BRAS DE FER

La force de maintien de la paix dirigée par l'OTAN au Kosovo (KFOR) a mis en garde Pristina le 17 juillet après l'achat de drones armés à la Turquie, rappelant qu'elle était seule en charge de son espace aérien.
Les parlementaires de l'entité du Kosovo en sont venus aux mains durant un vif débat sur les mesures visant à désamorcer les tensions dans les enclaves serbes du nord du pays.
La Serbie a libéré trois policiers kosovars arrêtés par ses forces de sécurité à la mi-juin, après une décision en ce sens d'un tribunal serbe.
Les autorités serbes ont annoncé l'arrestation de trois policiers kosovars, soupçonnés d'être passés en Serbie. Pristina accuse Belgrade d'avoir enlevé le groupe sur son territoire, dénonçant une «agression».
Au lendemain de nouveaux combats présentés par l'Ukraine comme les prémices de sa contre-offensive, le président serbe Aleksandar Vucic alerte sur un risque de surenchère.
Le 6 juin, des diplomates occidentaux sont arrivés à Belgrade pour rencontrer Aleksandar Vucic suite aux troubles dans le nord du Kosovo. A l'issue de la rencontre, le président serbe s'est dit prêt à envisager de coopérer avec les Américains.
Donika Gervalla-Schwarz, qui se présente comme ministre des Affaires étrangères du Kosovo, s'est déclarée favorable à de nouvelles élections dans le nord de la province. Elle a également accusé le président serbe de vouloir déstabiliser les Balkans.
Dans La Grande Interview, Milorad Dodik, président de la république serbe de Bosnie.
La minorité serbe continue de manifester contre l'intronisation de maires albanais dans plusieurs villes du nord du Kosovo. Les Etats-Unis et la France dénoncent «la responsabilité des autorités kosovares» dans l'aggravation de la situation.
Des centaines de Serbes du Kosovo se sont à nouveau rassemblés devant la mairie de Zvecan, autour de laquelle se tiennent des soldats de la KFOR. L’OTAN, qui dirige cette force armée, a annoncé l’envoi de plusieurs centaines d’hommes en renfort.
Le message de Novak Djokovic à Roland-Garros sur les tensions au Kosovo n'était «pas approprié», selon la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra. Le refus d'une joueuse ukrainienne de serrer la main de son adversaire biélorusse, lui, a été excusé.
Après plusieurs jours de tensions, le face-à-face entre la police kosovare et les Serbes du nord de la province a dégénéré. Le président serbe Aleksandar Vucic doit rencontrer les ambassadeurs des pays occidentaux parrainant le Kosovo séparatiste.
De nouveaux heurts ont éclaté entre la police kosovare et des Serbes, au nord de la province où ils sont encore majoritaires. Ces tensions font suite aux élections locales organisées par Pristina et très largement boycottées par les habitants serbes.
La police kosovare a dispersé le 26 mai à l'aide de gaz lacrymogène des Serbes qui protestaient contre la prise de fonctions de maires albanais dans le nord du Kosovo, une région où ils sont majoritaires.
Le président de la République serbe de Bosnie, Milorad Dodik, a rencontré le président russe Vladimir Poutine le 23 mai. Ce dernier l'a remercié pour la «position neutre» de son pays dans le conflit ukrainien.
Selon le président serbe, l’alignement de Belgrade sur la politique de sanctions à l’encontre de la Russie tournerait à l’obsession chez ses interlocuteurs occidentaux.
Une nouvelle fusillade a fait au moins huit morts dans le centre du pays, alors que débute en Serbie un deuil national de plusieurs jours, suite à la tuerie de l’école primaire à Belgrade. Six cents agents ont été mobilisés pour arrêter le suspect.
La population serbe est particulièrement marquée par la fusillade perpétrée dans une école par l’un de ses élèves. Huit enfants et un gardien ont été tués, deux blessés sont dans un état grave. Un deuil national de plusieurs jours a été décrété.
Une fusillade a eu lieu dans une école primaire à Belgrade. Huit élèves ont été tués et six autres blessés. Un gardien a également succombé à ses blessures et une enseignante se trouve dans un état grave.
Alors que la Serbie commémore le 24e anniversaire de la campagne de bombardement de l'OTAN, le président serbe Aleksandar Vucic a expliqué que celle-ci avait marqué le moment où «le droit international moderne est finalement mort».