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Le délégué général de La République en marche (LREM), Christophe Castaner, a désavoué le 4 février le soutien d'élus locaux du mouvement présidentiel à une résolution nationaliste en Corse, affirmant qu'ils n'avaient «pas voté une position de LREM».
Le 3 février, des nationalistes corses se sont réunis à Ajaccio à l'appel de syndicats et de mouvements politiques. Ils souhaitent que le gouvernement discute du sort des «prisonniers politiques» ou de l'inscription de la Corse dans la Constitution.
Le parti de François Asselineau a exhorté le gouvernement à sanctionner les nationalistes au pouvoir en Corse, Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni, et les élus corses de La République en marche, les accusant d'«actes séditieux et inconstitutionnels».