SIDERANT

Tbilissi a accusé ce 18 septembre un haut responsable ukrainien de préparer un coup d'Etat pour renverser le gouvernement de ce pays du Caucase, au moment où les relations avec Kiev se tendent.
Rêve géorgien a annoncé le 31 août qu'il lançait une procédure de destitution à l'encontre de la présidente du pays. Lui sont reprochés des voyages en Europe auxquels le gouvernement, à qui incombe la politique étrangère du pays, s’était opposé.
A l'occasion des 15 ans de l'offensive ratée de Mikheïl Saakachvili en Ossétie du Sud, le président de la Douma a prédit au président ukrainien la même fin qu'à l'ancien dirigeant géorgien, aujourd'hui déchu.
Lors d’une escale en Géorgie, les passagers d’un paquebot reliant Istanbul à Sotchi ont été accueillis sous les huées de manifestants. Ceux-ci accusaient des Russes à bord d’être favorables aux interventions de leur pays en Ukraine et en Abkhazie.
En renvoyant l’ambassadeur de Géorgie en Ukraine, au prétexte d’un mauvais traitement supposé de Mikheïl Saakashvili par les autorités de Tbilissi, Volodymyr Zelensky s’est attiré les foudres de ce voisin régional qui dénonce une mesure «insultante».
La Géorgie ne peut pas se permettre d'imposer des sanctions à la Russie qui risqueraient de «dévaster» son économie, a affirmé le Premier ministre géorgien, Irakli Garibachvili, lors d'un forum au Qatar.
Les liaisons aériennes ont repris ce 19 mai entre Moscou et Tbilissi après quatre ans d'interruption. Les relations diplomatiques entre les deux pays, elles, n'ont toujours pas été rétablies.
Ce 10 mars, le porte-parole du Kremlin a suggéré que «la main» des Etats-Unis tentait d'ajouter des «éléments antirusses» aux mobilisations anti-gouvernementales en Géorgie qui visaient à l'origine un projet de loi sur le financement des ONG.
La Géorgie a été secouée par des manifestations contre un projet de loi sur le financement étranger des ONG, finalement retiré par le pouvoir. Pour le chef de la diplomatie russe, ces mobilisations vont bien au-delà de la seule opposition à ce texte.
Le parti majoritaire en Géorgie a retiré un projet de loi sur les financements étrangers des ONG face à la pression de manifestations auxquelles des chancelleries occidentales ont apporté leur soutien. Cependant les mobilisations se poursuivent.
Face à des manifestations émaillées de violence, le parti au pouvoir en Géorgie a retiré son projet de loi ciblant les ONG financées à plus de 20% par des fonds étrangers. Mais les protestataires continuaient de battre le pavé de Tbilissi ce 9 mars.
Des manifestations émaillées de heurts ont éclaté en Géorgie contre un projet de loi visant à enregistrer comme «agents de l'étranger» les ONG financées à plus de 20% par des fonds étrangers. Le parti au pouvoir dénonce l'action de «radicaux».
Le dirigeant de l'Ossétie du Sud, Anatoly Bibilov, a signé un décret prévoyant la tenue d'un référendum le 17 juillet prochain sur l'intégration de ce territoire à la Fédération de Russie. La Géorgie s'oppose vigoureusement à un tel projet.
Les habitants d'Ossétie du Sud s'apprêtent-il à voter par voie référendaire le rattachement de la celle-ci à la Russie ? C'est du moins ce que laisse présager une récente déclaration du dirigeant Anatoli Bibilov.
L'Union européenne a indiqué qu'elle lancerait la procédure d'examen des candidatures d'adhésion de l'Ukraine, de la Géorgie et de la Moldavie, alors que l'offensive militaire russe en est à son douzième jour.
Les deux pays ont déposé leur candidature officielle à l'Union européenne, dans un contexte de tensions extrêmes en Europe liées à l'intervention militaire russe en Ukraine.
Le parti au pouvoir en Géorgie a demandé l'adhésion de cet ex-république soviétique à l'UE. Cette annonce fait suite à la demande d'adhésion du président ukrainien Volodymyr Zelensky face à l'offensive russe dans son pays.
L'Allemagne a annoncé l'expulsion de deux diplomates russes, après que le tribunal de Berlin a mis en cause les autorités russes dans le meurtre d'un Géorgien issu de la minorité tchétchène. La Russie voit dans ces décisions des actes politiques.
Depuis le 1er décembre, habitants et touristes doivent pouvoir justifier d'une vaccination, d'une guérison ou d'un test PCR négatif pour se rendre dans les lieux publics, les restaurants, les centres de divertissement et les centres commerciaux.
Des centaines de personnes se sont rassemblées à Tbilissi le 28 novembre pour protester contre l'introduction d'un pass sanitaire, qui doit prochainement entrer en vigueur. Il sera obligatoire pour fréquenter la plupart des lieux publics.