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Le vice-Premier ministre russe chargé de l'Energie Alexandre Novak a estimé que les Européens seraient les premiers à être affectés par les sanctions antirusses, et notamment par l'embargo décidé par l'Union européenne pour des raisons «politiques».
Les pays producteurs de pétrole ont décidé ce 2 juin d'un accroissement des volumes d'or noir pour l'été 2022, espérant stabiliser des marchés toujours orientés à la hausse sur fond de conflit en Ukraine et d'embargo européen sur le pétrole russe.
Le secrétaire général de l'OPEP et le président vénézuélien se sont rencontrés le 12 mai à Caracas pour discuter de la situation internationale, et ont tous deux convenu que le pétrole ne devait «pas être politisé» en raison du conflit en Ukraine.
Le groupe des pays exportateurs de pétrole a préservé ses rapports avec la Russie en refusant d'augmenter largement sa production de pétrole pour faire face à la montée des prix et au possible embargo sur le pétrole russe que pourrait décider l'UE.
Confrontée à un baril de brut proche de 80 dollars, l’administration américaine s’apprête à puiser dans ses réserves dans le but de faire baisser les prix. Le Japon handicapé sur les marchés du brut par un yen en baisse pourrait suivre.
Les incertitudes qui pèsent sur la reprise mondiale ont encouragé les traders à parier sur des prix du pétrole en très forte hausse. Pour certains, le baril devrait monter jusqu’à 100 dollars d’ici la fin de l’année et 200 dollars fin 2022.
Les membres de l’Opep et leurs partenaires emmenés par la Russie, se sont mis d’accord pour augmenter chaque mois leur production globale de 400 000 barils par jour à partir d’août. Mais ils sont encore loin des niveaux d’avant la crise.
Avec le déconfinement progressif de l’économie mondiale, l’OPEP est confiante dans une remontée durable des cours du pétrole. La levée des sanctions américaines contre l’Iran et son retour parmi les exportateurs ne devraient rien y changer.
Les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et leurs alliés se sont mis d'accord sur une augmentation de leur production de 500 000 barils par jour en janvier, contre près de 2 millions initialement prévus.
Confrontés à une demande déprimée par la pandémie du Covid-19, les pays de l'Opep et leurs alliés ont acté le prolongement en juillet de la réduction historique de production à laquelle ils s'astreignent depuis le 1er mai.
L'Opep et ses partenaires, dont la Russie, se retrouvent ce 6 juin afin de donner suite à leur accord de réduction de la production de pétrole, censée aider un marché déprimé par la pandémie.
L'Arabie saoudite organise une conférence exceptionnelle des pays producteurs de pétrole pour tenter d'enrayer la crise du marché énergétique, sur fond d'épidémie. Un accord entre Moscou et Riyad sur une réduction de la production est en vue.
Sourde aux appels de la diplomatie américaine à «rassurer les marchés énergétiques et financiers», l’Arabie saoudite a confirmé son intention d’augmenter sa production de pétrole brut. Des sénateurs américains parlent de «guerre économique».
L’échec des négociations entre les producteurs de pétrole de l’Opep menés par l’Arabie saoudite et les Etats non-membres comme la Russie a provoqué un effondrement des cours du brut. Les conséquences de ce désaccord s’ajoutent à l’effet coronavirus.
L'OPEP et ses alliés ont convenu de réduire leur production d'or noir. Cette décision, qui contrevient aux demandes incessantes de Donald Trump, devrait entraîner une augmentation des prix.
Alors que le président russe, Vladimir Poutine, était en visite officielle en Arabie saoudite, l'orchestre du royaume wahhabite a, en présence de la famille royale saoudienne, très approximativement joué l'hymne russe.
La deuxième visite d’Etat en Arabie saoudite du président russe a été l’occasion de renforcer la coopération entre les deux pays dans le domaine de l’énergie. Mais Moscou et Riyad ont également prévu d’augmenter leurs échanges de biens agricoles.
A Vienne, le 1er juillet, les Etats membres de l’Opep ont accepté la proposition russo-saoudienne de prolonger de neuf mois les baisses de production pour soutenir les cours. Malgré des stocks mondiaux importants, la manœuvre fonctionne.
Il y a une vie après l’Opep. Le Qatar, qui vient de quitter le cartel dominé par l’Arabie Saoudite, annonce des projets d’investissement tous azimuts et notamment la création d’une banque de l’énergie.
Plus de trois mois après le début de la crise des Gilets jaunes, initiée par la hausse du prix des carburants consécutive aux taxes décidées par le gouvernement, les chiffres continuent d'augmenter à la pompe.