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Les eurodéputés, réunis en plénière à Strasbourg, ont approuvé le label «vert» accordé par la Commission européenne au gaz et au nucléaire, deux sources d'énergie ainsi reconnues comme nécessaires pour lutter contre le changement climatique.
Après avoir restreint le fret ferroviaire de marchandises russes transitant par son territoire, la Lituanie légifère pour s’interdire d’acheter du gaz russe. Il pourra toutefois transiter à destination de l'enclave russe de Kaliningrad.
Les Pays-Bas ont annoncé le 20 juin la levée des restrictions de production électrique au charbon afin de compenser une baisse des approvisionnements en gaz russe, un jour après que l'Allemagne voisine a pris une mesure similaire.
Berlin va prendre des mesures d'urgence pour sécuriser son approvisionnement, suite aux baisses récentes de livraison de gaz russe, impliquant notamment un recours accru au charbon. Gazprom avait expliqué ces diminutions par un problème technique.
Le groupe russe Gazprom, invoquant des problèmes techniques, a drastiquement réduit ses livraisons de gaz à l’Allemagne. Berlin dénonce une «décision politique». Gazprom a aussi réduit ses livraisons à l’Italien ENI.
La Turquie a officiellement lancé en début de semaine l'exploitation de gaz naturel en mer Noire. Cela lui permettrait, selon son président, de produire 10 millions de mètres cubes d'ici le premier trimestre 2023.
Des centaines de personnes ont manifesté dans le sud du Liban contre la présence dans les eaux contestées avec Israël d'un navire qui doit exploiter du gaz pour l'Etat hébreu, rapporte l'AFP.
Gazprom, géant russe de la distribution de gaz, a fait savoir que la totalité de ses livraisons à destination de la Finlande était désormais suspendue. En cause : le non-paiement en roubles par la compagnie énergétique publique finlandaise Gasum.
Selon le gouvernement russe, la moitié des entreprises étrangères en contrat avec Gazprom ont ouvert un compte en roubles. Cette annonce fait suite à celle du géant énergétique italien ENI qui a ouvert un compte en rouble auprès de Gazprombank.
Alors que la banque présentait ses engagements en faveur du climat, des militants ont fait retentir des alarmes et chanté des slogans pour protester contre le financement de nouveaux projets pétroliers et gaziers, dont ceux de Total.
L’opérateur ukrainien de gazoduc a annoncé la fermeture, à partir du 11 mai, d’un des points de passage par lequel transite près d’un tiers du gaz russe vers l'Europe. Les prix du gaz en Europe ont immédiatement bondi de 8%.
L'explosion qui a dévasté le 6 mai l'hôtel de luxe Saratoga, situé dans la capitale cubaine, a fait au moins 25 morts dont une ressortissante espagnole, selon un nouveau bilan officiel. Une cinquantaine de blessés est également à déplorer.
«Où est le journalisme honnête ?» : pour expliquer pourquoi la Russie demande le paiement de son gaz en rouble, le ministre des Affaires étrangères a rappelé que l'Occident venait de voler plus de 300 milliards d'euros de ses comptes à l'étranger.
L'UE a rejeté le paiement en roubles du gaz russe, mais a reconnu l'impossibilité de remplacer l'intégralité des stocks alimentés par la Russie. Dans le même temps, plusieurs pays européens dont la Hongrie, régleraient déjà en roubles.
Le chef de la diplomatie européenne a reconnu qu’il n’y avait pas de consensus au sein de l’Union pour un embargo sur le pétrole et le gaz russes. Quant aux Etats-Unis, ils le redoutent par crainte d’une envolée des cours qui les affecterait.
Inquiète de la hausse des prix de l'électricité et du gaz, Marine Le Pen propose aux pays favorables à la fin des importations de l'énergie venant de Russie de compenser financièrement ceux qui paieront l'addition.
Vladimir Poutine souhaite réorienter les exportations énergétiques russes de l'Europe vers l'Asie, du fait de la crise provoquée par la guerre en Ukraine, accusant les Européens de «déstabiliser le marché» en voulant se passer d'hydrocarbures russes.
Les cinq principaux instituts économiques allemands ont publié un rapport dans lequel ils prédisent qu’un arrêt à court terme des importations de gaz bon marché plongerait le pays dans une sévère récession.
Le président du Conseil européen a estimé devant les parlementaires de l’Union que des sanctions touchant les importations de gaz et de pétrole russes seraient «nécessaires tôt ou tard» mais Berlin exclut pour le moment de se passer du gaz russe.
Lors d'une réunion consacrée aux questions économiques, le président russe a fustigé la «pression» exercée contre Gazprom en Europe, soulignant que nationaliser des actifs russes serait «une arme à double tranchant».