SIDERANT

Suite à la dénonciation par le chef russe du renseignement extérieur d'une «intensification de l'ingérence américaine en amont des élections législatives slovaques», Bratislava a dénoncé une «ingérence inadmissible» de Moscou, qui dément.
Interrogée en exclusivité pour RT en français depuis l'Assemblée générale de l'ONU, la porte-parole de la diplomatie russe a évoqué l'échec de l'Occident à marginaliser Moscou et tancé Paris pour son échec dans le Haut-Karabagh.
A la veille des élections parlementaires prévues à la mi-octobre, le président polonais a profité de sa venue à l'ONU pour défendre les intérêts de ses agriculteurs, contre les demandes de libre-échange de Kiev.
Un convoi de 600 tracteurs s'est dirigé vers Sofia pour protester contre la levée de l'interdiction portant sur l'importation de céréales ukrainiennes. Les agriculteurs dénoncent une concurrence déloyale et le non-respect des normes européennes.
La levée par Bruxelles de l'interdiction d'importation de céréales ukrainiennes pour cinq Etats de l'UE a suscité l'opposition immédiate de la Hongrie, de la Pologne et de le Slovaquie.
Le ministre hongrois de l’Agriculture a déclaré que son pays élargirait le spectre des restrictions en vigueur contre les produits agricoles ukrainiens si Bruxelles ne maintenait pas ses actuelles mesures de sauvegarde.
Rosatom a annoncé le début des travaux de construction à la centrale nucléaire hongroise de Paks. Deux tranches, de 1 200 mégawatts, doivent sortir de terre d’ici 2030 dans cette centrale qui fournit près de la moitié de l’électricité du pays.
Le président russe s'est entretenu ce 14 août avec Alexeï Likhatchov, directeur général de l'agence d'énergie atomique Rosatom. Ce dernier a présenté un bilan des dernières réalisations de l'entreprise et ébauché des perspectives prometteuses.
Alors que l’Union européenne planche sur un nouveau soutien financier de 20 milliards d'euros à l’effort de guerre ukrainien, le chef de la diplomatie hongroise regrette que les 27 s’enlisent dans une logique de guerre.
Dans un entretien accordé à la radio publique Kossuth, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a fustigé le rôle des États-Unis dans la guerre qui secoue l’Ukraine et s’est montré sceptique quant à la communication de Kiev.
Avant de s'envoler pour Bruxelles, où se tient un sommet des dirigeants de l'Union européenne, le Premier ministre hongrois a publié le 29 juin une déclaration critique à l'encontre du bloc européen.
Les analyses du chef d'Etat hongrois tranchent avec les avis occidentaux. Pour Viktor Orban, la rébellion de Wagner n'est en rien un signe «de faiblesse» de Moscou. Il affirme également que Vladimir Poutine ne sera pas remplacé.
Le chef de la diplomatie hongroise a fait savoir que l'entrée de l'Ukraine au sein de l'Union européenne était conditionnée au respect des minorités de Transcarpatie. D'après Budapest, l'enseignement du hongrois a été réduit dans cette région.
Depuis 1999, la Hongrie fait partie de l’UE et de l’OTAN. Cependant, Budapest s’est aujourd’hui acquis une réputation d’entité désobéissante au sein de l’Europe, ignorant délibérément les sanctions imposées contre la Russie...
La Cour de justice de l’Union européenne a condamné la Hongrie pour avoir obligé les demandeurs d’asile, durant la crise sanitaire, à se tourner préalablement vers ses ambassades. Budapest a regretté cette décision.
Après avoir récupéré trois prisonniers ukrainiens en Hongrie, Kiev attaque ouvertement Budapest, l'accusant de faire le jeu «de la partie russe et de la propagande russe». Malgré les démentis de la partie hongroise, l'UE demande plus d'informations.
Le sénateur républicain James Risch a annoncé qu’il bloquerait une importante vente d’armes américaines aux autorités hongroises tant qu’elles n’auraient pas approuvé l’élargissement de l’OTAN à la Suède.
Au lendemain d’un accord entre les ministres de l’Intérieur européens, ouvrant notamment la voie à une relocalisation contraignante des migrants au sein de l’UE, le gouvernement hongrois condamne un passage en force des instances européennes.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a rencontré le 5 juin le directeur général de Rosatom Alexeï Likhatchev à propos de l'agrandissement de la centrale nucléaire hongroise de Paks.
Berlin et Amsterdam ont émis des «doutes» sur la capacité de Budapest à gérer la présidence du Conseil de l'UE au second semestre 2024. L'Allemagne et les Pays-Bas reprochent notamment à la Hongrie le maintien des contacts avec Moscou.