Une ville tchèque va bientôt lancer une monnaie destinée a aider les entreprises locales touchées par la crise économique liée à la pandémie de Covid-19.
Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées à Berlin, Bratislava ou encore Prague afin de dénoncer les mesures restrictives prises par les différents gouvernements contre la pandémie de Covid-19. Certains manifestants ont été arrêtés.
Prague a été le théâtre de heurts entre police et manifestants lors d'un rassemblement contre les mesures prises par le gouvernement pour contrer la pandémie de Covid-19. Les forces de l'ordre ont fait usage de gaz lacrymogènes et de canons à eau.
Abandonnée en 2019, l’idée d’une taxe européenne sur les entreprises du numérique pourrait refaire surface sous la pression économique engendrée par l’épidémie de Covid-19. L’idée a de nouveau été évoquée par le commissaire chargé de la fiscalité.
Un responsable allemand veut que la Pologne assouplisse ses règles à la frontière. Objectif : laisser les travailleurs transfrontaliers libres de passer dans l'un et l'autre de ces pays sans se voir imposer une quarantaine.
Le vice-présidente tchèque de la Commission européenne Vera Jourova a déploré la «dépendance morbide» de l'Union européenne à la Chine et l'Inde en termes de fournitures médicales. Un état de fait qui nécessite, selon elle, un «changement radical».
Scandalisée par le démantèlement d'un monument dédié au maréchal soviétique Konev à Prague, la Russie demande sa restitution. Les autorités tchèques refusent et les tensions entre les deux pays connaissent un regain.
Après avoir accepté dans un premier temps d'envoyer six malades en état grave du Covid-19 en République tchèque pour y être soignés, la France a finalement estimé que l'amélioration de sa situation sanitaire permettait une «autre solution».
Après les révélations explosives selon lesquelles la République tchèque aurait détourné des centaines de milliers de masques et des milliers de respirateurs envoyés par la Chine à l'Italie, le ministre de l'Intérieur tchèque évoque un cas malheureux.
Le ministre de la Santé a assuré sur l'antenne d'Europe 1 qu'une fermeture des frontières n'avait «pas d'intérêt» d'un point de vue scientifique. Les initiatives en ce sens se multiplient pourtant, y compris au sein même de l'UE.
Le groupe informel de Visegrad rassemble la Hongrie, la Pologne, la République tchèque et la Slovaquie. Structure de poids sur l’échiquier politique européen, cette alliance défend activement sa vision de l’UE face aux poids lourds de l’organisation.
Plusieurs centaines de milliers de manifestants, selon les organisateurs, sont sortis dans les rues en République tchèque pour faire part de leur opposition au Premier ministre Andrej Babis. Celui-ci est soupçonné de fraude et de conflit d'intérêt.
Selon des sondages dévoilés au soir du scrutin, les pro-UE seraient en tête en Irlande, qui votait pour les élections européennes le 24 mai. Une deuxième victoire pour ces derniers après leur succès aux Pays-Bas la veille.
Suite à la sortie annoncée du Royaume-Uni de l’UE, la Pologne affiche sa volonté politique au niveau européen et au-delà. Mais a-t-elle les moyens de ses ambitions ?
Décrié par certains, le pacte de l'ONU sur la migration va être signé en décembre. Le texte met en avant la nécessité de mettre en œuvre des politiques très favorables aux migrations, facteurs de «prospérité, et de développement durable».
Alors qu'il doit être entériné en décembre prochain, le pacte de l'ONU sur les migrations est de plus en plus contesté : après Washington, Budapest, Vienne et Prague, c'est au tour de Varsovie de s'en distancier.
Le pacte de l'ONU sur les migrations est décidément loin de faire l'unanimité. A un mois de son adoption à Marrakech, de nombreux pays refusent de le signer : après Washington, Budapest et Vienne, c'est au tour de Prague de faire la fine bouche.
Face à un camp eurosceptique dont les rangs ne cessent de grossir, Emmanuel Macron continue de planter le décor des européennes de mai 2019. En visite en Slovaquie et en République tchèque, le président vient porter son projet, quitte à provoquer.
Avec son programme «Czech emploi», l'agence française propose non pas aux chômeurs de traverser la rue pour retrouver une occupation professionnelle, à l'instar du président de la République, mais bien de traverser l'Europe... Pour 1 500 euros bruts.
D'après Andrej Babis, les manifestations de Chemnitz dans l'ex-Allemagne de l'Est pourraient constituer un déclencheur en Europe. Face à la crise migratoire, la République tchèque ne veut toujours pas entendre parler de répartition européenne.