SIDERANT

Dans La Grande Interview, Oleg Shommer, journaliste de RT en français, reçoit Gilles Casanova, consultant en stratégie et en communication et ancien membre de plusieurs cabinets ministériels.
Le président iranien Ebrahim Raïssi a inauguré le 28 août la dernière phase de l'immense gisement gazier South Pars, développé dans le Golfe depuis les années 1990.
Le président russe a donné le 20 juillet à Mourmansk le coup d'envoi de la première chaîne d'Arctic LNG 2, gigantesque projet de gaz naturel liquéfié (GNL) dans l'Arctique, dont le français TotalEnergies s'était retiré en 2022.
A l'issue d'une rencontre entre Sergueï Mochalnikov, vice-ministre russe de l'Énergie, et l’ambassadeur algérien Smail Benamara, l'Algérie et la Russie ont fait part de leur souhait de collaborer davantage sur les questions pétrolières et gazières.
Lors d'une réunion à Johannesburg réunissant une dizaine de nations africaines, la société russe Gazprom a fait savoir qu'elle était prête à un partage d'expérience et de technologies afin d'aider le continent à dépasser ses défis énergétiques.
QatarEnergy a signé avec la China National Petroleum Corporation un contrat d'approvisionnement en gaz naturel liquéfié pour une durée de 27 ans. L'entreprise qatarie va fournir 4 millions de tonnes de GNL par an à la Chine.
Les autorités ouzbèkes ont annoncé la signature d'un contrat de deux ans avec le géant russe Gazprom pour la livraison annuelle de 2,8 milliards de mètres cubes de gaz, à compter d'octobre. Une première pour cet Etat producteur d'Asie centrale.
Le Pakistan vit une crise politico-économique provoquée par des instabilités à l’intérieur du pays, qui se sont encore aggravées après les inondations de 2022.
Dans plusieurs coins de l'Hexagone, comme dans les Hauts-de-France ou dans le fief d'Olivier Dussopt en Ardèche, des coupures d'électricité ont été signalées. Celles-ci ont été effectuées pour protester contre la controversée réforme des retraites.
L'Etat norvégien a encaissé des revenus pétro-gaziers record l'an dernier, du fait notamment de la guerre en Ukraine qui a contribué à propulser le prix du gaz à des sommets historiques en Europe, selon des chiffres officiels publiés le 6 mars.
Les agents d'EDF, en grève contre le projet de réforme des retraites, ont multiplié ce 4 mars les actions, portant à près de 5 000 mégawatts les réductions de production depuis la veille au soir, soit l'équivalent de cinq réacteurs nucléaires.
Le Sénat débattant actuellement sur l'article 1 concernant la suppression des régimes spéciaux de retraite, les agents d'EDF des centrales nucléaires se sont mis en grève et ont baissé la production d’électricité, a annoncé la CGT.
Un cabinet de gestion d’actifs a calculé qu’au niveau mondial, les entreprises avaient battu un nouveau record de distribution de dividendes. Les entreprises des secteurs de l’énergie et du luxe ont été les plus généreuses avec leurs actionnaires.
Dans la foulée des tarifs du gaz, l’électricité est désormais facturée à un prix lui aussi relevé de 15%, après une hausse de 4% annoncée en octobre 2021. Sans subvention de l’Etat, la hausse de l’électricité aurait frisé les 100%.
A l'appel de plusieurs collectifs d'artisans, des centaines de boulangers ont battu le pavé à Paris le 23 janvier pour exiger du gouvernement un appui financier pour faire face à la hausse des prix de l'énergie.
Lors d'une réunion ministérielle, Poutine a annoncé que l'économie russe avait «généré de bons bénéfices», et ce, malgré les sanctions. Alexandre Novak a par ailleurs indiqué que les recettes du pétrole et du gaz avaient augmenté de 28% en 2022.
Une émission animée par Amira Bendjaballah Jean-Pierre et décryptée par Olivier Delamarche, avec Guy de la Fortelle, économiste.
Les pays européens finiront par reprendre leurs importations de gaz russe, estime le ministre de l'Energie du Qatar, pays parmi les plus grands exportateurs de cet hydrocarbure. Selon lui, la volatilité actuelle du marché devrait perdurer.
Alors que ce mécanisme d'encadrement des prix doit prendre fin le 30 juin, l'association CLCV suggère à Emmanuel Macron d'envisager son maintien pour deux années supplémentaires, afin de «passer la tempête» de la crise énergétique.
Pierre Lévy rappelle que, contrairement à ce que fait valoir l'exécutif, la hausse des prix des hydrocarbures n'a pas été provoquée par le conflit en Ukraine – mais est due, notamment, à la déréglementation des marchés de l’énergie européen.