Après avoir donné son feu vert la semaine dernière au vaccin russe Spoutnik V, la Hongrie a approuvé le vaccin chinois Sinopharm. Le Premier ministre Viktor Orban défend le droit de «se fournir partout».
Quelques jours après l'autorisation du vaccin russe par ses autorités sanitaires, la Hongrie a annoncé en acheter «grandes quantités». Viktor Orban en a profité pour critiquer l'UE dans laquelle, selon lui, «quelque chose ne tourne pas rond».
Le Premier ministre hongrois a critiqué l'acquisition de vaccins par l'Union européenne, qu'il juge trop lente. Il a dit surveiller le développement du vaccin russe, même si son pays a peu de chances d'y recourir en raison du manque de stock.
Afin de «protéger l'enfant contre les possibles interférences idéologiques ou biologiques», la notion traditionnelle de «genre» ainsi que l'interdiction d'adopter pour les couples de même sexe sont désormais inscrites dans la Constitution hongroise.
Après l'adoption d'un compromis sur l'Etat de droit, permettant la levée des vetos hongrois et polonais sur le budget et le déblocage du plan de relance européen post-Covid, George Soros a estimé que Bruxelles avait capitulé sur les valeurs de l'UE.
Le Premier ministre hongrois a vivement critiqué le député européen du Fidesz, son parti, qui a été arrêté le 27 novembre dans une partie fine homosexuelle à Bruxelles, en plein confinement.
L'eurodéputé hongrois Jozsef Szajer, membre du groupe européen PPE, a été arrêté par la police belge alors qu'il participait à une soirée décrite comme une véritable «partouze» en plein confinement.
Dans une tribune en réplique à celle de Georges Soros, le Premier ministre hongrois expose sa vision d'une «société protégée», qu'il oppose à la société «multiculturelle et ethniquement mélangée» qui serait «entre les mains des élites globalisées».
Alors que Budapest et Varsovie ont opposé leur veto à l'adoption du budget européen 2021-2027, l'Allemagne s'est dit convaincue qu'une solution serait rapidement trouvée. Le président du PPE Donald Tusk demande l'exclusion du parti de Viktor Orban.
Nouveau développement dans la politique familiale hongroise : le gouvernement a déposé un projet d'amendement disposant d'inscrire dans la Constitution que la mère est une femme, le père un homme» et le sexe celui de la naissance.
L'UE a dénoncé les mesures du gouvernement Orban, qui s'inquiète de l'influence du milliardaire controversé dans le pays. En cause, des mesures ayant poussé l'Université d'Europe centrale, créée par George Soros, à déménager partiellement à Vienne.
Rejetant les critiques de la Commission européenne contre la fermeture des frontières de son pays afin d’endiguer le coronavirus, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a prédit l'adoption de mesures similaires ailleurs sur le continent.
Le gouvernement hongrois a annoncé qu'il allait totalement interdire l'accès à son territoire pour les non-résidents dès le 1er septembre, afin de tenter d'enrayer la hausse du nombre des contaminations par le nouveau coronavirus.
Il aura fallu quatre jours et quatre nuits d'âpres négociations, mais les 27 dirigeants européens ont trouvé le 21 juillet un accord sur un plan destiné à soutenir leurs économies, fondé pour la première fois sur une dette commune.
Le Premier ministre hongrois accuse son homologue néerlandais de militer pour que les Européens conditionnent le versement d'aides financières post-Covid au respect des principes d'Etat de droit – avec Budapest dans le viseur.
Emmanuel Macron a menacé la Hongrie pour avoir instauré un état d’urgence face à la pandémie, alors même que les pouvoirs exceptionnels confiés au gouvernement français sont toujours en vigueur, pointe Pierre Lévy, du mensuel Ruptures.
Le président français a mis en garde ses partenaires européens qui rogneraient sur l'Etat de droit à la faveur de la pandémie. S'il n'a cité aucun pays, la Hongrie fait l'objet de critiques au sein de l'UE en raison de sa loi d'état d'urgence.
Bruxelles veut voir la Hongrie revenir parmi les «démocraties incontestables», a annoncé la Commission européenne. Dans le même temps, la Cour de justice de l'UE a de nouveau épinglé le pays pour son traitement des demandeurs d'asile.
Le Premier ministre hongrois ne participera pas au débat organisé le 14 mai au Parlement européen, sur la loi d'état d'urgence dans son pays liée à la pandémie. Budapest dénonce une «chasse aux sorcières» menée par les «gauchistes» et les «libéraux».
L'Islande, la Suède, le Danemark, le Norvège et la Finlande ont exprimé leur inquiétude quant à une loi hongroise, qui permet au Premier ministre de gouverner jusqu'à nouvel ordre par décret. Budapest les a invités à s'«occupe[r] de leurs affaires».