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Accusé d'avoir recouru au logiciel-espion pour surveiller des dizaines d'indépendantistes, le gouvernement de Pedro Sanchez a catégoriquement démenti. Le Parlement européen va créer une commission d'enquête sur l'emploi de Pegasus sur le continent.
La loi sur la responsabilité pénale et la sécurité intérieure est parue au journal officiel, elle vient compléter la loi de sécurité globale (partiellement retoquée par le Conseil constitutionnel) et préciser la notion d'irresponsabilité pénale.
Meta a expliqué avoir «mis hors d'état de nuire» des entreprises qui pratiquaient «la surveillance pour le compte d'autrui» sur les réseaux sociaux que possède le groupe. La majorité des structures en cause ont été géolocalisées en Israël.
Nouveau service français de protection contre les ingérences numériques étrangères, Viginum a reçu le feu vert du Conseil d'Etat pour collecter les données publiques sur les réseaux sociaux, afin de lutter contre la diffusion de fausses informations.
Nexa Technologies a été mise en examen pour «complicité d'actes de tortures». La société est accusée d'avoir vendu au pouvoir égyptien du matériel de cybersurveillance qui lui aurait permis de traquer des opposants.
Confronté à une crise de vocations, le ministère de la Justice peine à recruter des surveillants pénitentiaires. Les syndicats déplorent une situation qui dure depuis des années et soulignent : seuls 30% des inscrits au concours le passent.
Facebook a annoncé vouloir se passer de la reconnaissance faciale active qui permet d'identifier les personnes sur le contenu publié. L'entreprise entend toutefois conserver le logiciel qui alimente le système, «un algorithme avancé appelé DeepFace».
Alors que la police niait avoir eu recours au logiciel de reconnaissance facial Clearview, la ministre belge de l'Intérieur vient de reconnaître son utilisation par deux détectives lors d'une réunion avec Europol, en dehors de tout cadre légal.
Notre correspondant à New York Thomas Bonnet revient sur la législation antiterroriste adoptée aux Etats-Unis en réaction aux attentats du 11 septembre 2001, jugée liberticide et excessive par ses contempteurs.
La police fédérale allemande aurait lancé en 2019 un processus d'achat afin d'obtenir le logiciel espion Pegasus, commercialisé par la société israélienne NSO. L'identité des individus potentiellement surveillés n'a pas été révélée.
Le gouverneur d'Australie-Méridionale a vanté la mise en place d'un logiciel sur smartphone qui surveille les personnes soumises à la quarantaine dans le cadre de la crise sanitaire. L'application est actuellement en phase pilote.
Selon le site américain BuzzFeed, une vingtaine de pays dont la France ont eu recours à la technologie controversée de reconnaissance faciale de la société américaine Clearview AI. Des accusations démenties par les autorités françaises.
Jugeant la censure contre-productive Pavel Dourov a cité l'hypothèse d'une fuite de laboratoire à l'origine du Covid-19 comme exemple de théorie d'abord bloquée par les réseaux avant d'être «en passe de devenir le point de vue scientifique dominant».
Cocorico : la France tient son remède au malware israélien Pegasus que le Maroc aurait utilisé pour viser de nombreuses personnalités politiques françaises de premier rang et des journalistes. L'enjeu diplomatique de ces outils devient crucial.
Le journaliste de Fox News Tucker Carlson soutient que l'administration Biden, par l'intermédiaire de la NSA, l'a espionné lui et son équipe «pour des raisons politiques». L'agence s'est défendue dans un court communiqué. Sans convaincre.
Qualifié par ses détracteurs de «dystopique», un programme de surveillance aérienne – financé par un milliardaire – utilisé pendant plusieurs mois de façon intensive par la police de Baltimore, a finalement été jugé inconstitutionnel.
Selon un rapport d'enquête, la Gendarmerie royale du Canada a violé la loi en utilisant la technologie controversée de reconnaissance faciale de la société américaine Clearview AI. Cela constituerait «une importante atteinte à la vie privée».
Les journalistes venant de l'étranger qui couvriront les Jeux olympiques de Tokyo cet été seront constamment géolocalisés et risqueront de perdre leur accréditation s'ils enfreignent les règles, a fait savoir le comité d'organisation.
Le détournement des systèmes de renseignements du Danemark par la NSA afin d'espionner des responsables européens sera dénoncé si avéré, avec des «conséquences en termes de coopération» avec les Etats-Unis, selon le secrétaire d'Etat Clément Beaune.
L'agence de renseignement américaine, épinglée par Edward Snowden il y a plusieurs années, a espionné en partenariat avec le renseignement danois des parlementaires et hauts responsables allemands, français, norvégiens et suédois.