En janvier, l'application de messagerie cryptée s'est hissée devant ses concurrents comme Whatsapp et Messenger. Cible de critiques insistantes ces derniers temps, Telegram tire-t-elle profit de la politique menée par ses rivaux ?
La présence des Gafam dans le marché du cloud permet à Washington une collecte de données colossale au-delà de ses frontières. Des options existent ailleurs, par exemple en Chine. Mais quid de la situation sur le Vieux continent ?
Il faudra attendre le mois de décembre pour profiter de la 5G avec un smartphone compatible. Un lancement qui agace les maires. Une soixantaine d’élus demandent un moratoire et plaident pour «la tenue d’un débat démocratique décentralisé».
Le moratoire voté par Lille sur le déploiement de la 5G est une «tartuferie incompréhensible» venant d'une ancienne ministre, Martine Aubry, selon le secrétaire d'Etat Cédric O. Un rapport de l'Anses sur la dangerosité de la 5G est attendu pour 2021.
Les utilisateurs de smartphones vont les voir apparaître dans les prochains mois : de nouveaux émojis ont été annoncés par le Consortium Unicode. 200 teintes de peau différentes seront par exemples disponibles ainsi qu'une personne barbue non genrée.
Le ministre de l’Economie et des Finances a révélé qu’il avait reçu une lettre de l’administration américaine l’informant que les Etats-Unis se retiraient des négociations sur une taxation du numérique menées au sein de l’OCDE.
L'association Anticor, qui lutte contre la corruption, a déposé un signalement au procureur de la République contre l'application StopCovid après un article de l'Obs révélant que l'application coûterait de «200 000 à 300 000 euros par mois».
Alors que Cédric O avait considéré le coût de l'application mobile comme «négligeable», L'Obs révèle qu'elle coûterait entre 200 000 et 300 000 euros par mois. Un montant démesuré et une efficacité mise en doute par certains experts.
Cette semaine, dans C’est Cash, Olivier Delamarche et Estelle Farge se penchent sur le numérique.
Députés et sénateurs ont approuvé dans leur majorité le projet gouvernemental StopCovid, application de traçage numérique dont l'objectif affiché est d'accompagner la deuxième phase du déconfinement.
Abandonnée en 2019, l’idée d’une taxe européenne sur les entreprises du numérique pourrait refaire surface sous la pression économique engendrée par l’épidémie de Covid-19. L’idée a de nouveau été évoquée par le commissaire chargé de la fiscalité.
Les sénateurs LR, emmenés par Bruno Retailleau, ont annoncé, le 18 mai, le dépôt de leur recours au Conseil constitutionnel contre la proposition de loi contre la haine en ligne, au nom de la défense de la «liberté d'expression».
Le chef du gouvernement allemand a affirmé le 13 mai détenir des «preuves tangibles» de tentatives «scandaleuses» de piratage russes qui l'auraient visée à la chancellerie.
L'application StopCovid, dont la mise en place devra être débattue par les députés, sera prête le 2 juin : c'est ce qu'a déclaré le secrétaire d'Etat au numérique Cédric O.
Alors qu'Edouard Philippe avoue ne même pas savoir si elle marcherait, l'application française StopCovid n'est toujours pas sur les rails. L'Hexagone tente d'obtenir un aménagement du protocole d'Apple pour faire fonctionner StopCovid.
Le calendrier de la potentielle mise en route de l'application de traçage des malades du Covid-19 se précise : un débat sans vote aura lieu dès le 28 avril à l’Assemblée tandis que sa pertinence est remise en question, y compris par ses défenseurs.
The Intercept vient de publier une série de documents révélant le projet d'un groupe de dix polices nationales de mettre en place une base de données commune en matière de reconnaissance faciale. Ses opposants craignent une «surveillance de masse».
Le commissaire européen au Marché intérieur et aux services, Thierry Breton, présentera la stratégie européenne en matière d’intelligence artificielle le 19 février. L’objectif est clair : rattraper le retard face à Washington et Pékin.
Inès Leonarduzzi, PDG de Digital for the planet, répond dans La Grosse Question.
Sur Franceinfo, le secrétaire d'Etat au Numérique a lancé l'idée d'une «supervision» et d'un «contrôle systémique» des réseaux sociaux après que l'affaire Griveaux a fait tomber le champion des marcheurs dans sa course à l'élection parisienne.