Accusé de viol, Gérald Darmanin a été en pleine commission l'objet d'une curieuse remarque de la part de François de Rugy, une allusion à ces accusations créant un certain malaise en commission.
Dans une ambiance à vif, l'Assemblée nationale a donné son feu vert à la prolongation de l'état d'urgence sanitaire jusqu'au 1er juin face à l'épidémie de Covid-19, en dépit de l'opposition de la gauche comme de la droite.
Alors que l'examen du projet de loi sur le «séparatisme» visant a lutter contre l'islamisme radical a débuté à l'Assemblée nationale, l'opposition dénonce le nombre d'amendements jugés irrecevables par la commission spéciale.
Alors que l'Assemblée nationale s'apprête à examiner en séance plénière les modalités du scrutin de la présidentielle 2022, des députés non inscrits ont déposé un amendement visant à élargir le vote par correspondance à l'ensemble du corps électoral.
Après les législatives du 6 décembre, l'Assemblée nationale vénézuélienne a accueilli le 5 janvier ses nouveaux députés, majoritairement issus du camp chaviste. Sans surprise, l'opposant Juan Guaido appelle à ignorer le résultat des urnes.
Le député du Cher, Loïc Kervran, quitte le parti et le groupe parlementaire présidentiels LREM. Il est désormais le 45e député à sortir du groupe de la majorité, deux jours après le départ de Fiona Lazaar.
Les députés anciennement membres de La République en marche Aurélien Taché et Emilie Cariou vont co-présider un nouveau parti politique dénommé «Les nouveaux démocrates» qui appelle à un large rassemblement à gauche autour de 40 propositions.
L'ancien président de l'Assemblée nationale prendra la tête de la commission spéciale de députés qui sera chargée dès janvier 2021 d'examiner le projet de loi contre les séparatismes, renommé «loi confortant les principes républicains».
Maduro dit qu'il partira si l'opposition gagne, Guaido boycotte, Washington ne reconnait pas le scrutin, l'UE refuse d'envoyer des observateurs et Moscou appelle au respect des résultats. Décryptage de législatives sous haute tension au Venezuela.
La majorité a promis le 30 novembre la réécriture du controversé article 24, en pleine navette parlementaire avec le Sénat. Ce texte, qui cristallise les tensions, peut-il tourner à la crise politique ?
La commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur la gestion de la crise sanitaire tire à boulets rouges sur le gouvernement. LREM dénonce un «rapport partial et partiel».
Hémicycles presque vides, lois votées par peu d’élus, mesures prises par l’exécutif : après les citoyens, ce sont les élus eux-mêmes qui se détachent de la politique. Analyse d’un phénomène inquiétant.
Alors que Christophe Castaner a annoncé que l'article 24 du projet de loi Sécurité globale ferait l'objet d'une réécriture «complète» par la majorité, les critiques fusent à droite comme à gauche contre les parlementaires et l'exécutif macronistes.
Le Premier ministre va instaurer «une commission indépendante chargée de proposer une nouvelle écriture de l'article 24» de la proposition de loi Sécurité globale. Un article déjà voté par l'Assemblée nationale mais qui continue de faire polémique.
Le groupe parlementaire Agir ensemble veut rendre obligatoire l'isolement des personnes positives au Covid-19 ou cas contacts et sanctionner son non-respect par une amende de 1 500 euros. Après l'écologie punitive, le sanitaire punitif.
Critique de l'éolien, le député LR Julien Aubert propose une loi «visant à raisonner» son développement. En commission pour la défendre, il a dénoncé les contradictions des macronistes sur le sujet alors même que cela impacte le budget de l'Etat.
La chambre haute doit voter un texte sur un projet de résolution visant à reconnaître la «République du Haut-Karabagh» porté par des élus de tous bords politiques.
Alors que la loi Sécurité globale faisait l'objet d'un vote solennel à l'Assemblée nationale, quelques dizaines de manifestants, majoritairement Gilets jaunes, se sont rassemblés pour dénoncer le projet de loi.
Alors que les députés voteront ce 24 novembre sur le projet de loi Sécurité globale, la députée LREM Nathalie Sarles s'est déclarée «en opposition [avec] une grande partie de ce texte», considérant qu'il «vient affirmer que l'Etat est autoritaire».
Le député LREM de Saône-et-Loire Rémy Rebeyrotte a encouragé ses pairs à s'inspirer du travail artistique de la chanteuse Aya Nakamura afin de réinventer la langue française. Une intervention qui n'est pas passée inaperçue sur les réseaux sociaux.