Relations russo-américaines
Washington a annoncé de nouvelles sanctions contre Moscou et l'expulsion de dix diplomates russes, accusant la Russie notamment de cyberattaques. Moscou a prévenu qu'il y aurait un «prix à payer».
En visite pendant deux jours en Chine, le ministre russe des Affaires étrangères a appelé Pékin et Moscou à travailler leur indépendance technologique vis-à-vis des systèmes de paiement occidentaux, pour réduire les risques de sanctions économiques.
Sur son site Internet, l'ambassade des Etats-Unis en Russie a indiqué les heures et lieux de manifestations non-autorisées qui seraient prévues le 23 janvier, dans plusieurs villes du pays. La diplomatie russe a dénoncé une forme d'ingérence.
Deux cosmonautes russes et un astronaute américain en provenance de la Station spatiale internationale (ISS) ont regagné la Terre après une mission de six mois dans l'espace démarrée en pleine pandémie de coronavirus.
Dans sa tentative de décrédibiliser son adversaire démocrate à la présidentielle, Donald Trump assure que les dirigeants de puissances étrangères rivales des Etats-Unis «rêvent» de Joe Biden à la Maison Blanche.
Le président américain a annoncé qu'il allait reporter à une date non précisée le sommet du G7 prévu en juin aux Etats-Unis. Il s'est proposé surtout d'inviter d'autres pays à la réunion : la Russie, l'Inde, l'Australie et la Corée du Sud.
A quelques mois du plus important déploiement de troupes américaines en Europe en 25 ans, et notamment près de la frontière avec la Russie, un sondage fait le point sur la confiance, extrêmement variable, des citoyens européens en l'OTAN.
Le chef de la diplomatie russe a affirmé que le gazoduc reliant la Russie à l'Allemagne allait bientôt voir le jour malgré les sanctions américaines. Il s'est dit convaincu que les Européens étaient les mieux placés pour comprendre leurs intérêts.
Le secrétaire d'Etat américain a prononcé une déclaration abrasive envers la Russie et la Chine, lors d'une visite en Allemagne, à l'occasion des 30 ans de la chute du mur. Mike Pompeo a notamment fustigé le développement économique des deux pays.
Le département d'Etat américain a décidé de poursuivre sa politique de sanctions contre la Russie, en reprenant les accusations d'empoisonnement de l'ancien agent double Sergueï Skripal. Pour Moscou, il ne s'agit que d'un prétexte.
Sous l'impulsion de Donald Trump, les Etats-Unis ont dénoncé le traité sur les armes nucléaires intermédiaires, avec une sortie programmée pour août 2019. Sur la même ligne que Washington, l'OTAN met en demeure Moscou de se conformer à ses exigences.
Face aux accusations des Etats-Unis après l'arrivée d'avions militaires et de personnel russe à Caracas, la Russie a rappelé qu'elle s'en tenait à une coopération entre les deux Etats prévue par des accords bilatéraux.
Lors d'une conversation avec des journalistes allemands, Richard Grenell a répété ses menaces contre les entreprises européennes participant à la construction du gazoduc Nord Stream 2, qui doit relier l'Allemagne et la Russie.
Jacques Attali, président de la fondation Positive Planet, est l’invité de Jean-Marc Sylvestre dans La Grande Interview, l'occasion pour lui d’évoquer son livre « Comment nous protéger des prochaines crises ? » (Fayard, 2018).
Le 5 novembre, Donald Trump a déclaré qu'il n'était «pas sûr» de pouvoir rencontrer son homologue russe à Paris lors des commémorations du 11 Novembre, tandis que le porte-parole du président russe, Dmitri Peskov, a affirmé le contraire.
Le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Riabkov a jugé dangereux le retrait américain du traité nucléaire INF, signé avec la Russie en 1987. Il a souligné son importance pour la sécurité internationale.
Pilier de l'ONU, mais en même temps critiques de l'architecture onusienne, les Etats-Unis devraient jouer un rôle déterminant dans la nouvelle assemblée générale de l'ONU. Avec une question : le monde ira-t-il vers plus de chaos ou de stabilité ?
Mise en cause par Washington dans l'affaire Skripal, la Russie, par la voix du chef de sa diplomatie Sergueï Lavrov, a rappelé avoir rempli ses obligations en matière de désarmement chimique, contrairement aux Etats-Unis.
D'après le Guardian, une Russe employée par l'ambassade américaine aurait été une espionne. Le Secret Service américain dément et rappelle qu'employer des étrangers n'est pas rare et qu'en aucun cas ceux-ci n'accèdent à des informations sensibles.
Dans un tweet incendiaire, le président américain a exhorté son ministre de la Justice à mettre fin à l'enquête sur l'ingérence russe supposée dans la présidentielle de 2016. Et renvoyé le FBI à sa proximité avec la candidate Hillary Clinton.
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