SIDERANT

Le président français est mis en cause dans un rapport parlementaire, publié ce 18 juillet, concernant les «Uber Files». Ses auteurs dénoncent l’existence d’une relation «opaque» et «privilégiée» entre Emmanuel Macron et le géant américain des VTC.
La députée LFI Danielle Simonnet a accusé Olivier Dussopt d'avoir empêché un contrôle de l'Inspection du travail chez Uber en faisant appel d'une décision judicaire. Celui-ci a contesté cette affirmation, défendant l'action du gouvernement.
La commission des lois a voté en faveur de la proposition des insoumis visant à enquêter sur les révélations concernant les actions de lobbying d'Uber auprès des décideurs publics, le nom d'Emmanuel Macron étant apparu dans cette affaire.
Des livreurs Uber Eats se sont rassemblés à Paris pour protester contre la décision de l'entreprise de fermer 2 500 comptes. Cette dernière met en avant ses engagements de lutte contre l'emploi de travailleurs sans papiers auprès du gouvernement.
Dans la capitale belge, des drapeaux de plusieurs pays européens flottaient lors d'une mobilisation de chauffeurs de taxis contre la société Uber. Plusieurs centaines de personnes étaient dans la rue pour dénoncer les pratiques de la plateforme.
Après les révélations des Uber Files, l’Union nationale des taxis a annoncé qu’elle déposerait plainte contre le président français Emmanuel Macron pour «trafic d’influence» et «prise illégale d’intérêt», tout en interpellant des parlementaires.
POLIT'MAG avec nos éditorialistes Didier Maïsto et Eric Revel.
Dans son rapport annuel sur l'Etat de droit, l'exécutif européen conseille à la France d'appliquer plus efficacement les règles sur le lobbying, notamment pour les «plus hautes fonctions de l'exécutif», alors que surgit l'affaire des «Uber files».
En déplacement dans l'Isère, le chef de l'Etat a expliqué «assume[r] à fond» son action auprès d'Uber alors qu'il était ministre de l'Economie. Il s'est dit «extrêmement fier» d'avoir agi, selon lui, «pour créer des milliers d'emplois».
Il y a grand raffut chez les Castors qui, à l’approche du 14 juillet, sans doute en souvenir de leurs lointains ancêtres, semblent rongés par quelques tardifs scrupules et cherchent probablement à se faire pardonner leurs turpitudes électorales.
Les révélations sur les liens entre Emmanuel Macron et Uber dans la presse ont mis à jour le soutien de l’ancien lobbyiste en chef en Europe de la start-up qui aurait organisé des dîners de récolte de fonds pour lancer le parti du futur président.
La vidéo d'un échange entre le candidat Emmanuel Macron de 2017 et le syndicaliste de chauffeurs de VTC Sayah Baaroun a refait surface alors que le président est pointé du doigt par l'opposition à la suite des révélations dites des Uber Files.
Affaiblie après une mauvaise reconduction de majorité à l'Assemblée nationale et confrontée à une motion de censure, la macronie fait désormais face à des révélations sur le comportement d'Emmanuel Macron en faveur d'Uber sous François Hollande.
Le Monde a épinglé les liens entre Uber et Emmanuel Macron lorsque celui-ci était ministre de l'Economie, en se basant sur des documents internes de la société américaine transmis au journal britannique The Guardian.
La justice a décidé de relancer son enquête contre la société Uber qui est soupçonnée d'avoir recours à une forme de «travail dissimulé». Les investigations portent sur les conditions d’emploi des chauffeurs Uber. Une procédure qui court depuis 2015.
Uber a annoncé le 22 novembre que son service destiné à la livraison de plats cuisinés permettra également à ses clients majeurs de commander du cannabis sur son application dans la province canadienne de l'Ontario.
Une trentaine d'entreprises américaines participent au programme d'une ONG visant à intégrer par le travail les réfugiés afghans arrivés aux Etats-Unis, et ce en soutien à «la vision à long terme du gouvernement américain».
Dans La Grande interview, Jean-Marc Sylvestre reçoit Nicolas Rousselet, président de G7, sur le thème «Entre écologie et ubérisation, les taxis s'adaptent».
L'homme soupçonné d'avoir agressé et proféré des injures racistes à un livreur noir devant un restaurant de Cergy-Pontoise a été interpellé à Paris, a appris l'AFP de source policière, confirmant une information du Parisien.
Marquée par des appartenances communautaires fortes, la société américaine traverse une période tendue depuis la mort de George Floyd. Contexte dans lequel Uber a annoncé vouloir favoriser l'activité économique «des restaurants tenus par des Noirs».