SIDERANT

Après cinq mois de manifestations contre la réforme des retraites, les syndicats entrevoient la fin du bras de fer, avec une participation au plus bas pour leur 14e journée de mobilisation.
Des organisations de gauche ont appelé au Maroc à la mobilisation contre le coût de la vie. Entre 1200 et 3000 personne ont défilé en scandant des slogans hostiles au gouvernement dirigé par l'homme d'affaires Aziz Akhannouch.
Le président russe a signé ce 24 septembre une série d’amendements visant notamment à alourdir les peines encourues par les déserteurs et les appelés refusant de combattre, en cas de mobilisation, de loi martiale ou en temps de guerre.
A l'appel de plusieurs organisations syndicales, des salariés d'Amazon ont pris part le 22 mars à un mouvement de grève en Italie. Ils ont dénoncé leurs conditions de travail et l'absence, selon eux, d'une redistribution équitable des bénéfices.
Le 14 décembre devant l'Arc de Triomphe à Paris, une centaine de policiers de plusieurs départements d'Ile-de-France se sont rassemblés pour protester contre les déclarations d'Emmanuel Macron sur les violences policières et les contrôles au faciès.
«Bezos veut toujours plus de pesos» : entre 1 500 et 2 000 personnes ont manifesté près de Nantes contre l'implantation d'«une plateforme de transit» d'Amazon. Ils ont fustigé l'impact néfaste de ce projet pour l'économie locale.
Alors que les députés voteront ce 24 novembre sur le projet de loi Sécurité globale, la députée LREM Nathalie Sarles s'est déclarée «en opposition [avec] une grande partie de ce texte», considérant qu'il «vient affirmer que l'Etat est autoritaire».
Dans un courrier adressé à Emmanuel Macron, l'ONU, saisie par la Ligue des droits de l'Homme, a sévèrement critiqué la proposition de loi sur la «sécurité globale». De nombreux syndicats de journalistes appellent à manifester devant l'Hémicycle.
Deux ans après l'acte I des Gilets jaunes, le mouvement semble au plus bas. Pourtant, les facteurs sociaux et politiques de la mobilisation se sont aggravés. Entre réactions et analyses, RT France revient sur les deux ans de ce mouvement populaire.
De nombreux incidents ont eu lieu à Washington DC entre militants antifas et Black Lives Matter d'un côté, pro-Trump de l'autre, suite à une mobilisation massive en soutien au président. La police a annoncé avoir procédé à 20 arrestations.
Une vaste opération militaire a été lancée dans la région du Tigré en Ethiopie, accusée par Addis-Abeba de velléités sécessionnistes. Cette escalade des tensions pourrait coûter cher aux deux camps, selon Marc Lavergne pour RT France.
Une manifestation organisée par l'un des principaux groupes islamistes bangladais a rassemblé plus de 50 000 personnes à Dacca. Elles ont appelé au boycott des produits français, brandi un cercueil factice du président français et brûlé son effigie.
Un rassemblement d'une vingtaine de musulmans a eu lieu devant l'ambassade de France à Moscou. Condamnant les caricatures de Mahomet publiées par Charlie Hebdo, les manifestants ont vilipendé le président français Emmanuel Macron.
Des manifestations, parfois émaillées de heurts et de dégradations, en opposition aux nouvelles mesures restrictives anti-Covid-19 ont à nouveau eu lieu du nord au sud de Italie, pour le troisième jour consécutif.
Une manifestation organisée par l'un des principaux partis islamistes bangladais a rassemblé plus de 40 000 personnes à Dacca. Elles ont appelé au boycott des produits français et brûlé une effigie d'Emmanuel Macron, l'accusant même d'«adorer Satan».
A l'occasion du premier anniversaire d'un mouvement de contestation sociale inédit, des dizaines de milliers de Chiliens se sont rassemblés à Santiago. Une manifestation émaillée de heurts avec la police, à une semaine d'un référendum historique.
Un an après les débuts d'un soulèvement populaire inédit au Liban, des centaines de manifestants se sont réunis à Beyrouth le 17 octobre 2020. Les situations économique et politique ont-elles réellement évolué au pays du Cèdre ?
Une enquête de l'Ordre national des infirmiers, réalisée auprès de 60 000 soignants, alerte sur les détériorations des conditions de travail dans la profession. Une situation particulièrement exacerbées depuis la crise sanitaire du Covid-19.
Libéré de prison le 6 octobre par ses sympathisants, l'ancien président du Kirghizstan a de nouveau été arrêté, selon le Comité de sécurité nationale du pays. Il est soupçonné d'avoir organisé des troubles massifs à l'ordre public.
Lors d'une marche baptisée «Pour la liberté des prisonniers politiques», des dizaines de milliers d'opposants au président Loukachenko se sont rassemblés dans le centre de Minsk. La police a déployé un canon à eau et procédé à plusieurs arrestations.