Accord sur le Nucléaire iranien
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Le porte-parole de la diplomatie iranienne a confirmé que des discussions indirectes se tiendraient «cette semaine» entre l'Iran et les Etats-Unis concernant la «levée des sanctions» américaines qui pèsent sur la République islamique.
Le président iranien Ebrahim Raïssi a appelé le 27 avril à une coopération des puissances indépendantes pour apporter un contrepoids à «l'unilatéralisme» dans le monde, lors d'une rencontre avec le ministre chinois de la Défense en visite à Téhéran.
Le président iranien Ebrahim Raïssi a menacé Israël en cas d'hypothétique action de l'Etat hébreu contre l'Iran, qui estime que des «centres stratégiques» seraient disséminés à ses frontières.
Le ministre iranien des Affaires étrangères a accusé les Etats-Unis de chercher à «imposer de nouvelles conditions» lors des pourparlers de Vienne sur le rétablissement de l'accord nucléaire de 2015.
Lors d'un entretien avec le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, le chef de la diplomatie iranienne Hossein Amir-Abdollahian, évoquant l'accord sur le nucléaire, a affirmé : «La balle est à présent dans le camp des Etats-Unis.»
L'Iran accuse les services secrets israéliens d'avoir tenté un acte de sabotage sur un site d'enrichissement d'uranium dans un contexte tendu de reprises des négociations pour relancer l'accord sur le nucléaire iranien.
Fermement opposé à l'accord sur le nucléaire iranien, qu'il voit comme un facteur d'instabilité, le Premier ministre israélien a fait savoir que Tel Aviv se gardait toute «liberté d'action» vis-à-vis de Téhéran, même si l'accord venait à être signé.
L'Iran s'est réjoui de l'avancée des négociations concernant son programme nucléaire. Téhéran considère que les récentes décisions américaines concernant les sanctions sont «bonnes mais pas suffisantes», alors que les pourparlers se poursuivent.
Après une pause de trois jours, les pourparlers pour sauver l'accord sur le nucléaire ont repris à Vienne. Peu avant ce nouveau round, Téhéran a souligné «le réalisme de la partie occidentale» sur ce dossier.
Alors que les négociations sur le nucléaire iranien ont repris à Vienne le 27 décembre, la République islamique a réaffirmé que son objectif prioritaire était la levée des sanctions américaines et des «garanties» que Washington réintègre le pacte.
Une reproduction grandeur nature de la centrale nucléaire israélienne de Dimona a été anéantie par 16 missiles balistiques et cinq drones suicides déployés par le Corps des gardiens de la révolution islamique, qui évoque un «avertissement sérieux».
Naftali Bennett se rend aux Emirats arabes unis pour une visite officielle le 13 décembre. Il s'agit de la première visite d'un Premier ministre israélien dans cette monarchie du Golfe, sur fond de tensions au sujet de l'accord nucléaire iranien.
Les pourparlers visant à relancer l'accord sur le nucléaire iranien ont repris à Vienne le 29 novembre. L'occasion de remettre sur le tapis des discussions au point mort depuis plusieurs mois mais également un accord moribond depuis 2018.
Alors que les négociations sur le programme nucléaire iranien reprendront fin novembre, Téhéran a appelé Washington et les Européens à faire preuve de pragmatisme sur ce dossier. La Russie et plusieurs pays pourraient garantir l'accord de 2015.
Un accord avec l'Iran autorisera les inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique à intervenir sur les sites iraniens pour «entretenir l'équipement et remplacer les disques durs».
Emmanuel Macron s'est entretenu ce 9 août avec son homologue iranien Ebrahim Raïssi au sujet des négociations sur le nucléaire. Les deux chefs d'Etat ont maintenu leurs positions, Emmanuel Macron exhortant Téhéran à respecter l'accord de 2015.
Ebrahim Raïssi a prêté serment ce 5 août devant le Parlement. Le nouveau président de la République islamique d'Iran entend redresser une économie minée par les sanctions, sans pour autant céder à la «pression» exercée par les Occidentaux.
Le 29 juillet dernier, un pétrolier d'un affréteur israélien a été attaqué par des drones, causant la mort de deux membres de l'équipage. Israël accuse l'Iran et veut porter l'affaire devant l'ONU.
Téhéran a fait savoir que les négociations visant à sauvegarder l'accord de Vienne ne reprendraient pas avant le mois d'août et l'entrée en fonction du nouveau président Ebrahim Raïssi. Il doit prêter serment le 5 août.
Le sort de l'accord sur le nucléaire ne dépend pas d'une décision iranienne mais de la réponse que Paris et Washington apporteront aux exigences de Téhéran, à savoir la levée des sanctions américaines, à fait savoir la diplomatie iranienne.
Accord sur le Nucléaire iranien