SIDERANT

Dans la nuit du 2 au 3 juillet, l'armée israélienne a mené une opération dans le camp de Jénine. Le raid de Tsahal a tué huit Palestiniens et fait une cinquantaine de blessés. Des avions et des bulldozers ont également été utilisés.
Les saisies de drogues se multiplient en Irak. La police irakienne a mis la main sur 250 000 comprimés de captagon. Cette amphétamine provient de trafiquants syriens. Les pays arabes vont renforcer leur coopération pour lutter contre ce trafic.
La Jordanie a accueilli un sommet arabe en présence du chef de la diplomatie syrienne pour discuter du probable retour de Damas dans la Ligue arabe. Les délégations ont notamment mis l'accent sur l'importance du retour des réfugiés syriens.
Rassemblant des dirigeants régionaux, la France a coorganisé avec l'Irak la deuxième édition de la Conférence de Bagdad à Amman. L'objectif affiché était de soutenir la souveraineté irakienne, Emmanuel Macron s'en est pris à l'influence iranienne.
Trois policiers ont été tués au cours d'un raid contre des émeutiers violents dans le sud de la Jordanie. En raison d'une hausse des prix du carburant, le royaume hachémite est déstabilisé par une vague de colère sans précédent.
Les autorités jordaniennes ont annoncé qu'elles maîtrisaient la situation après la chute d'un conteneur suivie d'une fuite de gaz toxique qui a entraîné la mort de plus d'une dizaine de personnes, tandis que plus de 250 autres ont été blessées.
Une bagarre a éclaté au cours d'une session du Parlement jordanien consacrée à la discussion d'un projet d'amendement à la constitution proposé par le gouvernement, poussant le président à ajourner la session.
La Fédération jordanienne a réclamé à la Confédération asiatique de vérifier le sexe de la gardienne de l'Iran titulaire lors d'un match de qualifications pour la Coupe d'Asie féminine. L'Iran fustige «une excuse pour ne pas accepter la défaite».
L'ancien prince héritier et demi-frère du roi Abdallah II de Jordanie a annoncé avoir été «assigné à résidence» dans son palais d'Amman, après avoir été accusé par l'armée d'activités contre «la sécurité du royaume».
Il y a 10 ans, au Moyen-Orient naissait un mouvement de contestation qui s’est propagé à une vitesse phénoménale et dont les conséquences ont modifié le paysage géopolitique d’une région toute entière. Que reste-t-il aujourd’hui du printemps arabe ?
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a annoncé le 17 mai la mise en place, à partir du 1er juillet, d'une stratégie visant à appliquer le plan de paix israélo-américain, qui prévoit notamment d'annexer des pans de la Cisjordanie.
Cette initiative ambitieuse du président américain est censée régler l'éternel conflit israélo-palestinien. Or, pour être mise en œuvre, elle devra encore obtenir l’accord des Palestiniens et surmonter le scepticisme de la communauté internationale.
Dans un entretien accordé à France 24, le roi de Jordanie a mis en garde contre un retour de Daesh au Moyen-Orient. Il déplore, en outre, les tensions grandissantes entre les Etats-Unis et l'Iran.
Yves Bonnet, ancien patron de la DST, a fait de nouvelles révélations à la justice sur l'attentat de la rue des Rosiers. D'après lui, le renseignement a passé avec les terroristes un accord visant à éviter de nouvelles attaques sur le sol français.
Dans une interview au New York Times, l’ambassadeur américain en Israël, David Friedman, a affirmé que l’Etat hébreu pouvait légitimement, «sous certaines circonstances», revendiquer sa souveraineté sur des territoires palestiniens en Cisjordanie.
Le souverain jordanien a fait savoir ce 21 octobre qu'il souhaitait amender le traité de paix conclu en 1994 avec son voisin israélien, afin de récupérer deux localités prêtées par Amman à l'Etat hébreu : Baqoura et Ghoumar.
Deux points de passage frontaliers ont rouverts en Syrie : celui séparant le pays de la partie du Golan occupée par Israël, ainsi que celui qui est à la frontière avec la Jordanie après la reprise par Damas de plusieurs pans de son territoire.
Paris a annoncé le 23 juillet qu'elle accueillerait un certain nombre de Casques blancs, une organisation controversée se présentant comme humanitaire, dont plusieurs centaines de membres ont été récemment exfiltrés de Syrie en Jordanie.
Exfiltrés de Syrie en Jordanie, des centaines de Casques blancs, organisation soupçonnée de liens avec des groupes terroristes, devraient être transférés vers des pays occidentaux. Supervisée par l'ONU, l'opération aurait été réclamée par Washington.
Sous l'égide de Moscou, et en raison des succès de l'armée syrienne, un accord avec des rebelles affiliés à Daesh et des combattants de l'ASL a été conclu à Deraa. Réfugiés à la frontière avec la Jordanie, des milliers de Syriens seraient de retour.