Ecologie, sécurité, crise sanitaire... Les deux prétendantes au fauteuil d'Anne Hidalgo à la mairie de Paris se sont jetées quelques amabilités au visage au cours d'un débat télévisé réunissant les trois femmes politiques, avant les élections.
Création d'une police municipale (avec ou sans arme létale), recours au domaine privé, plan contre les incivilités : que proposent Rachida Dati, Anne Hidalgo et Agnès Buzyn, les principales aspirantes à la mairie de Paris, en matière de sécurité ?
Agnès Buzyn (LREM) a confirmé le 26 mai sa candidature à la mairie de Paris pour les municipales, après plusieurs jours de silence. Ses probabilités de remporter la capitale se sont toutefois nettement affaiblies depuis le premier tour le 15 mars.
La levée progressive du confinement a débuté le 11 mai en France. Située en zone rouge et avec une forte densité de population, la capitale est au centre de toutes les attentions.
La crise du Covid-19 «rend encore plus aiguës» les inégalités, affirme la candidate LR à la mairie de Paris, soulignant que ce sont les Français qui se trouvaient «sur les ronds-points» qui permettent aujourd'hui au pays de tenir.
Pour le dernier débat des municipales parisiennes avant le scrutin du 15 mars, les candidats se sont affrontés sur les possibilités d'alliances à l'issue du premier tour. Rachida Dati s'est faite offensive face à Agnès Buzyn.
Sur le plateau de la chaîne de télévision LCI, les principaux candidats aux élections municipales à Paris ont développé leurs visions respectives de la sécurité à Paris et discuté de l'opportunité d'armer la police municipale.
A trois semaines du premier tour des élections municipales, Agnès Buzyn vient de dévoiler les grands axes de son programme pour Paris. Un projet bien différent de celui de Benjamin Griveaux, l'ex-candidat investi par LREM, qui a depuis abandonné.
Selon un nouveau sondage, Rachida Dati est désormais passée devant Anne Hidalgo dans les intentions de vote au premier tour des municipales à Paris, mais est donnée perdante au second tour.
Agnès Cerighelli a écrit dans un tweet que «vouloir que Paris et Marseille soient dirigées par des maghrébines de confession musulmane, c'est trahir la France». Des propos «répugnants» pour Castaner, qui a saisi le procureur de la République.
L'effondrement des votes LR et l'essor des écologistes ont créé la surprise lors des européennes. Une nouvelle donne politique qui rebat les cartes pour les futures municipales, notamment à Paris, où le camp présidentiel est pour l'instant fragmenté.
Sur le plateau de l'émission Les Terriens du dimanche sur C8, éprouvée par les propos du polémiste Eric Zemmour qui proposait de la rebaptiser «Corinne», la chroniqueuse Hapsatou Sy a diffusé sans autorisation la séquence et envisage des poursuites.
Selon une étude des revenus déclarés par les députés européens, les activités secondaires des élus leur rapportent parfois plus que leur salaire de parlementaire. Trois Français figurent dans le top 10 des députés aux extras les plus lucratifs.
Invitée de France Inter le 18 avril, l'eurodéputée (Les Républicains) Rachida Dati a interrompu un édito faisant état d'applaudissements «sur la plupart des bancs du Parlement européen», après l'intervention d'Emmanuel Macron du 17 avril.
Gavin Williamson, secrétaire d'Etat à la Défense britannique, a évoqué le sort qu'il réserve aux djihadistes anglais encore au Moyen-Orient, candidats ou non au retour. «Un terroriste mort ne peut plus nuire à la Grande-Bretagne», a-t-il estimé.
Edouard Philippe n'est toujours pas membre du parti présidentiel, mais il a souhaité remercier ses membres réunis en Congrès à Lyon, le 18 novembre, tout en écornant Les Républicains avec des allusions. Rachida Dati n'a pas apprécié, pas du tout.
Interrogée lors d'une conférence à Nice, le 30 septembre, Rachida Dati, ancien garde des Sceaux sous la présidence de Nicolas Sarkozy a préconisé l'assassinat ciblé des djihadistes en Syrie et en Irak pour éviter leur retour en Europe.
Dans une interview, Rachida Dati dézingue ses alliés de l'ère Sarkozy tels NKM ou Brice Hortefeux, qu'elle dit avoir frappé devant un ascenseur. Nicolas Sarkozy semble avoir connu bien des déboires pour contrôler son ex-garde des Sceaux.
Tandis que le mystère plane toujours autour de l’identité de la source qui a aidé à mettre au grand jour les rémunérations de Penelope Fillon, l’ancienne garde des Sceaux fait figure de principale suspecte, selon certains internautes.
Rachida Dati, qui aurait récemment promis de «pourrir la campagne» du candidat LR après avoir été écartée aux législatives, s’est inquiétée du cap que prendrait la campagne de François Fillon, qu’elle accuse de ne pas parler à tous les Français.