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Selon le chancelier allemand, les investissements considérables décidés par Berlin en réaction au conflit en Ukraine vont permettre de mettre sur pied la plus grande force militaire du continent, confirmant le virage historique décidé fin février.
S'il n'a pas souhaité suivre son homologue ukrainien qui a qualifié la Russie d'«Etat parrain du terrorisme», le président français a réaffirmé qu'il fallait empêcher la victoire de Moscou sur Kiev, y compris au moyen de nouvelles livraisons d'armes.
Alors que Kiev, en difficulté sur le terrain militaire, en appelle encore à l'Occident, Emmanuel Macron, Olaf Scholz et Mario Draghi se rendent ensemble dans la capitale ukrainienne, où ils doivent rencontrer le président Volodymyr Zelensky.
Les dirigeants russe, français et allemand se sont entretenus au sujet des derniers développements du conflit ukrainien. Vladimir Poutine a notamment alerté ses interlocuteurs sur «le caractère dangereux» des livraisons d'armes occidentales à Kiev.
Le chef de la diplomatie ukrainienne a dénoncé le traitement de la part de «certaines capitales» de la candidature ukrainienne pour adhérer à l'UE. Berlin affirme par exemple ne pas être pas favorable à l'octroi à l'Ukraine d'un «raccourci».
Emmanuel Macron a déclaré qu'une éventuelle adhésion de Kiev à l'UE prendrait des «décennies» si l'organisation n'entendait pas «baisser les standards» qui sont les siens. Il a plaidé pour une «autre forme de coopération».
Les chefs de gouvernement allemand, espagnol et portugais ont appelé à voter pour Emmanuel Macron face à Marine Le Pen au second tour de l'élection présidentielle française le 24 avril, dans une tribune publiée par le quotidien Le Monde.
Lors d'un entretien téléphonique avec Emmanuel Macron et Olaf Scholz, Vladimir Poutine a accusé les forces ukrainiennes de «violations flagrantes» du droit international et appelé les deux dirigeants à faire pression sur Kiev pour y mettre fin.
L’Allemagne a pris la décision d’augmenter drastiquement son budget militaire d’une centaine de milliards d’euros. Une décision historique eu égard au passif du pays qui a connu des restrictions spécifiques à l’issue de la Seconde Guerre mondiale.
Ce 16 février, l'Allemagne s'est engagée dans un plan d'assouplissement des restrictions sanitaires en trois étapes visant à supprimer «une grande partie des restrictions actuellement en place» d'ici le 20 mars.
Le chancelier allemand est attendu par Vladimir Poutine à Moscou, le 15 février, pour converser au sujet des tensions autour de la frontière ukrainienne. Il s'était déjà rendu à Kiev la veille où il s'était entretenu avec le président Zelensky.
En déplacement à Kiev le 14 février pour s'entretenir avec le président ukrainien, le chancelier allemand Olaf Scholz a déclaré que l'adhésion de l'Ukraine de l'Alliance atlantique «n'est pas à l'ordre du jour».
Les ministres des Finances du G7 seraient prêts à frapper la Russie de sanctions aux «conséquences massives» dans le cas d'une intervention en Ukraine. Le chancelier allemand est attendu pour sa part à Kiev le 14 février et à Moscou le lendemain.
Le nouveau chancelier allemand multiplie les annonces face au Covid. A partir du 15 janvier, une 3e dose sera nécessaire pour accéder sans test négatif aux restaurants et bars du pays. Il souhaite imposer aussi l'obligation vaccinale.
Le 3 janvier, des milliers de manifestants sont descendus dans les rues de plusieurs villes allemandes pour protester contre les mesures du gouvernement visant à contenir l'épidémie et la perspective d'une obligation vaccinale.
Olaf Scholz, le nouveau chancelier allemand, a promis de riposter face à ceux qu'il qualifie de «minorité d'extrémistes» qui, selon lui, mettent à mal l'intérêt général par la violence. Il a assuré qu'il y mettrait «tous les moyens» légaux.
Le chef de la diplomatie allemande a fait savoir que Nord Stream 2 ne pouvait «pas être approuvé car il ne répond pas aux exigences de la législation européenne sur l'énergie». Il a également mis en garde contre une «nouvelle escalade» en Ukraine.
Un rassemblement d'opposants au projet du gouvernement d'imposer la vaccination et les diverses restrictions liées à la pandémie a eu lieu le 8 décembre dans la capitale bavaroise. Il n'y a pas eu d'incidents significatifs.
Plusieurs chefs d'Etat ont salué l'élection d'Olaf Scholz par le Bundestag le 8 décembre, dont Emmanuel Macron et Vladimir Poutine. Le nouveau chancelier devra déterminer le cap de la politique étrangère allemande dans un contexte de tensions.
Officiellement élu par le Bundestag ce 8 décembre, le nouveau chef du gouvernement allemand a un profil plutôt austère et lisse, qui ne l'a pas empêché de parvenir au sommet des responsabilités après une carrière au sein du Parti social-démocrate.