Relations russo-américaines
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La Diplomatie russe a publié une liste de ressortissants américains jugés hostiles, en réponse à des mesures similaires prises par Washington. Le président et son Secrétaire d'Etat sont concernés, mais aussi des artistes et hommes d'affaires.
La Russie a annoncé avoir convoqué l'ambassadeur des Etats-Unis à Moscou pour protester contre les récentes déclarations de Joe Biden, qui a qualifié Vladimir Poutine de «criminel de guerre». Des propos que le gouvernement russe juge «indignes».
Sergueï Lavrov et Antony Blinken ont échangé ce 1er février par téléphone dans un contexte de vives tensions entre Washington et Moscou autour de l'Ukraine et de la sécurité en Europe.
Le ministre russe des Affaires étrangères a estimé que l'Ukraine n'était «pas prête» à rejoindre l'OTAN, et que cette adhésion serait «une violation flagrante des obligations prises par [...] les Etats membres de l'Alliance».
Alexandre del Valle, géopolitologue et écrivain, constate l'impuissance de l'Union européenne pour parvenir à une désescalade sur le dossier ukrainien. En cause selon lui : l'influence écrasante des Etats-Unis.
Le ministre russe des Affaires étrangères est interviewé par les quatre plus grandes stations de radio russes, ce 28 janvier, au sujet de la politique étrangère de la Russie et, de manière plus générale, des relations internationales.
Jean de Gliniasty, directeur de recherches à l'Iris, et Régis Le Sommier, grand reporter RT France, reviennent sur la rencontre du 21 janvier à Genève entre les chefs des diplomaties russe et américaine, sur fond de tensions autour de l'Ukraine.
Le ministre russe des Affaires étrangères et son homologue américain discutent ce jour en Suisse des tensions qui s’accumulent autour du dossier ukrainien. Plusieurs rencontres entre les deux diplomaties ont lieu ces derniers jours, sans succès.
Deux figures incontournables de la guerre froide : Andreï Gromyko, ministre soviétique des Affaires étrangères, et Henry Kissinger, secrétaire d’État américain. Un respect mutuel et une guerre sans merci dans les coulisses de la diplomatie mondiale.
Ce 23 décembre, le président russe a été interrogé à plusieurs reprises par la presse sur les tensions autour de l'Ukraine. Il s'est étonné que l'Occident demande des garanties de sécurité à la Russie, alors que l'OTAN n'a cessé de s'étendre à l'Est.
La Russie a rendu publiques les propositions de traités qu'elle a remises aux Etats-Unis, afin de mettre un terme aux tensions récurrentes avec les pays de l'OTAN. Moscou propose d'entamer les négociations immédiatement, mais Washington temporise.
Moscou a annoncé avoir remis aux Etats-Unis une liste de propositions «pour la sécurité de la Russie». Celles-ci concernent des garanties juridiques visant notamment à ce que l'OTAN ne s'étende pas à des pays voisins de la Russie, tels que l'Ukraine.
Au cours d'un entretien par visioconférence, le président russe a proposé à son homologue américain de revenir sur toutes les mesures restrictives prises ces dernières années par chacune des deux parties et qui affectent leurs missions diplomatiques.
La liste des 110 pays invités à ce sommet voulant s'attaquer «aux plus grandes menaces auxquelles sont confrontées les démocraties» a été dévoilée par les Etats-Unis. La Russie et la Chine en sont les grandes absentes et ont émis de vives critiques.
Le porte-parole du président ukrainien a assuré que Kiev ne disposait d'aucune information permettant de confirmer les allégations de deux médias américains, qui affirment que la Russie a augmenté sa présence militaire à la frontière avec l'Ukraine.
Moscou a répondu aux accusations du président américain, qui avait jugé Vladimir Poutine «encore plus dangereux» en raison des problèmes qu'il impute à l’économie russe. Les deux pays poursuivent toutefois des négociations à Genève.
Le ministre russe des Affaires étrangères a déclaré que les pays occidentaux menaient une offensive contre les religions et le «code génétique» des civilisations, dans le but d’abattre tous les obstacles sur la voie du libéralisme.
En réponse à Eric Zemmour, qui appelait à une «alliance privilégiée avec la Russie», Bernard-Henri Lévy a affirmé que le président russe Vladimir Poutine «[haïssait] l'Europe et la France» et «[menaçait] l'Europe par tous les moyens possibles».
Lors d'une interview accordée à la chaîne américaine NBC News, le président russe a déclaré que les rumeurs selon lesquelles la Russie s'apprêterait à fournir un satellite sophistiqué à l'Iran étaient des informations fausses et insensées.
S'exprimant sur la rencontre à venir entre Vladimir Poutine et Joe Biden, le ministre russe des Affaires étrangères a réaffirmé «n’avoir ni grandes attentes ni illusions» sur les avancées diplomatiques qui pourraient avoir lieu.
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