SIDERANT

Pékin a mis en garde ce 14 septembre contre l'«impact négatif» que pourrait avoir l'enquête de l'Union européenne sur les subventions chinoises aux voitures électriques, au moment où les constructeurs de l'UE s'inquiètent d'une concurrence déloyale.
Dans un entretien accordé à la presse britannique, l’économiste étasunienne Fiona Scott Morton règle ses comptes quant à son arrivée avortée à la Commission européenne. Elle s’en prend tout particulièrement à la France et à son président.
L'économiste Fiona Scott Morton a annoncé qu'elle renonçait à briguer un poste clé de l'Union européenne pour la régulation des géants de la tech après une polémique centrée sur sa nationalité américaine.
La Commission européenne a nommé l'Américaine Fiona Scott Morton au poste d’économiste en chef de la concurrence. L'arrivée de cette ancienne responsable anti-trust du président Barack Obama interroge sur l'influence étasunienne à Bruxelles.
Alors que ce mécanisme d'encadrement des prix doit prendre fin le 30 juin, l'association CLCV suggère à Emmanuel Macron d'envisager son maintien pour deux années supplémentaires, afin de «passer la tempête» de la crise énergétique.
Dans une lettre adressée à Elisabeth Borne, les élus prônent la suspension de l'ouverture à la concurrence, prévue pour le réseau de bus de la RATP dès 2025. Selon eux, celle-ci sera synonyme d'une dégradation du service et des conditions de travail.
La nouvelle loi américaine sur la réduction de l’inflation est perçue en Europe comme un vaste programme de subventions aux entreprises américaines. Le ministre français de l’Economie et le commissaire de l'Union européenne s’indignent et menacent.
La Commission de régulation de l'énergie (CRE) met la pression sur les fournisseurs d’électricité alternatifs, dont l’un est désormais sous le coup d’une enquête, soupçonné d’avoir fait des profits indus avec une électricité achetée bon marché à EDF.
Jean-Pierre Bosino, maire communiste de Montataire, a annoncé s'attendre à un quadruplement des dépenses d'électricité de la commune, de 600 000 à 2,5 millions d'euros. Il refuse de s'acquitter de telles sommes et a appelé d'autres élus à l'imiter.
Plombé par les modalités du «bouclier tarifaire», et en particulier la vente à bas pris d’électricité à ses concurrents, EDF a déposé des recours devant le Conseil d’Etat et réclame une indemnité de plus de 8 milliards d'euros.
L'UE et la Nouvelle-Zélande ont conclu le 30 juin un accord de libre-échange qui suscite des craintes chez les éleveurs français qui redoutent une concurrence déloyale. Plusieurs personnalités politiques ont pointé les dangers de ce traité.
Environ 200 manifestants se sont réunis le 1er juin à l'appel du syndicat Sud-Rail devant la gare parisienne pour protester contre l'ouverture du marché ferroviaire à la concurrence, qui s'est déjà traduite par l'arrivée de la compagnie Trenitalia.
Le président sortant a invoqué les dérives des comportements sur les réseaux sociaux, ainsi que la situation de monopole des GAFAM pour proposer la création d'un nouvel «ordre public» numérique, nettement plus régulé et encadré.
L'entreprise américaine s'est vue infliger une amende de 2 millions d'euros par le tribunal de commerce de Paris pour ses pratiques commerciales abusives envers les développeurs d'applications mobiles. Elle doit modifier son contrat de distribution.
Le gendarme allemand de la concurrence s'est dit prêt à imposer des limites aux activités du géant américain Google. Il bénéficie pour cela d'une récente loi renforçant ses pouvoirs face aux poids lourds du net.
Avec la concurrence de nouvelles compagnies ferroviaires, la filiale de la SNCF qui exploite les gares va devoir trouver de la place. Trenitalia arrive dès ce week-end sur la ligne Paris-Lyon avec des tarifs attractifs et des fauteuils en cuir.
La FTC, autorité de la concurrence aux Etats-Unis, a déposé de nouvelles poursuites contre Facebook l'accusant d'abus de position dominante, et détaillant cette fois les moyens utilisés pas le géant des réseaux sociaux pour évincer la concurrence.
Google est visé aux Etats-Unis par plusieurs Etats pour «monopole illégal» dans l'accès aux applications mobile via sa boutique Play Store. Selon la procureur, le groupe «étouffe des millions de petites entreprises qui essayent juste de rivaliser».
Google a été condamné à une amende de 220 millions d'euros pour avoir favorisé ses propres services en matière de publicité en ligne. C'est la première sanction qui s'intéresse aux mécanismes algorithmiques de ce modèle publicitaire.
Malgré le Brexit, le Royaume-Uni et la Commission européenne semblent s’être coordonnés pour tomber à bras raccourcis sur Facebook. Le réseau social est soupçonné d’entrave à la concurrence et d’abus de position dominante.