BRAS DE FER

Dans une interview exclusive accordée à RT, qui sera publiée dans son intégralité, le président syrien a une nouvelle fois condamné l'ingérence militaire en Syrie. D'après lui, «sans interférence étrangère», la situation serait normalisée en un an.
Prenant comme motif l'attaque chimique présumée du 7 avril dernier dans le nord de la Ghouta, les Occidentaux menacent de frapper la Syrie. Moscou, allié de Damas, se dit prêt à contrer toute attaque qui ne serait pas conforme au droit international.
Tenant encore une ultime poche dans la Ghouta, les rebelles islamistes sont parvenus à bloquer les couloirs humanitaires, empêchant les habitants et leur familles de fuir. Le groupe armé Jaïch al-Islam profite-t-il de facto de ce bouclier humain ?