L'éditeur de logiciels pour les établissements de santé Dedalus France a indiqué avoir identifié parmi ses clients 28 laboratoires concernés par la fuite de données médicales qui a touché près de 500 000 personnes.
3,2 milliards d'adresses email et mots de passe ont été publiés sur un forum de piratage. Cette fuite reprend des données volées dans le cadre de précédentes attaques. Le site CyberNews propose un outil pour savoir si les internautes sont concernés.
Un pirate informatique est parvenu à augmenter dangereusement la teneur en hydroxyde de sodium de l'eau produite par une usine de Floride. L'action malveillante a cependant été rapidement détectée et la population locale n'a pas été mise en danger.
Hors service depuis qu'Amazon a décidé de lui couper l'accès à ses serveurs, le réseau social Parler accuse le géant du web d'avoir favorisé le piratage de ses centres de données.
Le site internet du club de football professionnel parisien a subi une attaque informatique revendiquée par des hackers du Bangladesh. Ceux-ci ont réclamé des «excuses à tous les musulmans» de la part de la France sous peine de «vengeance».
Les comptes Twitter de nombreuses personnalités ont été piratées. Des tweets frauduleux en provenance de leur compte invitaient leurs abonnés à envoyer des bitcoins pour en gagner davantage.
A Izmir, des inconnus ont piraté le système d'appel à la prière des mosquées pour diffuser l'hymne italien de résistance «Bella Ciao». Le porte-parole du président turc a affirmé que «les auteurs de cet acte répugnant ser[aient] retrouvés.»
La Russie a rejeté les accusations allemandes selon lesquelles des piratages russes auraient visé la chancelière allemande en 2015, quelques jours après de vives remarques d'Angela Merkel à ce sujet.
Le chef du gouvernement allemand a affirmé le 13 mai détenir des «preuves tangibles» de tentatives «scandaleuses» de piratage russes qui l'auraient visée à la chancellerie.
La Russie avait dans un premier temps été suspectée d'avoir piraté les comptes personnels de plusieurs personnalités publiques allemandes. Mais les forces de l'ordre ont identifié le coupable : un lycéen âgé de 20 ans.
Dans des documents rendus publics par des hackers se revendiquant d'Anonymous, l'ONG Institute for Statecraft, financée en partie par Londres, fournit des conseils de narration antirusse sur l'affaire Skripal, destinés notamment aux médias.
Responsables politiques, journalistes, vedettes : des centaines de personnalités publiques, dont Angela Merkel, ont vu leurs données personnelles divulguées sur Internet. Le renseignement allemand soupçonnerait un groupe de hackers russes.
Un groupe de hacker qui affirme avoir piraté des compagnies d'assurances impliquées dans le règlement financier de l'attaque du 11 septembre 2001 veut vendre les documents récupérés contre des Bitcoin, promettant de «fournir des réponses».
Une importante vulnérabilité de la plateforme a permis à des pirates informatiques d'accéder à 50 millions de comptes Facebook et de les utiliser comme s'ils en étaient les titulaires. 40 autres millions de comptes pourraient avoir été touchés.
Depuis deux ans, Donald Trump fait face à des accusations de collusion avec la Russie. Si l'enquête atteint des sommets de complexité, un constat simple s'impose : depuis 2016, aux Etats-Unis, le pouvoir judiciaire est en guerre contre l'exécutif.
La Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) va bientôt accueillir dans ses murs une unité spécialisée dans les logiciels espions, qui pourront être utilisés dans le cadre de procédures judiciaires ne concernant pas seulement le terrorisme.
Un million de personnes, en pensant mettre à jour Whatsapp, ont téléchargé une fausse application qui était un malware publicitaire. En cause : une faille dans le Play Store de Google.
Malgré leur technologie de cryptage avancée, les cryptomonnaies ne seraient pas à l'abri des voleurs. Le développeur d'antivirus russe a identifié un programme malveillant, CryptoShuffler, qui vole les identifiants des possesseurs de Bitcoins.
Les conclusions d'une étude à 360 000 euros n'allaient manifestement pas dans le sens souhaité par la Commission européenne. Après deux demandes restées sans réponse, une députée européenne a réussi à se faire communiquer le document.
Alors que WikiLeaks assure avoir authentifié au moins 21 075 des 74 000 courriels supposés venir de l'équipe de campagne d'Emmanuel Macron, les internautes listent et commentent leur contenu. Des investigations à la pertinence parfois discutable.