SIDERANT

Alors qu'il était venu soutenir le candidat du SPD aux élections régionales, le chancelier allemand a été pris à partie par plusieurs dizaines de manifestants opposés à l'OTAN et à la guerre en Ukraine.
Ce 17 septembre, dans la capitale allemande, des activistes climatiques de Dernière génération ont aspergé de peinture orange la porte de Brandebourg. Ces derniers réclament une accélération de la sortie progressive de Berlin des énergies fossiles.
Le quotidien Bild relate qu’au début du conflit en Ukraine, lors d’un entretien téléphonique avec le chancelier allemand, le président russe n’aurait pas même évoqué les sanctions occidentales contre Moscou. Un point qui aurait tracassé Scholz.
Les principaux soutiens de Kiev ont assuré qu’ils intensifieraient leur aide militaire aux forces ukrainiennes. Selon eux, la contre-offensive en cours vise à donner plus de poids à l’Ukraine, lors d’éventuelles négociations.
Alors que Volodymyr Zelensky espère une «décision politique positive» concernant l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN, Olaf Scholz a déclaré lors d’une interview que Kiev ne remplissait pas tous les critères d’adhésion au bloc militaire occidental.
Selon la police allemande, la fusillade qui a eu lieu le 9 mars au soir dans un local des Témoins de Jéhovah a fait au moins huit morts. Un ancien membre de la communauté est soupçonné. Le chancelier Scholz a dénoncé un «acte de violence brutal»
Il y a «consensus» avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky pour que les armes fournies par les Occidentaux ne soient pas utilisées pour des attaques sur le territoire russe, a déclaré le chancelier allemand Olaf Scholz lors d'une interview.
En dépit de sa livraison de chars à Kiev le chancelier allemand Olaf Scholz a déclaré que Berlin «empêcherait» la guerre en Ukraine de se transformer en conflit entre la Russie et l'OTAN. L'Alliance atlantique s'est, elle, dit prête à un tel conflit.
L'Allemagne n'enverra pas d'avions de combat en Ukraine, a affirmé le chancelier allemand Olaf Scholz, alors que Kiev réclame à l'Occident encore plus d'armement.
Sergueï Netchaïev a vivement dénoncé la décision de Berlin d'envoyer des chars Leopard à l'Ukraine qui porte, selon lui, le conflit à un niveau de confrontation inédit et démontre l'absence de volonté de l'Allemagne de trouver une issue diplomatique.
Le porte-parole de la présidence russe a estimé ce 24 janvier que des livraisons de chars Leopard 2 aux forces ukrainiennes laisseraient «inévitablement leur marque sur les relations futures» entre Moscou et Berlin.
Au cours d'une conférence de presse avec le chancelier allemand, le président français a laissé la porte ouverte à l'envoi de blindés en y posant plusieurs conditions, dont celle de ne pas encourager à donner un caractère «escalatoire» au conflit.
Le chancelier allemand Olaf Scholz était pressé ce 5 janvier par des membres de sa coalition de donner son feu vert à l'envoi de chars vers l'Ukraine, après l'annonce par l’Elysée de la livraison de chars de combat légers français.
A ce stade, pour l'année 2022, l'Allemagne a vendu pas moins de 8,35 milliards d'euros d'armement, dont plus d'un quart à destination de l'Ukraine, selon le ministère fédéral de l'Economie.
Olaf Scholz a essuyé des critiques, jusqu’au sein de la coalition, pour ne pas s’opposer à une prise de participation de l’armateur chinois Cosco dans des infrastructures du port d’Hambourg. Six ministères fédéraux s’opposeraient à l’opération.
Neuf femmes au moins ont été droguées alors qu'elles participaient à la traditionnelle fête estivale du Parti social-démocrate allemand, le SPD. Une plainte contre X a été déposée.
Le gouvernement allemand a adopté un projet de loi ouvrant la possibilité de régulariser des dizaines de milliers de personnes immigrées jugés bien intégrées en Allemagne, mais sans permis de séjour durable dans ce pays.
Alors que Volodymyr Zelensky continue de pousser pour accélérer le processus d'adhésion de Kiev à l'UE, les Vingt-Sept ont refroidi ses ardeurs et insistent sur la nécessité de réforme de l'Ukraine, dont la corruption endémique pose problème.
Selon le chancelier allemand, les investissements considérables décidés par Berlin en réaction au conflit en Ukraine vont permettre de mettre sur pied la plus grande force militaire du continent, confirmant le virage historique décidé fin février.
S'il n'a pas souhaité suivre son homologue ukrainien qui a qualifié la Russie d'«Etat parrain du terrorisme», le président français a réaffirmé qu'il fallait empêcher la victoire de Moscou sur Kiev, y compris au moyen de nouvelles livraisons d'armes.