SIDERANT

Dans un entretien accordé à la radio publique Kossuth, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a fustigé le rôle des États-Unis dans la guerre qui secoue l’Ukraine et s’est montré sceptique quant à la communication de Kiev.
Les analyses du chef d'Etat hongrois tranchent avec les avis occidentaux. Pour Viktor Orban, la rébellion de Wagner n'est en rien un signe «de faiblesse» de Moscou. Il affirme également que Vladimir Poutine ne sera pas remplacé.
Après avoir récupéré trois prisonniers ukrainiens en Hongrie, Kiev attaque ouvertement Budapest, l'accusant de faire le jeu «de la partie russe et de la propagande russe». Malgré les démentis de la partie hongroise, l'UE demande plus d'informations.
Au lendemain d’un accord entre les ministres de l’Intérieur européens, ouvrant notamment la voie à une relocalisation contraignante des migrants au sein de l’UE, le gouvernement hongrois condamne un passage en force des instances européennes.
David Pressman, ambassadeur des Etats-Unis en Hongrie, désapprouve ouvertement la politique de son pays hôte. Pour ce diplomate américain, il est urgent que le gouvernement hongrois change d’attitude vis-à-vis de l’Ukraine et de la Russie.
La Hongrie ne livrerait pas le président russe Vladimir Poutine à la Cour pénale internationale s'il entrait sur son territoire faute de base légale, a déclaré le chef de cabinet du Premier ministre Viktor Orban.
Le chef du gouvernement hongrois a qualifié d'«acte de terrorisme» les explosions de septembre 2022 sur les gazoducs Nord Stream 1 et 2 en mer Baltique. Il a mis en garde contre un sabotage similaire qui pourrait viser le Turk stream en mer Noire.
Dans son discours annuel, le Premier ministre hongrois a affirmé vouloir maintenir des «relations économiques» avec la Russie, suggérant à ses alliés d'en faire de même. Il a également dénoncé une «guerre indirecte» de l'UE contre Moscou.
La Hongrie a estimé «intolérable» la décision européenne de bloquer les subventions aux universités hongroises jugées dépendantes du pouvoir. Budapest devra donc financer le programme Erasmus de ses étudiants, une somme de 12,5 millions d'euros.
Lors d'un entretien avec un quotidien national, le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a déclaré qu'une possible paix en Ukraine dépendait avant tout des Etats-Unis, qui permettent, selon lui, à Kiev de poursuivre le conflit avec la Russie.
En raison des scandales de corruption qui minent le Parlement européen, Viktor Orban a soumis l'idée de sa dissolution lors de sa conférence de presse annuelle. Le Premier ministre hongrois a par ailleurs critiqué les sanctions contre la Russie.
Le Premier ministre hongrois a de nouveau accusé les autorités européennes de faire obstacle au versement de 12 milliards d'euros à son pays pour des raisons politiques, qui traduisent selon lui une véritable «phobie» à l'encontre de Budapest.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban n'est pas resté muet devant le scandale de corruption qui frappe le Parlement européen, toujours prompt à dénoncer ce qu'il considère comme des atteintes à l'Etat de droit de la part de Budapest.
Le dirigeant conservateur hongrois a tancé les autorités bruxelloises, les accusant de bloquer les 7,5 milliards de fonds de cohésion destinés à Budapest. Bruxelles «exige l'ouverture de nos frontières aux migrants», a-t-il notamment déclaré.
Alors que la Commission européenne menace de geler des milliards d’euros de fonds communautaires, Budapest a annoncé son report de la ratification de l’adhésion à l’OTAN de la Suède et de la Finlande. L’opposition pro-Bruxelles crie au «chantage».
Le Premier ministre hongrois a de nouveau fustigé la stratégie de sanctions économiques décidées par l'UE contre la Russie pour cause d'opération militaire en Ukraine, qualifiant celle-ci de «pas vers la guerre» et la jugeant «dangereuse».
«Un mauvais exemple» : alors que Volodymyr Zelensky s'était empressé d'accuser la Russie après la chute d'un missile en Pologne le 15 novembre, la Hongrie a critiqué la réaction à l'emporte-pièce du président ukrainien.
Plusieurs dirigeant européens ont félicité Giorgia Meloni pour sa nomination à la présidence du Conseil italien à l'instar d' Ursula von der Leyen qui a déclaré avoir eu un «bon premier coup de fil» avec la dirigeante italienne.
Le Premier ministre hongrois a fait part de son intention de recueillir l'avis de la population sur les sanctions actuelles et futures de l'UE visant la Russie, estimant qu'elles n'ont pas été décidées démocratiquement.
Budapest a exprimé sa ferme opposition à toute mesure qui toucherait à la coopération nucléaire avec Moscou, y voyant une attaque contre sa souveraineté énergétique et ses projets de nouveaux réacteurs avec l'entreprise russe Rosatom.