BRAS DE FER

Lors du sommet des BRICS de Johannesbourg, le président russe a plaidé pour le renforcement des liens économiques entre les pays membres, grâce au développement de nouvelles voies et infrastructures commerciales, notamment via l'Arctique.
Le 22 juin à Mourmansk, en ouverture du festival «Arctique : la glace s'est brisée», le président russe a souligné l'importance de cette région pour le gouvernement et tracé les grandes lignes de sa mise en valeur.
Dans La Grande Interview, Xavier Moreau, présentateur de RT en français, reçoit Alexeï Tchékounkov, ministre russe du Développement de l’Extrême-Orient et de l’Arctique, en marge du Forum économique de Saint-Pétersbourg.
L’exploration intensive de l’Arctique a permis le développement de la science et de l’industrie. Elle a également laissé un autre héritage : des centaines de tonnes de déchets...
A l'occasion de la Journée de la Flotte russe, le président Vladimir Poutine a signé une nouvelle doctrine visant à renforcer les positions russes dans l'Arctique, aussi bien sur le plan économique que militaire.
Les sanctions pleuvant sur la Russie et que l'Occident se privant des ressources énergétiques russes, Moscou se tourne de plus en plus vers l'Orient. Un tournant géopolitique qui s'opère en partie en exploitant la route maritime septentrionale.
Dans un communiqué, l'armée russe a rapporté avoir effectué avec succès un nouveau tir d'essai du missile de croisière hypersonique «Zircon». La cible se trouvait en mer blanche, à 1 000 kilomètres du point de tir.
Dans cet épisode de La Source, Alain Juillet s’intéresse à l’océan Arctique.
A Yamal, dans le nord de la Russie, vivent les Nénets, peuple nomade d'éleveurs de rennes. Ce territoire, exploité pour son gaz, est aujourd'hui l'objet d'études scientifiques tant l'apparition de cratères y est aussi dangereuse qu'inexpliquée.
Sergueï Lavrov et son homologue islandais Gudlaugur Thor Thordarson organisent une conférence de presse commune lors du du XIIe sommet ministériel du Conseil de l'Arctique.
Après avoir déployé en début d'année des bombardiers et des soldats dans l’Arctique, Washington affirme désormais vouloir «éviter une militarisation» de la région, et critique les revendications maritimes de Moscou, qu'il juge «illégales».
Le ministre des Affaires étrangères a rappelé qu'il était «légal et légitime» pour Moscou de défendre sa zone d'influence en Arctique, son littoral. Une mise en garde contre les pays Occidentaux et leurs ambitions grandissantes dans la région.
Arrivés le mois dernier pour participer à des exercices militaires – annulés pour cause de Covid-19 – 1000 soldats américains vont finalement rester dans l'Arctique. Une présence loin d'être anodine après le déploiement de bombardiers dans la région.
Fermée depuis une quinzaine d'années, la station de radioastronomie de La Havane pourrait de nouveau être opérationnelle pour des services de météorologie solaire et spatiale dans le cadre, entre autres, d'activités militaires dans l'Arctique.
Lors d'un entretien avec l'envoyé présidentiel spécial des Etats-Unis pour le climat John Kerry, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a salué le retour de Washington dans l'accord de Paris, qu'il avait quitté sous Donald Trump.
Pour l'ancien député, sénateur et secrétaire d'Etat à la Défense Jean-Marie Bockel, interrogé par RT France, le déploiement de bombardiers américains sur la base aérienne d'Orland en Norvège est un événement «mineur en soi mais hautement symbolique».
L'exploitation des ressources naturelles dans l'Arctique est une priorité stratégique de l'exécutif américain, qui y voit également la possibilité de «réagir plus rapidement à une éventuelle agression russe», dans un contexte de vives tensions.
Dix-sept marins étaient portés disparus le 28 décembre après le naufrage d'un chalutier dans l'Arctique russe, avec des chances de survie quasiment nulles en raison des conditions météorologiques extrêmes dans cette zone.
Le brise-glace russe à propulsion nucléaire de nouvelle génération Artika a entamé sa première navigation. Capable de sillonner la voie maritime du Nord, ce puissant vaisseau pourra naviguer en mer comme sur les fleuves.
L'agence russe de surveillance de l'environnement réclame un dédommagement de 147,8 milliards de roubles (soit environ 1,8 milliard d'euros) au géant minier Norilsk Nickel. Celui-ci est impliqué dans une grave pollution aux hydrocarbures en Arctique.