiale, l’OPEP est confiante dans une remontée durable des cours du pétrole. La levée des sanctions américaines contre l’Iran et son retour parmi les exportateurs ne devraient rien y changer.
Les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et leurs alliés se sont mis d'accord sur une augmentation de leur production de 500 000 barils par jour en janvier, contre près de 2 millions initialement prévus.
Confrontés à une demande déprimée par la pandémie du Covid-19, les pays de l'Opep et leurs alliés ont acté le prolongement en juillet de la réduction historique de production à laquelle ils s'astreignent depuis le 1er mai.
L'Opep et ses partenaires, dont la Russie, se retrouvent ce 6 juin afin de donner suite à leur accord de réduction de la production de pétrole, censée aider un marché déprimé par la pandémie.
Les pays producteurs de pétrole ont conclu un accord sur une baisse mondiale historique de la production, de près de 10 millions de barils par jour, qui devrait entrer en vigueur le 1er mai. Conséquence de la crise du Covid-19, la demande a chuté.
L'Arabie saoudite organise une conférence exceptionnelle des pays producteurs de pétrole pour tenter d'enrayer la crise du marché énergétique, sur fond d'épidémie. Un accord entre Moscou et Riyad sur une réduction de la production est en vue.
Sourde aux appels de la diplomatie américaine à «rassurer les marchés énergétiques et financiers», l’Arabie saoudite a confirmé son intention d’augmenter sa production de pétrole brut. Des sénateurs américains parlent de «guerre économique».
L’échec des négociations entre les producteurs de pétrole de l’Opep menés par l’Arabie saoudite et les Etats non-membres comme la Russie a provoqué un effondrement des cours du brut. Les conséquences de ce désaccord s’ajoutent à l’effet coronavirus.
La deuxième visite d’Etat en Arabie saoudite du président russe a été l’occasion de renforcer la coopération entre les deux pays dans le domaine de l’énergie. Mais Moscou et Riyad ont également prévu d’augmenter leurs échanges de biens agricoles.