ILS L'ONT DIT

L'UE et la Nouvelle-Zélande ont conclu le 30 juin un accord de libre-échange qui suscite des craintes chez les éleveurs français qui redoutent une concurrence déloyale. Plusieurs personnalités politiques ont pointé les dangers de ce traité.
Environ 200 manifestants se sont réunis le 1er juin à l'appel du syndicat Sud-Rail devant la gare parisienne pour protester contre l'ouverture du marché ferroviaire à la concurrence, qui s'est déjà traduite par l'arrivée de la compagnie Trenitalia.
Le président sortant a invoqué les dérives des comportements sur les réseaux sociaux, ainsi que la situation de monopole des GAFAM pour proposer la création d'un nouvel «ordre public» numérique, nettement plus régulé et encadré.
L'entreprise américaine s'est vue infliger une amende de 2 millions d'euros par le tribunal de commerce de Paris pour ses pratiques commerciales abusives envers les développeurs d'applications mobiles. Elle doit modifier son contrat de distribution.
Le gendarme allemand de la concurrence s'est dit prêt à imposer des limites aux activités du géant américain Google. Il bénéficie pour cela d'une récente loi renforçant ses pouvoirs face aux poids lourds du net.
Avec la concurrence de nouvelles compagnies ferroviaires, la filiale de la SNCF qui exploite les gares va devoir trouver de la place. Trenitalia arrive dès ce week-end sur la ligne Paris-Lyon avec des tarifs attractifs et des fauteuils en cuir.
La FTC, autorité de la concurrence aux Etats-Unis, a déposé de nouvelles poursuites contre Facebook l'accusant d'abus de position dominante, et détaillant cette fois les moyens utilisés pas le géant des réseaux sociaux pour évincer la concurrence.
Google est visé aux Etats-Unis par plusieurs Etats pour «monopole illégal» dans l'accès aux applications mobile via sa boutique Play Store. Selon la procureur, le groupe «étouffe des millions de petites entreprises qui essayent juste de rivaliser».
Google a été condamné à une amende de 220 millions d'euros pour avoir favorisé ses propres services en matière de publicité en ligne. C'est la première sanction qui s'intéresse aux mécanismes algorithmiques de ce modèle publicitaire.
Malgré le Brexit, le Royaume-Uni et la Commission européenne semblent s’être coordonnés pour tomber à bras raccourcis sur Facebook. Le réseau social est soupçonné d’entrave à la concurrence et d’abus de position dominante.
Le gendarme italien de la concurrence a infligé une amende de 102 millions d'euros au géant américain du numérique. En cause ? Son refus de proposer sur Google Play une application de recherche de bornes de recharge pour voitures électriques.
La compétition, encore et toujours. Ainsi va la vie des jeunes danseurs qui aspirent à atteindre les sommets. Dans cet épisode de Ballet à la russe, nous suivons Anna et Ivan, partenaires sur scène comme dans la vie.
Avec les lanceurs spatiaux qu'il a développés, l'Homme est aujourd'hui capable d'envoyer des charges utiles en orbite terrestre ou dans l'espace interplanétaire. Le coût de leur fabrication et leur durée de vie sont lourds d'enjeux.
48 Etats et territoires américains ont attaqué Facebook en justice pour abus de position dominante. La procédure porte aussi sur la gestion des données personnelles et les pratiques commerciales du géant américain.
Le géant américain Amazon est accusé par Bruxelles d'«abus de position dominante» et d'enfreindre les règles de l'UE. Des pratiques qui fausseraient selon les autorités européennes les règles du marché.
Des élus locaux de tous bords, inquiets des conséquences possibles du projet de rachat de Suez par son concurrent Véolia, demandent à être consultés par le gouvernement. Les syndicats et dirigeants de Suez, eux, sont vent debout contre ce projet.
Le géant américain du numérique a fustigé les demandes d’informations formulées à son adresse par la Commission européenne. D'après lui, les documents requis sont «sans rapport avec leur enquête» et contiennent «des informations privées».
Les Européens pensent que Londres joue la montre pour arracher des concessions de dernière minute dans les négociations de l’accord sur ses relations futures avec l'Union européenne. Berlin appelle ses partenaires à se préparer à un «no deal 2.0».
Berlin voit d'un mauvais œil la décision de l'administration Trump de retirer 9 500 soldats américains sur les 34 500 déployés en Allemagne. Le Premier ministre polonais espère quant à lui attirer les contingents américains en cas de redéploiement.
La deuxième plus haute juridiction de l’Union européenne a refusé la demande de Gazprom qui contestait une directive qui le priverait du contrôle du gazoduc Nord Stream 2 dont il assure le financement. L’opérateur a deux mois pour faire appel