BRAS DE FER

Des milliers de personnes ont manifesté ce 28 octobre à Prague à l'appel du mouvement «La République tchèque d'abord», dénonçant la politique du gouvernement de centre droit et la hausse des prix.
Des dizaines de milliers de Tchèques se sont rassemblés à Prague ce 28 septembre pour protester contre l'appartenance du pays à l'OTAN et à l'Union européenne, et la gestion par le gouvernement de la flambée des prix de l'énergie.
Environ 70 000 personnes ont protesté le 3 septembre dans le centre de Prague contre le gouvernement tchèque, l'accusant d'accorder plus d'attention à l'Ukraine qu'à ses propres citoyens. Le Premier ministre y a vu la main des «pro-russes».
Les Pays-Bas et la République tchèque vont faire parvenir des armes à destination de l’Ukraine, le 26 février, pour une valeur d'environs 9 millions d'euros, au troisième jour de l'intervention militaire russe dans le pays.
Le ministre tchèque de la Santé, Adam Vojtech, a annoncé que les personnes de plus de 60 ans seraient soumises à l'obligation vaccinale à partir du 1er mars. Cette obligation concerne également les personnels de santé, les policiers et les pompiers.
Un nombre croissant de pays de l'Union européenne ont adopté depuis plusieurs jours des mesures de restriction visant spécifiquement les personnes non-vaccinées contre le Covid-19. Le point sur la situation.
A compter du 22 novembre, la République tchèque interdira l'accès aux «services et événements publics» aux non-vaccinés contre le Covid-19. «Il faut que les gens finissent par comprendre que le Covid tue», a justifié le gouvernement tchèque.
Milos Zeman a été hospitalisé en soins intensifs à Prague, laissant en suspens la formation d'un nouveau gouvernement. Il avait rencontré le Premier ministre Andrej Babis, qui a l'espoir de se maintenir au pouvoir malgré sa courte défaite électorale.
L'alliance tchèque de centre-droit Ensemble a remporté de justesse les élections législatives face au Premier ministre Andrej Babis, selon des résultats quasi définitifs qui ont créé la surprise.
Lors d'une rencontre avec ses homologues autrichien et slovaque, Andrej Babis a estimé qu'il fallait «une solution permettant aux gens de rester en Afghanistan». Sebastian Kurz a déclaré vouloir éviter «un nouvel exode vers l'Europe» comme en 2015.
Toutes sortes de récompenses sont proposées à travers le monde – plus ou moins farfelues – pour pousser la population à se faire vacciner contre le Covid-19. Il peut s'agir de primes, de biens matériels ou de tickets de loterie, suivant le pays.
Le gouvernement russe a établi une liste d'«Etats étrangers commettant des actions hostiles» à son encontre. Elle comporte pour le moment les Etats-Unis et la République tchèque, deux pays qui ont récemment imposé des sanctions contre Moscou.
La diplomatie russe a réagi aux dernières annonces du ministre tchèque des Affaires étrangères, qui a insisté sur sa volonté de plafonner les effectifs de la mission diplomatique russe à Prague. D'autres pays européens ont emboîté le pas à Prague.
La Russie a rejeté l'ultimatum fixé par la République tchèque qui demande le retour de tous les diplomates expulsés de son ambassade à Moscou, faute de quoi elle menace d'expulser davantage de diplomates russes.
Le gouvernement tchèque a annoncé en début de semaine l’exclusion du géant russe du nucléaire d’un appel d’offres pour l’extension d’une de ses centrales. Une entreprises chinoise avait été exclue quelque temps auparavant.
La Russie estime que l'annonce de l'expulsion de 18 diplomates de République tchèque avait pour but de «détourner l'attention» de la révélation d'un plan de coup d'Etat en Biélorussie. Une stratégie derrière laquelle elle voit la main de Washington.
Moscou a vivement critiqué l'expulsion de 18 de ses diplomates et décidé d'expulser à son tour 20 membres de l'ambassade tchèque à Moscou. Pour la Russie, Prague cherche avant tout à plaire à Washington, son «maître d'outre-mer».
46,6% des personnes interrogées dans le cadre d'un sondage en République tchèque ont indiqué qu'elles pourraient se faire vacciner avec le Spoutnik V, alors que le produit russe attend toujours son homologation dans l'UE de la part de l'EMA.
Le vaccin Spoutnik V contre le Covid-19 n'a pas encore reçu l'autorisation de l'Agence européenne des médicaments. Mais certains membres de l'Union européenne n'attendent pas l'autorisation de Bruxelles.
Milos Zeman, le président de la République tchèque, a déclaré qu'il avait demandé par courrier à son homologue russe de lui fournir des doses de vaccin Spoutnik V, précisant qu'il se passerait de l'approbation européenne pour le distribuer.