BRAS DE FER

Les forces de l'ordre ont recouru aux canons à eau ainsi qu'au gaz lacrymogène face à une manifestation de plusieurs centaines de pêcheurs à Rennes. Des blessés ont dû être transférés à l'hôpital.
Les manifestations du 1er Mai en France ont connu des affrontements entre forces de l'ordre et manifestants dans plusieurs villes notamment à Paris. Du mobilier urbain et des vitrines de certains commerces ont par ailleurs été dégradés.
L'annonce des résultats du premier tour de l'élection présidentielle a été ponctuée par divers incidents et actes de vandalisme à Rennes et Lyon où plusieurs centaines de personnes ont manifesté leur mécontentement.
Les forces de l'ordre sont intervenues à Rennes durant la marche pour le climat pour disperser des blacks blocs. Des affrontements sont survenus et des gaz lacrymogènes ont été utilisés.
A Rennes, des membres d'un collectif de soutien «aux personnes exilées» ont investi le 16 octobre une école publique inoccupée afin d'y installer des migrants en marge d'une manifestation. La police est ensuite intervenue pour déloger les occupants.
La tournée du Vaxibus de la radio Skyrock, destinée à inciter les jeunes à se faire vacciner contre le Covid-19, a été écourtée à Rennes du fait d'un accueil hostile. L'initiative avait également dû être avortée à Montpellier quelques jours plus tôt.
Dans la capitale bretonne, des centaines de fêtards qui ne respectaient pas le couvre-feu et avaient allumé un «feu de joie» ont été dispersés par la police avec l'aide de gaz lacrymogènes.
Pour la seconde fois en moins de trois semaines, des menaces ont de nouveau été taguées sur le mur d'un centre culturel musulman à Rennes. Le Conseil français du culte musulman (CFCM) a condamné des «inscriptions racistes et islamophobes».
Le 11 avril, des tags islamophobes ont été découverts sur les murs et les vitres d'un centre culturel rennais dédié à l'islam. Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a qualifié cet acte d'«inacceptable» en annonçant se rendre sur place.
Les municipalités de Lyon et Rennes veulent mettre en place des budgets «sensibles au genre», avec une réorientation des subventions en faveur d'une plus grande parité entre les activités jugées masculines et féminines.
Un policier a été mis en examen après avoir jeté une grenade de désencerclement qui a causé la perte de l'œil d'un Gilet jaune à Rennes. Le magistrat instructeur avait refusé de mettre le policier en examen, avant que le parquet ne fasse appel.
Nomades au XXIe siècle ? C'est possible. Dans le grand nord de la Russie, le peuple nénètse n'a jamais cessé de vivre au rythme de leurs rennes. RT est allé à la rencontre de ces gens à la vie bien peu ordinaire.
La maire PS Nathalie Appéré dénonce des «méthodes d'intimidation» de policiers. Une trentaine d'entre eux ont demandé, devant son domicile, une amélioration de leurs conditions de travail «au volant de véhicules de service toutes sirènes hurlantes».
En s'opposant à la candidature de Rennes comme ville étape du Tour de France, Valérie Faucheux, coprésidente du groupe écologiste, s'est attiré les foudres du quintuple vainqueur du tour de France Bernard Hinault.
«Communier par intinction», «se laver les mains après la communion» : les plus hautes autorités de l'Eglise catholique française ont annoncé avoir pris plusieurs mesures afin de lutter contre la propagation du Covid-19 en France.
Pour leur 66e semaine consécutive de manifestations, les Gilets jaunes ont lancé un appel national à se rassembler à Rennes. Non déclarée, la manifestation a été interdite par la préfecture. A Paris, un parcours sur les trois prévus a été prohibé.
Jacques Toubon a requis des poursuites contre deux policiers qui avaient, selon lui, fait un «usage disproportionné» de leur LBD en 2016 lors d'une manifestation. A l'époque, un étudiant avait perdu l'usage de son œil gauche après avoir été blessé.
Alors que la France a connu sa première journée de mobilisation contre la réforme des retraites, les pompiers ont rejoint la contestation. En tête de cortège, ils se sont placés entre la police et les manifestants, sous les acclamations de la foule.
Selon Ouest-France, une vingtaine de personnes cagoulées s'en sont pris à un bar dans la ville de Rennes. Ils ont voulu cibler des rédacteurs et des sympathisants d'un journal étudiant se revendiquant de la droite conservatrice.
Depuis l’annulation de l’arrêté anti-pesticides du maire de Langouët en Bretagne, de nombreux élus ont décidé de suivre son exemple. A six mois des municipales, les agriculteurs vont-ils devenir des boucs-émissaires ?