SIDERANT

Si les infrastructures libyennes n’avaient pas été détruites lors des bombardements de 2011, les barrages auraient pu tenir après l'ouragan Daniel.
L'ancien chef d’Etat français sera jugé début 2025 à Paris pour des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle victorieuse de 2007, a annoncé ce 25 août le Parquet national financier (PNF).
Le chef d'un des groupes armés les plus influents de l'ouest de la Libye, dont l'arrestation par un groupe rival le 14 août avait déclenché de violents combats ayant fait 55 morts, a été relâché dans la nuit du 17 août, selon une source militaire.
Lors du sommet Russie-Afrique, qui se déroule actuellement à Saint-Pétersbourg, l'ambassadeur itinérant du ministère russe des Affaires étrangères Oleg Ozerov a critiqué avec virulence la politique de l'Occident en Afrique.
Rivalité régionale, confrontation militaire et diplomatique : leur présidence marque la pire période dans les relations entre la Libye et le Tchad et fait bouger les lignes sur l’échiquier régional.
La cour d'appel de Sebha, dans le sud de la Libye, a ordonné le rétablissement de Seif al-Islam Kadhafi, fils de Mouammar Kadhafi, comme candidat à l'élection présidentielle du 24 décembre, ont fait savoir des médias locaux.
Seif al-Islam Kadhafi, fils de l'ancien dirigeant libyen ,a vu sa candidature à la prochaine présidentielle prévue le 24 décembre prochaine rejetée. La Haute commission électorale (HNEC) évoque notamment une incompatibilité juridique.
Seif al-Islam, fils du dirigeant libyen déchu Mouammar Kadhafi, a présenté sa candidature officielle à l'élection présidentielle prévue en décembre. Il avait expliqué en juillet vouloir «restaurer l'unité perdue» de la Libye.
En Irlande du Nord, des manifestants anti-guerre sont venus accueillir Hillary Clinton à l'université Queen's, dont l'ancienne secrétaire d'Etat américaine a été faite présidente d'honneur.
Le tribunal de l'Union européenne a enjoint le Conseil européen de retirer la fille de l’ancien dirigeant libyen de la liste des personnes frappées de sanctions en 2011. Pour la juridiction, elle ne représente pas une menace pour la sécurité.
Face aux nouveaux dirigeants libyens, Emmanuel Macron a reconnu que la France avait une responsabilité dans le chaos qui règne dans le pays depuis l'intervention de l'OTAN en 2011, qui a conduit à la chute de Mouammar Kadhafi.
En 2011, l'OTAN contribue, avec la France et le Royaume-Uni, au renversement de Mouammar Kadhafi en Libye. Dix ans après, deux autorités (le GNA et l'ANL) se disputent le pouvoir dans le pays, également gangrené par le terrorisme.
Trois mois après le cessez-le-feu entre les belligérants en Libye, le maréchal Khalifa Haftar, l'homme fort de l'est du pays, a appelé ses troupes à reprendre les armes pour, évoquant la Turquie, «chasser l'occupant».
Coup de théâtre dans l'enquête sur des soupçons de financement libyen de la campagne présidentielle 2007 : Ziad Takieddine, l'un des principaux témoins à charge contre Nicolas Sarkozy, a retiré ses accusations.
Les policiers français ont retrouvé une infime partie des 160 millions d'euros que Mouammar Kadhafi avait stockés dans la banque de Benghazi chez un couple de Limougeauds, qui a été interpellé en possession du magot.
Bernard-Henri Lévy a été accueilli par des insultes antisémites lors de sa venue surprise à Tarhounah en Libye. Sur les réseaux sociaux, le philosophe interventionniste a expliqué avoir voulu réaliser un reportage sur des crimes de guerre présumés.
La France, le Royaume-Uni et l’Allemagne se sont dits «prêts à envisager un recours éventuel à des sanctions» en cas de violation de l'embargo en Libye, invitant « tous les acteurs étrangers [à] mettre fin à leurs ingérences» dans le pays.
Les combattants du GNA ont annoncé avoir repris le contrôle de l'aéroport de Tripoli, inutilisé depuis 2014. Cette nouvelle constitue le plus gros revers pour les troupes du maréchal Haftar depuis le début de leur offensive en avril 2019.
Alexandre Djouhri, impliqué dans le dossier du financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007, a été remis aux autorités françaises par leurs homologues britanniques. Il devait être présenté au pole financier du tribunal de Paris.
Dans une tribune, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a longuement interpellé les pays de l'Union européenne, les mettant en garde contre la résurgence d'organisations terroristes en Libye si le gouvernement d'al-Sarraj n'était pas soutenu.