VIDÉO

Alors que le gouvernement réfléchit à l'obligation vaccinale, notamment pour les soignants, l'ancien ministre juge que «ceux qui face à ce virus choisissent de se "battre" individuellement sont sinon des déserteurs du moins des alliés du virus».
L'ancien président géorgien et ancien gouverneur de la région d'Odessa en Ukraine, Mikheïl Saakachvili, un temps apatride, fait son énième retour sur la scène politique. De nouveau en Ukraine, aux côtés de Volodymyr Zelensky.
Dans un entretien accordé au Point, l'ex-chef de la diplomatie française revient sur plusieurs interventions militaires qui ont marqué le monde ces dernières années. Il commente notamment la récente montée de tension américano-iraniennes.
L'annonce par le président américain du retrait de ses troupes de Syrie n'a pas tardé à provoquer de vives réactions. Au-delà des inquiétudes des chancelleries occidentales, l'irritation des partisans de l'ingérence est palpable.
L’ancien ministre français des Affaires étrangères a vivement fustigé la politique française à l’égard des migrants. Il estime que la France, à l’instar de l’Allemagne, devrait en accueillir davantage. «Nous ne prenons pas notre part», a-t-il estimé.
Pas si diplomate ? Sur le plateau de LCI, l'ancien ministre des Affaires étrangères et cofondateur de Médecins sans frontières, n'a pas mâché ses mots à propos de la politique migratoire du gouvernement et de l'opinion publique française à ce sujet.