La ministre hongroise de la Justice a annoncé travailler à l'instauration de sanctions contre les réseaux sociaux en cas d'«abus systématiques» consistant à limiter de façon arbitraire la liberté d'expression.
La Hongrie est devenue ce 21 janvier le premier pays de l'Union européenne à autoriser le vaccin russe contre le coronavirus Spoutnik V, rejoignant l'Algérie, les Emirats arabes unis, l'Argentine, la Bolivie ou encore la Serbie.
Trois pays européens ont commencé à vacciner leur population contre le Covid-19, alors que la plupart des autres Etats de l'UE, dont la France, s'apprêtent à le faire également. Pendant ce temps, le variant britannique poursuit sa propagation.
Afin de «protéger l'enfant contre les possibles interférences idéologiques ou biologiques», la notion traditionnelle de «genre» ainsi que l'interdiction d'adopter pour les couples de même sexe sont désormais inscrites dans la Constitution hongroise.
Après l'adoption d'un compromis sur l'Etat de droit, permettant la levée des vetos hongrois et polonais sur le budget et le déblocage du plan de relance européen post-Covid, George Soros a estimé que Bruxelles avait capitulé sur les valeurs de l'UE.
Frédéric Taddeï reçoit François-Xavier Bellamy, député européen, Max-Erwann Gastineau, essayiste, David Cayla, économiste, et Françoise Grossetête, ancienne députée européenne.
Les Balkans sont devenus le théâtre de jeux d’influence où s’affrontent les intérêts des Etats-Unis, de la Russie et de la Chine. Quel est l’état des lieux dans cette région à l’histoire douloureuse ?
Le Premier ministre hongrois a vivement critiqué le député européen du Fidesz, son parti, qui a été arrêté le 27 novembre dans une partie fine homosexuelle à Bruxelles, en plein confinement.
L'eurodéputé hongrois Jozsef Szajer, membre du groupe européen PPE, a été arrêté par la police belge alors qu'il participait à une soirée décrite comme une véritable «partouze» en plein confinement.
Budapest s'est félicité d'avoir reçu des échantillons du vaccin russe Spoutnik V et a assuré avoir noué des contacts avec des développeurs chinois et israéliens. Cette décision intervient après des mises en garde de la Commission européenne.
Dans une tribune en réplique à celle de Georges Soros, le Premier ministre hongrois expose sa vision d'une «société protégée», qu'il oppose à la société «multiculturelle et ethniquement mélangée» qui serait «entre les mains des élites globalisées».
Richissime financier, le nonagénaire américain d'origine hongroise George Soros est l'auteur d'une récente tribune dans L'Obs. Il y exprime son souhait que ni la Hongrie ni la Pologne ne puissent bénéficier des fonds communautaires de l'UE.
Le Premier ministre polonais a défendu le blocage de l'adoption du budget de l'UE par son pays, qui refuse que le versement de fonds européens soit lié au respect de l'Etat de droit. Le Parlement européen, pour sa part, ne veut pas céder.
Alors que Budapest et Varsovie ont opposé leur veto à l'adoption du budget européen 2021-2027, l'Allemagne s'est dit convaincue qu'une solution serait rapidement trouvée. Le président du PPE Donald Tusk demande l'exclusion du parti de Viktor Orban.
La Hongrie et la Pologne ont opposé leur veto à l'adoption du budget européen 2021-2027, ainsi qu'au plan de relance de 750 milliards d'euros défini pour relancer l'économie mise à mal par la crise du Covid-19.
Nouveau développement dans la politique familiale hongroise : le gouvernement a déposé un projet d'amendement disposant d'inscrire dans la Constitution que la mère est une femme, le père un homme» et le sexe celui de la naissance.
La Commission européenne ouvre une procédure d'infraction contre la Hongrie, Budapest ayant durci sa politique d'accueil et souhaitant que les demandeurs d'asile effectuent leur démarche auprès d'ambassades hongroises situées hors de l'UE.
L'UE a dénoncé les mesures du gouvernement Orban, qui s'inquiète de l'influence du milliardaire controversé dans le pays. En cause, des mesures ayant poussé l'Université d'Europe centrale, créée par George Soros, à déménager partiellement à Vienne.
Rejetant les critiques de la Commission européenne contre la fermeture des frontières de son pays afin d’endiguer le coronavirus, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a prédit l'adoption de mesures similaires ailleurs sur le continent.
Le gouvernement hongrois a annoncé qu'il allait totalement interdire l'accès à son territoire pour les non-résidents dès le 1er septembre, afin de tenter d'enrayer la hausse du nombre des contaminations par le nouveau coronavirus.