BRAS DE FER

Le président syrien Bachar al-Assad signe son retour dans le giron arabe après une décennie de mise au ban. Une 32e réunion annuelle de la Ligue arabe à laquelle le président ukrainien Volodymyr Zelensky a également été invité.
Pour préparer le prochain sommet de la Ligue arabe qui se tiendra le 19 mai prochain à Djedda en Arabie saoudite, une délégation syrienne a participé pour la première fois depuis 11 ans à une session préparatoire de l'organisation régionale.
Plusieurs législateurs républicains et démocrates veulent sanctionner les pays qui ont récemment normalisé leurs relations avec Damas.
Damas et Riyad ont annoncé la reprise de leurs relations diplomatiques. Sans préciser la date, les deux pays vont rouvrir prochainement leurs ambassades. Ce réchauffement intervient après la réintégration de la Syrie au sein de la Ligue arabe.
La Ligue arabe a accepté de lever la suspension de la Syrie de l'organisation. Cette décision devrait être entérinée lors du prochain sommet de la Ligue qui doit avoir lieu le 19 mai dans la capitale saoudienne.
La Jordanie a accueilli un sommet arabe en présence du chef de la diplomatie syrienne pour discuter du probable retour de Damas dans la Ligue arabe. Les délégations ont notamment mis l'accent sur l'importance du retour des réfugiés syriens.
Bachar el-Assad a été reçu en grande pompe par le sultan Haïtham ben Tariq. Fidèle à sa politique non-interventionniste, Oman n’a jamais cessé, même au cœur du conflit qui a ravagé la Syrie, de militer pour un retour de Damas dans le giron arabe.
En visite à Damas, le chef de la diplomatie omanaise défend le retour de la Syrie dans le giron arabe. Attaché à sa politique non-interventionniste, même en plein cœur du conflit syrien, Mascate n'a jamais coupé les liens avec Bachar el-Assad.
Le 31e sommet de la Ligue arabe s'est clôturé avec la Déclaration d'Alger. Dans ce document officiel, les membres réitèrent leur «attachement» à un Etat palestinien indépendant et expriment leur rejet de toute ingérence étrangère.
Pour la première fois en trois ans, les membres de la Ligue arabe sont réunis à Alger. Si l'Algérie entend bien être le moteur d'une unité retrouvée au sein du monde arabe, les divisions persistent pour l'heure sur la Palestine, la Syrie et la Libye.
Malgré des divergences de points de vue entre les pays membres de la Ligue arabe sur différents sujets. Alger, de retour sur la scène diplomatique, souhaite que ce sommet s'achève dans un esprit de consensus.
Contre tout attente, la Syrie ne sera pas présente au prochain sommet de la Ligue arabe qui doit se tenir à Alger en novembre prochain. Pourtant, l'Algérie n'a pas lésiné sur les efforts pour soutenir Damas.
Dans la deuxième partie du XXe siècle, l'antagonisme israélo-égyptien domine le paysage géopolitique du Moyen-Orient. Clash diplomatique, rivalité économique, guerres ouvertes : cette confrontation a façonné l’histoire de la région toute entière.
Le chef de la diplomatie du Qatar a appelé les autres pays à ne pas normaliser leurs relations avec la Syrie, après une visite à Damas d'un ministre des Emirats arabes unis.
Déchirée par des dissensions internes, l'organisation peine de plus en plus à remplir son rôle et son impuissance risque d’aggraver les tensions régionales. Quelle est l’ampleur de la crise vécue actuellement par la Ligue arabe ?
L'Organisation de la coopération islamique, la Ligue arabe et l'Arabie saoudite ont appelé l'Algérie et le Maroc au «dialogue» pour résoudre la crise diplomatique qui oppose les deux pays voisins. Rabat regrette une décision «injustifiée» d'Alger.
Suite aux deux explosions qui ont eu lieu ce 4 août dans la capitale libanaise, Beyrouth, plusieurs pays dont la France ont adressé leurs condoléances et proposé leur soutien tant financier que logistique.
Pourtant fidèle allié régional des Etats-Unis, l'Arabie saoudite s'est déclarée absolument opposée à la reconnaissance par Donald Trump de l'annexion du plateau du Golan par Israël. Le sujet s'est invité au sommet de la Ligue arabe à Tunis.