L'enquête de Mediapart sur Alexandre Benalla a mis au jour des éléments à l'appui d'un «dossier russe», qui pourrait s'avérer très gênant pour l'Elysée. L'ex-chargé de mission apparaît très proche d'un milliardaire russe. Ironie du sort ?
Le 31 janvier, Emmanuel Macron recevait des journalistes à l'Elysée pour donner sa vision du journalisme. Après la loi contre la «manipulation de l'information», le chef d'Etat a fait part de son souhait d'aller plus loin dans le contrôle des médias.
Lors d'une interview sur BFMTV, la dirigeante du Rassemblement national a épinglé Emmanuel Macron pour ses récentes théories sur le mouvement des Gilets jaunes. Le président de la République avait évoqué une possible ingérence étrangère.
Bruxelles a sommé les géants de l'internet de redoubler d'efforts dans leur lutte contre les fake news. Dans le même temps, l'ONG Avaaz a exhorté Facebook à agir, à quatre mois d'élections européennes qui s'annoncent difficiles... pour l'UE.
Escape News, une émission de France 4 entend sensibiliser les ados aux manipulations de l’information. Mais les exemples détaillés dans son dernier numéro mènent une charge en règle contre la Russie et RT France.
L'Opéra de Paris est revenu sur sa décision d'inviter le russo-ukrainien Sergueï Polounine, à venir danser à Paris, après des commentaires polémiques sur Instagram. La star rappelait à certains danseurs masculins qu'ils avaient «des couilles».
La Russie avait dans un premier temps été suspectée d'avoir piraté les comptes personnels de plusieurs personnalités publiques allemandes. Mais les forces de l'ordre ont identifié le coupable : un lycéen âgé de 20 ans.
Dans des documents rendus publics par des hackers se revendiquant d'Anonymous, l'ONG Institute for Statecraft, financée en partie par Londres, fournit des conseils de narration antirusse sur l'affaire Skripal, destinés notamment aux médias.
S'exprimant lors de sa conférence de presse annuelle, le président russe Vladimir Poutine a estimé que le «deux poids, deux mesures» de la communauté internationale entre l'affaire Khashoggi et l'affaire Skripal relevait de la russophobie.
Arrêtée en juillet et accusée par la justice américaine d'être une «agente» d'un gouvernement étranger, Maria Boutina risque 15 ans de prison. Vladimir Poutine a fait part de son incompréhension face aux accusations qui pèsent sur la jeune femme.
Evoquant les tensions entre la Russie et l'Ukraine, qui se traduisent par des attaques physiques contre les banques russes à Kiev, le patron de la banque russe VTB a galvanisé ses troupes en comparant l'Ukraine aux méchants de La Guerre des étoiles.
Visitant les locaux de RT France lors d'un déplacement à Paris, Sergueï Lavrov a été interrogé sur la loi contre la manipulation de l'information adoptée récemment en France. Le ministre a joué l'apaisement.
Le 3 janvier 2018, Emmanuel Macron lançait le chantier d'une loi anti «fake news» très controversée visant les médias étrangers, russes en tête. Suite à son adoption, retour sur dix mois d'un parcours législatif des plus laborieux.
Le Financial Times croit savoir que plusieurs hommes d'affaires russes seraient personae non gratae à l'occasion du Forum de Davos. Le Premier ministre russe Dmitri Medvedev a demandé au président de la Confédération hélvétique des explications.
Le ministère russe des Affaires étrangères a balayé d'un revers de main les nouvelles sanctions de Washington, sur la base du rattachement de la Crimée à la Russie. Pour Moscou, ces nouvelles sanctions n'empêcheront pas la péninsule de se développer.
Deux ans après la présidentielle, le battage visant à rendre crédible une interférence dans les élections américaines est monté d'un cran. Si les accusations restent sans preuves, elles pourraient justifier des cyberattaques... contre la Russie.
Le géopolitologue Pascal Le Pautremat a livré ce 29 octobre à RT France son analyse sur les dernières manœuvres de l’OTAN en Norvège. Selon lui, les dirigeants de l'Alliance souhaitent promouvoir une image d'une «Russie potentiellement dangereuse».
Le chef du gouvernement italien se rend à Moscou pour développer les relations bilatérales, en dépit des sanctions européennes contre la Russie. La politique pro-russe de l'Italie sera-t-elle en mesure de faire bouger les lignes jusqu'à Bruxelles ?
La Russie n'est pas la seule à faire face à la politique étrangère agressive de Washington. Pointant la tendance des Etats-Unis à vouloir punir un nombre croissant d'Etats, Vladimir Poutine estime que cette stratégie est vouée à l'échec.
Dans ce petit pays balte membre de l’UE, la classe politique entend continuer coûte que coûte son orientation atlantiste viscéralement anti-russe, analyse Pierre Lévy, rédacteur en chef du mensuel Ruptures.