SIDERANT

Sept ONG ont adressé un courrier à la Commission européenne et aux autorités italiennes, accusant la police aux frontières française de falsifier la date de naissance de migrants mineurs pour pouvoir les renvoyer en Italie.
Indésirables en France, environ 200 migrants vivent sous le pont de Roverino, dans la ville italienne de Vintimille, pas loin de la frontière franco-italienne, d'après l'ONG Oxfam.
Des dizaines de manifestants anti-migrants ont marché à travers les rues de la petite ville frontalière de Vintimille, entre l’Italie et la France, qui est devenue ces derniers mois un important point de passage des réfugiés.
«On ne peut plus vivre librement dans notre ville.» A la frontière avec la France, des habitants de Vintimille ont exprimé leur détresse face à l'afflux de migrants dans leur ville dans un reportage diffusé par l'agence vidéo RUPTLY.
Un Ethiopien, dénoncé pour s'être fait payé par des compatriotes pour les conduire depuis l'Italie auprès de l'association de défense des migrants Roya Citoyenne à Breil-sur-Roya doit être jugé en comparution immédiate le 31 juillet.
Des réfugiés, échoués à la frontière entre l'Italie et la France, près de Vintimille, ont monté un camp de bric et de broc sous une route surélevée, qui mène vers la frontière. L’agence vidéo Ruptly s’est rendue sur place pour parler avec eux.
La police aux frontières a arrêté en Italie environ cent migrants qui essayaient de pénétrer en France près du pont Saint-Ludovic à Vintimille.
Expulsés de leur camp de fortune à Vintimille, en Italie, des dizaines de migrants ont tenté de pénétrer sur le territoire français mais en ont été empêchés par la police aux frontières.
Le député-maire de Menton, le Républicain Jean-Claude Guibal, s'est exprimé pour RT sur la question des migrants qui revêt une acuité majeure pour cette ville sise à la frontière italienne, à un jet de pierres de Vingtimille.