Relations russo-américaines
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Les Etats-Unis ont annoncé, en coordination avec les pays du G7, une nouvelle série de sanctions anti-russes, un an après le lancement de l'opération militaire russe en Ukraine, que les Occidentaux dénoncent comme une guerre d'invasion.
Conflit en Ukraine, rivalité Chine/Occident ou réorientations diplomatiques des pays du Sud : l'ex-diplomate Michel Raimbaud s'interroge sur les grands défis à venir en 2023 – relevant, en toile de fond une mise à mal de l'hégémonie occidentale.
Moscou et Washington ont échangé la basketteuse américaine Brittney Griner, détenue en Russie pour trafic de cannabis, contre le ressortissant russe Viktor Bout, qui purgeait une peine de prison de 25 ans aux Etats-Unis notamment pour trafic d'armes.
S'exprimant lors d'une réunion du club Valdaï ce 27 octobre, Vladimir Poutine a notamment accusé l'Occident de nourrir des intentions agressives et destructives vis-à-vis de la Russie, qui ne ferait que défendre son intégrité.
L'attitude de l'Occident face à la Russie a pris une tournure tout à fait radicale. Mais peut-on soudainement se mettre à haïr une nation toute entière ? N'y a-t-il pas là des précédents ou une tendance de fond ?
Le chef de la diplomatie russe a rappelé qu'un «canal» avait été prévu par les présidents Biden et Poutine pour discuter d'échanges de prisonniers. Cette déclaration survient le lendemain de la condamnation en Russie d'une basketteuse américaine.
La Diplomatie russe a publié une liste de ressortissants américains jugés hostiles, en réponse à des mesures similaires prises par Washington. Le président et son Secrétaire d'Etat sont concernés, mais aussi des artistes et hommes d'affaires.
La Russie a annoncé avoir convoqué l'ambassadeur des Etats-Unis à Moscou pour protester contre les récentes déclarations de Joe Biden, qui a qualifié Vladimir Poutine de «criminel de guerre». Des propos que le gouvernement russe juge «indignes».
Sergueï Lavrov et Antony Blinken ont échangé ce 1er février par téléphone dans un contexte de vives tensions entre Washington et Moscou autour de l'Ukraine et de la sécurité en Europe.
Le ministre russe des Affaires étrangères a estimé que l'Ukraine n'était «pas prête» à rejoindre l'OTAN, et que cette adhésion serait «une violation flagrante des obligations prises par [...] les Etats membres de l'Alliance».
Alexandre del Valle, géopolitologue et écrivain, constate l'impuissance de l'Union européenne pour parvenir à une désescalade sur le dossier ukrainien. En cause selon lui : l'influence écrasante des Etats-Unis.
Le ministre russe des Affaires étrangères est interviewé par les quatre plus grandes stations de radio russes, ce 28 janvier, au sujet de la politique étrangère de la Russie et, de manière plus générale, des relations internationales.
Jean de Gliniasty, directeur de recherches à l'Iris, et Régis Le Sommier, grand reporter RT France, reviennent sur la rencontre du 21 janvier à Genève entre les chefs des diplomaties russe et américaine, sur fond de tensions autour de l'Ukraine.
Le ministre russe des Affaires étrangères et son homologue américain discutent ce jour en Suisse des tensions qui s’accumulent autour du dossier ukrainien. Plusieurs rencontres entre les deux diplomaties ont lieu ces derniers jours, sans succès.
Deux figures incontournables de la guerre froide : Andreï Gromyko, ministre soviétique des Affaires étrangères, et Henry Kissinger, secrétaire d’État américain. Un respect mutuel et une guerre sans merci dans les coulisses de la diplomatie mondiale.
Ce 23 décembre, le président russe a été interrogé à plusieurs reprises par la presse sur les tensions autour de l'Ukraine. Il s'est étonné que l'Occident demande des garanties de sécurité à la Russie, alors que l'OTAN n'a cessé de s'étendre à l'Est.
La Russie a rendu publiques les propositions de traités qu'elle a remises aux Etats-Unis, afin de mettre un terme aux tensions récurrentes avec les pays de l'OTAN. Moscou propose d'entamer les négociations immédiatement, mais Washington temporise.
Moscou a annoncé avoir remis aux Etats-Unis une liste de propositions «pour la sécurité de la Russie». Celles-ci concernent des garanties juridiques visant notamment à ce que l'OTAN ne s'étende pas à des pays voisins de la Russie, tels que l'Ukraine.
Au cours d'un entretien par visioconférence, le président russe a proposé à son homologue américain de revenir sur toutes les mesures restrictives prises ces dernières années par chacune des deux parties et qui affectent leurs missions diplomatiques.
La liste des 110 pays invités à ce sommet voulant s'attaquer «aux plus grandes menaces auxquelles sont confrontées les démocraties» a été dévoilée par les Etats-Unis. La Russie et la Chine en sont les grandes absentes et ont émis de vives critiques.
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