RIPOSTE

L’Eglise orthodoxe ukrainienne est la cible du pouvoir ukrainien, qui entreprend des coups de force à l'encontre de plusieurs lieux de cultes. L'ancien président Dmitri Medvedev dénonce une «persécution».
Alors que les Etats-Unis ont à nouveau exprimé leurs craintes de voir la Russie recourir à des armes atomiques, celle-ci a réaffirmé le caractère défensif de sa doctrine, et appelé à éviter tout conflit entre puissances nucléaires.
L'ancien président russe a mis en garde l'Etat hébreux contre des livraisons d'armes à l'Ukraine. Une telle mesure «détruira» les relations avec la Russie a-t-il averti, rappelant au passage, que Kiev honorait des collaborateurs des nazis.
Le vice-président de la Commission européenne a assuré que si Moscou utilisait des armes nucléaires contre l'Ukraine, la réponse militaire de l'OTAN ne serait pas nucléaire, mais si puissante que l'armée russe serait «anéantie».
Les possibles référendums d'adhésion à la Russie des Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk font «peur» à l'Occident en raison de leurs implications géopolitiques et historiques, selon l'ancien président russe Dmitri Medvedev.
L'ex-président russe a accusé le 4 septembre l'Allemagne de se comporter comme un «ennemi» qui a «déclaré une guerre hybride contre la Russie». Une réponse aux propos d'Olaf Scholtz estimant que Moscou n'était «plus un fournisseur d'énergie fiable».
Ancien président russe (2008-2012) et désormais vice-président du Conseil de sécurité de son pays, Dmitri Medvedev a accordé à LCI un entretien au cours duquel il a présenté son analyse des enjeux liés au conflit militaire russo-ukrainien.
Dans un entretien donné au Washington Post, le président ukrainien a appelé à isoler totalement la Russie en fermant ses frontières, appuyé en cela par l'Estonie, ce qui lui a valu notamment une vive réaction du Kremlin.
Dmitri Medvedev aurait payé son manque de résultats par rapport aux objectifs du programme social de Vladimir Poutine pour son quatrième mandat. Mais dans un contexte globalement défavorable, son successeur peut-il faire mieux ?
Medvedev a présenté la démission de son gouvernement à Poutine, peu après l'annonce du président d'une série de réformes constitutionnelles. Celui-ci a demandé aux ministres de rester en poste jusqu'à la nomination de leurs successeurs.
Lors de la conférence de presse à Paris, le président russe a déclaré que la décision de l’AMA d’interdire à la Russie de participer aux compétitions internationales pendant quatre ans était «politiquement motivée».
Le projet de loi contre les violences domestiques est considéré comme controversé au sein de la société russe. Si l’Eglise orthodoxe le juge «dangereux», le Premier ministre russe affirme n’avoir pas encore une position définitive sur le sujet.
Dmitri Medvedev a comparé les nouvelles accusations de dopage à l’égard de la Russie à «une série russophobe interminable». Il a quand même admis que la décision finale de l’AMA pourrait être compliquée pour la Russie.
«Nous avons de quoi être fier», a déclaré le président russe en inaugurant le dernier tronçon de l’autoroute M11 Moscou-Saint-Pétersbourg. Ce projet a été construit par un consortium réunissant le Français BTP Vinci et la banque publique russe VTB.
Vladimir Poutine a rencontré son homologue cubain à Moscou. Miguel Díaz-Canel a déclaré que malgré les menaces américaines, la Russie continuait à soutenir Cuba et le président russe a de son côté soutenu «la position indépendante de Cuba».
Moscou et Caracas ont prolongé des contrats de soutien et de conseil dans les domaines militaire et énergétique qui incluent la participation d'entreprises russes dans le pays sud-américain, a annoncé le président vénézuélien Nicolas Maduro.
Lors d'une visite à Cuba, Dimitri Medvedev a réaffirmé au président Miguel Diaz-Canel le soutien russe à son pays. L'île, sous embargo américain depuis 1962, vit une crise énérgétique d'ampleur depuis septembre.
Le Premier ministre russe a signé une résolution gouvernementale consacrant son adhésion définitive à l'accord de Paris sur le climat, peu avant l'ouverture d'un sommet de l'ONU sur l'urgence climatique. Le président français s'en est félicité.
Le Premier ministre russe est convaincu que les avancées technologiques entraîneront une réduction de la durée hebdomadaire du temps de travail. Mais la population redoute une réduction de salaires et le patronat demande un délai de 15 ans.
Alors que Vladimir Poutine et Emmanuel Macron ont exprimé une volonté de rétablir le dialogue entre les deux pays, certains formats de coopération pourraient être réactivés, sur la question sécuritaire notamment.