Depuis janvier 2006, il n'y a plus eu d'élections dans les territoires palestiniens. Les divergences entre le Hamas et la Fatah avaient figé la vie politique palestinienne, empêchant la population de choisir leurs représentants et dirigeants.
Depuis le début de leurs carrières ces deux mastodontes du Moyen-Orient se livrent un bras de fer impitoyable. Menaces, accusations et insultes : leurs relations ne font que se dégrader, mettant leurs Etats au bord de la confrontation directe.
Les accords normalisant les relations entre Israël, les Emirats Arabes Unis et Bahreïn ont poussé l'autorité palestinienne et le Hamas à faire fi de leur rivalité. A l'issue d'un dialogue, ils ont annoncé la tenue d'élections dans les six mois.
Le mouvement islamiste palestinien Hamas, au pouvoir depuis plus d'une décennie dans la bande de Gaza, a annoncé lundi soir un accord pour mettre fin aux échanges de tirs avec Israël quasi-quotidiens au mois d'août.
Dans un climat d'hostilités répétées entre l'Etat hébreu et le Hamas, Israël a annoncé avoir effectué un bombardement ciblé et renforcé son blocus sur Gaza, enclave de deux millions d'habitants, dont la moitié vivent sous le seuil de pauvreté.
Israël a intensifié les restrictions imposées à la bande de Gaza où vivent deux millions de Palestiniens, dans le cadre d'un blocus appliqué depuis plus de dix ans. Les bombardements de positions du Hamas sont en outre quotidiens depuis le 6 août.
Le chef de la diplomatie française a énoncé une série de mesures que la France pourrait prendre en cas d'annexion par Israël de la Cisjordanie. Parmi elles figure une révision des programmes de coopération et la reconnaissance de la Palestine.
En Israël et dans les territoires palestiniens, les choses s'organisent pour tenter de se prémunir contre l'épidémie de coronavirus. C'est à Gaza, enclave sous blocus où deux cas ont déjà été recensés que les craintes sont particulièrement élevées.
Cette initiative ambitieuse du président américain est censée régler l'éternel conflit israélo-palestinien. Or, pour être mise en œuvre, elle devra encore obtenir l’accord des Palestiniens et surmonter le scepticisme de la communauté internationale.
Israël a annoncé l'annulation de la levée des mesures restrictives sur la bande de Gaza après que des roquettes ont été tirées depuis l'enclave palestinienne vers son territoire. Tsahal a en outre bombardé des cibles du Hamas en représailles.
A Ramallah – capitale administrative de facto de l'Autorité palestinienne – ainsi qu'à Hébron ou encore Jabalia, des Palestiniens se sont rassemblés pour protester contre le plan de paix de Donald Trump.
L'armée israélienne a mené un raid aérien contre des cibles du Hamas dans la bande de Gaza en représailles, selon elle, à des tirs de roquettes depuis l'enclave palestinienne vers le sud d'Israël. Celles-ci n'avaient fait ni victime, ni blessé.
Le 12 décembre, un porte-parole militaire israélien avait fait savoir qu'Israël comptait interdire aux chrétiens de Gaza de se rendre à Bethléem et Jérusalem pour Noël. Les autorités israéliennes ont par la suite démenti cette information.
Quelques heures seulement après l'entrée en vigueur d'un cessez-le-feu, Israël a de nouveau frappé des cibles du Jihad islamique dans la bande de Gaza, affirmant répondre à des tirs de roquettes sur son territoire.
Un accord de cessez-le-feu est entré en vigueur dans la bande de Gaza alors que l'armée israélienne procédait depuis deux jours à des frappes aériennes censées viser le groupe Jihad islamique. Elles ont fait 34 morts, dont des enfants.
Deux jeunes palestiniens de 14 et 17 ans ont été tués par des snipers israéliens en marge de la Marche du retour le 6 septembre. L'armée israélienne a bombardé le lendemain des «positions du Hamas» après la chute de roquettes dans des champs.
Selon le ministère de la Santé de la bande de Gaza, trois Palestiniens ont été abattus par l’armée israélienne. Tsahal a confirmé avoir tiré en direction de «personnes armées» se trouvant le long de la frontière entre les deux territoires.
Dans un premier temps interdite d’entrée pour son soutien au boycott d’Israël, l'élue démocrate Rashida Tlaib, d’origine palestinienne, pourra finalement entrer en Israël afin de rendre visite à sa grand-mère.
Après des destructions d'immeubles palestiniens, des blocages financiers, le président palestinien Mahmoud Abbas a annoncé le 25 juillet que l'Autorité palestinienne allait cesser de respecter les accords avec Israël.
Les deux plus importantes organisations palestiniennes ont rejeté le premier volet de l'initiative de «prospérité» portée par le gendre de Donald Trump. Ils craignent que ce plan ne débouche sur l'abandon de la création d'un Etat palestinien.