BRAS DE FER

Lors de la réunion du Conseil de sécurité qu'il présidait ce 21 juillet, le président russe a lancé un avertissement sur les appétits territoriaux des Polonais dans l'ouest de l'Ukraine ainsi qu’en Biélorussie.
La réponse russe à l'instauration par Vilnius de restrictions sur certaines marchandises transitant vers l'enclave de Kaliningrad, aura «de sérieuses conséquences» pour la Lituanie, a fait savoir le secrétaire du Conseil de sécurité russe.
Jugeant les restrictions sur le transit vers l'enclave russe imposées par la Lituanie «ouvertement hostiles» et «contraires à ses obligations juridiques internationales», Moscou s'est dit prêt à prendre des mesures pour «la défense de ses intérêts».
Plusieurs pays européens, dont l'Allemagne et la France, ont annoncé expulser des diplomates russes. Ces tensions surviennent alors que les Occidentaux multiplient les accusations sur les exactions de Boutcha, sans attendre d'enquête indépendante.
Dans une émission avec des écoliers diffusée sur C8, le candidat écologiste a commis plusieurs erreurs de géographie, inversant notamment l'Estonie et la Lituanie. Sa prestation a fait l'objet de railleries.
Le département de la sécurité de l'Etat de Lituanie serait sur le point de mettre en vente un de ses centres d'entraînement. Celui-ci aurait pu servir à la CIA de prison dans laquelle des individus suspectés de terrorisme étaient torturés
L'Estonie, la Lettonie et la Lituanie vont envoyer de missiles aux autorités ukrainiennes pour leur défense «en cas d'agression russe». Or, la Russie a démenti à maintes reprises les allégations selon lesquelles elle envisagerait d'envahir l'Ukraine.
Annoncé cet été, l'ouverture d'une ambassade taïwanaise à Vilnius continue d'éprouver le dialogue entre la Chine et la Lituanie. Ce pays d'Europe du Nord vient de réagir à une rétrogradation de ses relations diplomatiques avec Pékin.
La Pologne n'est pas le seul pays de l'UE directement concerné par la crise migratoire aux portes de l'Europe centrale. En Lituanie, une vidéo montrant le chien d'un garde-frontière mordant un migrant a récemment fait surface.
Les autorités polonaises, soutenues par la Lituanie, ont dénoncé un afflux de migrants se dirigeant ce 8 novembre depuis la Biélorussie vers leurs frontières. La crise migratoire a suscité de nombreuses réactions parmi la classe politique française.
Les autorités polonaises, soutenues par la Lituanie, ont dénoncé un nouvel afflux de migrants qui se dirigeaient ce 8 novembre depuis la Biélorussie vers leurs frontières. Le Premier ministre polonais a convoqué une réunion d'urgence.
Sergueï Lavrov a dénoncé le 1er novembre les déclarations de plusieurs pays membres de l'UE selon lesquels la Biélorussie et la Russie seraient impliquées dans la crise des réfugiés à la frontière avec les pays membres.
L'Union européenne ne financera pas «de barbelés et de murs» aux frontières pour empêcher les arrivées de migrants, comme réclamé par 12 pays dont la Lituanie et l'Autriche, a déclaré la présidente de la Commission Ursula von der Leyen.
Intransigeant sur les questions migratoires, le gouvernement social-démocrate danois a offert à la Lituanie des barbelés couverts de lames similaires à celles d’un rasoir afin d'édifier une clôture le long de sa frontière avec la Biélorussie.
Si 121 000 personnes sont descendues dans la rue en France, le 11 septembre a également été marqué par une large mobilisation dans toute l'Europe et en Turquie pour protester contre le pass sanitaire ou la vaccination contre le Covid-19.
Dans la capitale lituanienne, environ 5 000 personnes selon la police se sont réunies pour protester contre l'instauration d'un pass sanitaire comparable à celui qui existe en France.
Le Premier ministre espagnol et le président lituanien ont interrompu un point presse dans une base de l'OTAN, alors que des chasseurs seraient partis intercepter des avions russes. Moscou affirme qu'aucun de ses avions n'a violé de frontière.
Le bureau de Svetlana Tikhanovskaïa a été accrédité par la Lituanie comme «représentation démocratique biélorusse» officielle dans le pays balte. La Biélorussie avait par le passé demandé l'extradition de l'opposante, en exil depuis août 2020.
Une «marche de défense de la famille» a été organisée à Vilnius contre un projet de loi visant notamment à accorder aux couples de même sexe des droits d'héritage et de copropriété de biens. 70% des Lituaniens y seraient opposés, selon un sondage.
La réélection d’Alexandre Loukachenko pour un sixième mandat provoque un soulèvement populaire sans précédent. Où en est-on aujourd'hui dans ce bras de fer entre le président biélorusse et ses opposants et quel est le rôle des pays voisins ?