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Budapest a annoncé mettre son véto à la tenue du prochain sommet de la commission OTAN-Ukraine. Une décision prise en réponse à la loi controversée votée en septembre par Kiev, qui limite l'usage des langues des minorités à l’école, dont le hongrois.
L'adoption définitive de la nouvelle loi ukrainienne sur l’enseignement, limitant fortement l'usage des langues des minorités à l’école, a suscité des réactions particulièrement négatives dans l'Union européenne.
Plusieurs dizaines de personnes se sont réunies dans la capitale moldave, le 17 septembre devant le Parlement, pour manifester contre leur gouvernement.
Kiev s’est attiré les foudres des Etats de l’Europe orientale après avoir voté la limitation de l'enseignement des langues autres que l’ukrainien. Le pays abrite des représentants de plusieurs minorités nationales de pays voisins.
Igor Dodon, chef de l’Etat moldave, a annoncé que forger des liens plus forts avec Bruxelles ne figurait pas parmi les priorités de son pays. Selon lui, l’Union européenne est «un train qui perd des wagons».
Après que le gouvernement moldave a expulsé cinq diplomates russes, le parti socialiste voté la défiance le 2 juin contre le ministère des Affaires étrangères et a quitté la salle lors des explications du chef de la diplomatie à ce sujet.
Le président russe prend part à la session plénière du Forum économique international de Saint-Pétersbourg, lors de laquelle différents chefs d’Etat doivent évoquer les questions économiques mondiales.
Après le renvoi par la Moldavie et l'Estonie de plusieurs diplomates russes, Moscou a décidé de d'expulser à son tour cinq diplomates de ces pays. La Russie dénonce leur attitude «contre-productive».
Le président moldave a annoncé son désaccord avec la décision de son gouvernement d’expulser cinq diplomates russes du pays. Il entend discuter de cette situation avec le président russe.
C'est un nouveau revers pour l'Union européenne à sa périphérie. La Moldavie après avoir penché vers Bruxelles pourrait finalement se rapprocher de la Russie et de l'Union eurasiatique. Le nouveau président moldave ne veut plus de Bruxelles.
Les autorités belges et néerlandaises envisageraient de prendre des mesures pour dissuader les demandeurs d'asiles des pays considérés comme «sûrs» de venir dans le Benelux. Les réfugiés marocains et algériens seraient particulièrement visés.
Les élections en Moldavie et Bulgarie, annonçant un virage à l'Est, traduisent l'émergence d'une nouvelle géographie de l'UE, pour Florent Parmentier, analyste en géopolitique.
Igor Dodon vient d'être élu président de Moldavie, et Roumen Radev président de Bulgarie. Tous deux socialistes, ils partagent la volonté de se rapprocher de la Russie. Un nouveau coup dur pour l'Union européenne.
Le candidat prorusse Igor Dodon a frôlé la victoire dès le premier tour de l'élection présidentielle en Moldavie. Opposé à une candidate pro-UE, Igor Dodon a promis d'organiser un référendum sur l'accord d'association Moldavie-UE s'il était élu.
Lors de la journée de l’Indépendance de la Moldavie, les opposants à l’actuel président ont été brutalement dispersés par la police qui a utilisé du gaz poivre sur une foule d'environ un millier de personnes.
Des soldats et du matériel militaire américains ont dû quitter la place centrale de la capitale moldave sous la pression de manifestants protestant contre la démonstration de force de l’OTAN à Chisinau.
Depuis les élections générales du 20 décembre 2015, le flou politique règne de l’autre côté des Pyrénées. Les principaux partis politiques n’arrivent plus à s’entendre. Il n'y a pas si longtemps, d’autres nations ont connu une telle situation.
Des manifestations de masse des forces de gauche se tiennent dans la capitale moldave. Les manifestants protestent contre la désignation du nouveau gouvernement.
L’opposition moldave continue de manifester contre la décision de ses législateurs d’approuver la nomination de ministres pro-européens. Les raisons de la situation résumées en une infographie.
A Chisinau, la capitale moldave, les manifestants se sont introduits dans le bâtiment parlementaire après l’approbation par les députés de la nomination d’un politicien pro-UE au poste de Premier ministre.