Le ministre iranien des Affaires étrangères a accusé Israël d'être responsable de l'incident survenu le 11 avril au niveau du site nucléaire de Natanz. Selon plusieurs médias israéliens, il s'agirait d'une opération de sabotage du Mossad.
Selon l'AFP, l'Iran a annoncé le 11 avril que le centre d'enrichissement de Natanz avait été la cible d'un acte de «terrorisme antinucléaire» au lendemain de sa mise en service.
Le ministre russe des Affaires étrangères s'est exprimé sur une radio iranienne, affirmant que les sanctions «illégales et unilatérales» qui touchent le pays sont la preuve du manque de «fiabilité» des pays occidentaux, qui «devraient avoir honte».
CNN et le New York Times rapportent les accusations de hauts responsables de l'administration Trump qui, sous couvert d'anonymat, pointent la responsabilité d'Israël dans l'assassinat du scientifique iranien Mohsen Fakhrizadeh.
Les appels à la retenue et condamnations ont été nombreuses à l'international à la suite de l'assassinat du physicien nucléaire iranien Mohsen Fakhrizadeh survenu le 27 novembre.
Le président iranien Hassan Rohani a accusé ce 28 novembre 2020 l'Etat hébreu d'avoir agi comme «mercenaire» des Etats-Unis en assassinant la veille près de Téhéran Mohsen Fakhrizadeh, un scientifique majeur dans le programme nucléaire de l'Iran.
Le guide suprême d'Iran, Ali Khamenei, a catégoriquement rejeté l'idée de discuter de ses programmes balistique et nucléaire avec Washington pour ouvrir d'éventuelles négociations : «il n'est pas logique de se soumettre aux demandes de l'agresseur.»
Après le retrait américain et le désengagement partiel de l’Iran, cet accord n’a quasiment plus corps et se retrouve presque dépourvu de sens. Objet d’âpres batailles diplomatiques à l’international, dans quel état se retrouve-t-il aujourd'hui ?
Paris, Londres et Berlin ont déclenché une procédure visant à contraindre Téhéran à respecter ses engagements dans le cadre de l'accord sur le nucléaire iranien que Washington a pourtant quitté unilatéralement il y a plusieurs mois.
Répondant à une lettre commune des pays de l'E3 adressée à Antonio Guterres, dénonçant de possibles violations par l'Iran d'une résolution de l'ONU, Javad Zarif a mis en lumière un «mensonge désespéré» visant à «se plier à l’intimidation américaine».
Les Pays-Bas, la Belgique, la Suède, la Finlande, la Norvège et le Danemark ont annoncé rejoindre Instex, mécanisme visant à contourner les sanctions américaines contre l'Iran. Néanmoins, celui-ci a été largement remis en cause ces derniers mois.
A l'occasion du 40e anniversaire de la prise d'otage dans l'ambassade des Etats-Unis à Téhéran, le 4 novembre 1979, retour sur plus d'un demi-siècle de relations entre la République islamique et l'Oncle Sam, entre périodes de tension et détente.
Suite à l'attaque, revendiquée par les Houthis, contre deux exploitations pétrolières saoudiennes, les Etats-Unis ont accusé l'Iran d'être à la manœuvre. La République islamique a fermement démenti alors que la tension grimpe entre les deux nations.
Alors qu'il s'envolait pour une visite au Royaume-Uni, le Premier ministre israélien a appelé à accentuer la «pression» sur l'Iran. A l’approche des législatives du 17 septembre, il a réprouvé l'invitation par la France de dirigeants iraniens au G7.
Donald Trump a attaqué Emmanuel Macron après qu'un média a révélé l'invitation transmise par celui-ci à Hassan Rohani à la réunion du G7. Malgré un démenti de la diplomatie française, le président américain n'a pas semblé apprécier l'initiative.
Les Etats-Unis accentuent leur pression sur l'Iran et militent pour la mise en place d'une mission menée par les Européens dans le détroit. La France et l'Allemagne s'y refusent, tandis que le Royaume-Uni se retrouve dans une position d'équilibriste.
Selon CNN, le Pentagone s’apprêterait à déployer 500 soldats supplémentaires en Arabie Saoudite pour contrer la menace iranienne. Une annonce non confirmée par l’exécutif américain alors que la monarchie dérange de plus en plus outre-Atlantique.
Dénonçant la position de l'Union européenne face aux récentes annonces du président iranien concernant le programme nucléaire de son pays, Benjamin Netanyahou n'a pas hésité à comparer la situation aux tentatives d’apaisement européen des années 30.
Les tensions entre les Etats-Unis et l'Iran inquiètent la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne, qui produisent un communiqué commun appelant à la désescalade. Au micro de BFMTV, Jean-Yves Le Drian a de nouveau plaidé en faveur d'un apaisement.
L'Iran a décidé de s'affranchir des limites fixées par l'accord de 2015 (dont Washington s'est retiré) en matière d'uranium faiblement enrichi. Israël et les Etats-Unis sont montés au créneau.