SIDERANT

Le 20 septembre, le roi d’Angleterre Charles III était reçu à dîner au château de Versailles. Un événement fastueux qui a fasciné les Français et inévitablement suscité quelques critiques, essentiellement à gauche de l’échiquier politique.
Emmanuel Macron va recevoir le roi d’Angleterre Charles III le 20 septembre. Un dîner est notamment prévu au château de Versailles, suscitant déjà des critiques de l’opposition.
Afin de doper son soutien aux forces de Kiev, la firme d'armements BAE Systems va directement s'installer en Ukraine. Une décision qui, prévient le Kremlin, n’affectera pas sa détermination à mener à bien ses objectifs militaires.
Un rapport sur la richesse mondiale publié par la banque UBS recense 2,8 millions de millionnaires en France. Le pays gravit la troisième marche du podium mondial 2022 en la matière.
A l'occasion des 15 ans de l'offensive ratée de Mikheïl Saakachvili en Ossétie du Sud, le président de la Douma a prédit au président ukrainien la même fin qu'à l'ancien dirigeant géorgien, aujourd'hui déchu.
Les forces russes ont mis la main sur un des missiles Storm Shadow livrés par Londres à Kiev en mai dernier. Intercepté, mais seulement en partie détruit, l’engin a été envoyé à Moscou pour rétro-ingénierie.
Les Premiers ministres britannique et néerlandais veulent créer une «coalition internationale» afin d’aider l’Ukraine à se procurer des avions de combat américains.
Pour des raisons de formation et de maintenance, Washington a estimé «peu probable» la livraison de missiles de longue portée à l'armée ukrainienne. «S'ils ne savent pas s'en servir, cela ne servira pas à grand-chose», s'est justifié Anthony Blinken.
L'Elysée a annoncé que la visite en France du souverain britannique Charles III, prévue du 26 au 29 mars, avait été «reportée» en raison de la nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites qui aura lieu le 28 mars.
L'Argentine a notifié au Royaume-Uni sa décision de suspendre un accord de coopération concernant les îles Malouines, archipel dont la souveraineté est revendiquée par les deux pays. Les autorités britanniques ont déploré une «décision décevante».
La justice britannique a confirmé ce 22 février la déchéance de nationalité de Shamima Begum, qui en 2015 était partie à 15 ans en Syrie pour rejoindre le groupe djihadiste Daesh.
Lors d'un match opposant le club anglais au Real Madrid, les supporters ont déployé une banderole représentant les ministres de l'Intérieur et des Sports en Pinocchio, en allusion à leurs déclarations sur les incidents au Stade de France en mai 2022.
Le Figaro se fait l'écho de publications britanniques indiquant que les ouvrages pour enfants du célèbre auteur Roald Dahl sont réédités avec des changements de termes jugés offensants, au regard des normes supposées de notre époque.
Contre toute attente, la Premier ministre écossaise Nicola Sturgeon a annoncé sa démission. Au pouvoir depuis huit ans, elle était partisane de l'indépendance. Bien qu'opposé à ses desseins politiques, Londres a salué «une redoutable politicienne».
Dans la soirée du 11 février, des centaines de manifestants ont parcouru les rues de Londres pour exiger la libération du journaliste Julian Assange dans le cadre d'une «Nuit de carnaval». Parmi eux, figuraient son épouse Stella.
L'ambassade a raillé la venue du chef d'Etat ukrainien au Royaume-Uni, estimant qu'il était venu «mendier» un soutien accru sous forme d'avions de chasse et préparer l'opinion à accepter toujours plus de livraisons d'armes offensives à Kiev.
Des milliers d'enseignants ont manifesté à Londres, mobilisés avec cheminots et agents publics pour la journée de grèves la plus importante depuis une décennie au Royaume-Uni, confronté à l'envolée des prix.
Les autorités britanniques ont décidé de réviser les règles encadrant l'accueil et l'expulsion des étrangers se présentant comme les victimes d'esclavage moderne, afin de lutter contre des «abus flagrants» de certains auteurs d'actes de délinquance.
Par la voie de son ambassade à Londres, la Russie a fustigé la récente annonce du gouvernement britannique portant sur la livraison à l'Ukraine de chars de combat, ce qui correspond au franchissement d'un nouveau cap depuis le début du conflit.
La diplomatie russe a fait savoir qu'elle ne laisserait pas sans réponse le «cap antirusse» dont elle accuse Londres, et estime que le gouvernement britannique diffuse des fausses informations sur la Russie afin d'attiser la russophobie.