SIDERANT

La police israélienne a interdit la vente des produits affichant des symboles palestiniens dans les commerces de la vieille ville de Jérusalem. L'Etat hébreu a également adopté plusieurs mesures visant à interdire les drapeaux palestiniens.
Le Hamas et le Djihad islamique se sont réunis au Caire pour passer en revue les problématiques palestiniennes. Les deux mouvements islamistes de Gaza ont notamment mis en exergue l'importance de la «résistance» face à Israël.
La police israélienne est violemment intervenue dans la mosquée al-Aqsa, chassant et frappant les fidèles qui y priaient. Elle a lancé des grenades assourdissantes et des gaz lacrymogènes, provoquant de vives réactions diplomatiques dans la région.
Alors que les manifestations se multiplient contre la projet de réforme judiciaire visant à donner plus de pouvoir aux élus, un ministre de Benjamin Netanyahou envisage une pause d'un mois pour rétablir le dialogue avec le peuple.
Les opposants à la réforme judiciaire voulue par le gouvernement Netanyahou ont de nouveau battu le pavé ce 23 mars. A Tel Aviv, la mobilisation a été émaillée de heurts entre manifestants et policiers.
Après les propos critiques du parti islamiste Justice et Développement sur les nouveaux liens entre le Maroc et Israël, le cabinet royal a tenu à rappeler que la position de Rabat sur la question palestinienne était «irréversible».
Deux jeunes Israéliens ont été tués par balle dans le nord de la Cisjordanie occupée dans une attaque contre leur voiture, qualifiée d'«attentat terroriste palestinien» par le gouvernement israélien.
Des milliers de personnes sont descendues dans les rues de Jérusalem le 13 février pour protester contre le projet controversé de réforme du système judiciaire proposé par le gouvernement israélien.
Le véhicule a pris pour cible un arrêt de bus situé dans la partie de la Ville sainte annexée par Israël, faisant deux morts dont un enfant et plusieurs blessés. Le conducteur a été abattu.
En représailles à l'attaque de Jérusalem-Est qui a fait sept morts à la sortie d'une synagogue, le gouvernement israélien promet une réponse «forte» en s'en prenant aux familles des assaillants. La communauté internationale appelle à la désescalade.
Des dirigeants internationaux ont réagi à l'attaque armée menée par un Palestinien dans un quartier de colonisation juive de Jérusalem-Est, et qui a fait sept morts. La France, la Russie ou encore les Etats-Unis ont fait part de leur préoccupation
Le 27 janvier, un Palestinien a ouvert le feu près d'une synagogue située dans un quartier de colonisation juive à Jérusalem-Est. Sept personnes sont mortes. L'individu a été abattu et 42 personnes ont été arrêtées en lien avec l'attaque.
Entre la colonisation illégale en Cisjordanie, la visite controversée sur l'esplanade des mosquées et les opérations armées dans les villes palestiniennes, tous les facteurs sont réunis pour que la Palestine s'embrase comme en 1987 et 2000.
Soutenu par une série d'Etats musulmans, le représentant palestinien a demandé une réaction ferme des Nations unies après la visite polémique du ministre israélien de la Sécurité nationale, qui remet en cause selon eux le «statu quo» à Jérusalem.
Des dizaines de tombes d'un cimetière protestant de Jérusalem ont été vandalisées, selon des responsables chrétiens locaux, en faisant part de leur «consternation». Une enquête a été ouverte.
Le nouveau ministre israélien de la Sécurité nationale Itamar Ben Gvir a effectué un bref déplacement sur l'esplanade des Mosquées à Jérusalem-Est, lieu saint au cœur des tensions israélo-palestiniennes. De quoi susciter une vague de condamnations.
Deux explosions à des stations de bus dans Jérusalem ont fait un mort, décédé à l'hôpital, et une quinzaine de blessés. Sans revendiquer les attaques, le Hamas les a «saluées» en les considérant comme une vengeance aux agressions israéliennes.
Quatre Palestiniens ont été tués le 3 novembre par les forces israéliennes en Cisjordanie et à Jérusalem. Parmi eux figure l'auteur d'une attaque au couteau dans la ville sainte au cours de laquelle trois policiers ont été blessés.
Le 31e sommet de la Ligue arabe s'est clôturé avec la Déclaration d'Alger. Dans ce document officiel, les membres réitèrent leur «attachement» à un Etat palestinien indépendant et expriment leur rejet de toute ingérence étrangère.
Des Palestiniens ont observé une grève en Cisjordanie le 20 octobre pour protester contre la mort d'un jeune homme de 19 ans tué lors d'une opération militaire. Israël l'accusait d'avoir causé le décès d'un soldat israélien deux semaines plus tôt.