LFI a rédigé un rapport sur la gestion de l'épidémie de coronavirus par les autorités. Le député Eric Coquerel, qui l'a coordonné, détaille à RT France quels contextes et mensonges ont selon lui précipité la France dans une crise sanitaire majeure.
Après les déclarations d'Agnès Buzyn qui a qualifié de «mascarade» la tenue du premier tour des élections municipales, de nombreux responsables politiques demandent des comptes quant à la gestion de la crise sanitaire par le pouvoir exécutif.
A la suite de La France insoumise et du Parti socialiste, la présidente du Rassemblent national Marine Le Pen a appelé au départ de Didier Lallement, le préfet de police de Paris. Celui-ci est critiqué pour sa gestion de manifestations.
Les deux personnalités politiques, accompagnées du député LFI Eric Coquerel ont apporté leur soutien aux manifestants qui perturbent, depuis le 5 décembre, la production de la raffinerie de Grandpuits, pour protester contre la réforme des retraites.
A l'invitation du Parti communiste français, la plupart des partis de gauche étaient réunis, le 11 décembre, à la Bourse du Travail à Saint-Denis pour protester contre la réforme des retraites et bâtir un projet alternatif.
Le cap symbolique d'un million de signatures pour le projet de référendum d’initiative partagée sur la privatisation d'ADP, a été franchi. Pour nombre de parlementaires, Emmanuel Macron se doit d'y répondre. RT France a recueilli leurs propos.
Militants de gauche et écologistes se sont réunis devant le Tribunal de Paris où se tient le procès de huit activistes et un vidéaste accusés de «vol en réunion», après avoir participé au décrochage de portraits du président dans des mairies.
10% des signatures sur les 4,7 millions nécessaires pour organiser un référendum d'initiative partagée sur la privatisation d'ADP ont été obtenues depuis le lancement du compte à rebours le 13 juin. Les soutiens peuvent affluer jusqu'au 12 mars 2020.
Face aux critiques internes et après sa déroute aux européennes, La France insoumise a tenu son Assemblée représentative. LFI a voulu marquer les esprits avec le meeting de clôture d'un Jean-Luc Mélenchon plus offensif que jamais.
Le Conseil constitutionnel a donné son feu vert à la proposition de loi référendaire initiée par plusieurs partis de gauche pour s'opposer à la privatisation d'Aéroports de Paris. 4,7 millions de signatures de citoyens sont nécessaires au référendum.
Dans le cadre d'un renforcement du dispositif de sécurité lors des actes des Gilets jaunes, Benjamin Griveaux a annoncé que le dispositif antiterroriste militaire Sentinelle serait mobilisé le 23 mars. Une décision qui indigne certains politiques.
La lettre d’Emmanuel Macron supposée poser le cadre du grand débat national promis par le chef de l'Etat a été rendue publique. Aussitôt dévoilée, elle a suscité les vives critiques de l’opposition, qui juge l'initiative inutile et insuffisante.
Le projet de loi de finances 2019 a ulcéré de nombreux sénateurs et députés qui reprochent à l'exécutif de favoriser les plus riches. Devant la grogne, la majorité a abandonné un amendement concernant les traders anglais déménageant en France.
En consentant à une «super prime» à la conversion et un élargissement du chèque énergie, le gouvernement peine à masquer son embarras face à une grogne qui prend de l'ampleur et pourrait culminer le 17 novembre. L'opposition en fait son miel.
Un rassemblement improvisé a lieu ce 16 octobre devant le siège de la France insoumise à l'appel de Jean-Luc Mélenchon pour protester contre les perquisitions qui ont eu lieu dans la matinée aux domiciles de plusieurs élus et au siège du mouvement.
Les rebondissements de la probable démission de Gérard Collomb n'ont pas échappé à l'opposition. A droite comme à gauche, de nombreux élus ont ironisé sur une situation qui semble échapper au «maître des horloges», Emmanuel Macron.
Des membres de l'opposition ont reproché à Gérard Collomb d'avoir esquivé les questions portant sur l'existence selon eux, d'une «police parallèle», lors de son audition. A gauche comme à droite, les élus n'ont pas été convaincus par sa prestation.
Au-delà des critiques acerbes formulées par l'opposition au projet de réforme institutionnelle, La France Insoumise a fait des propositions de réformes sur les élections qui visent à changer en profondeur le système démocratique français.
Sans grande surprise, la deuxième édition du Congrès de Versailles voulue par le président ne suscite pas plus d'enthousiasme chez ses opposants que la première. Les Insoumis prévoient une «manif en ligne» et des élus LR bouderont «le souper du roi.»
Les propositions de loi controversées contre «la manipulation de l'information» en période électorale, ou en tout cas certaines de leurs dispositions, visent-elles RT ? Oui, s'insurgent les députés Nicolas Dupont-Aignan et Eric Coquerel.