RIPOSTE

Le ministre de la Pêche des îles Féroé (pays constitutif du Royaume du Danemark mais qui n'appartient pas à l'Union européenne), a annoncé le prolongement, pour un an, de l'accord de pêche entre son pays et la Russie.
Une circulaire du 16 septembre enjoint aux préfets de réduire les délais d'instruction des projets de parcs éoliens en cours et à venir, malgré de nombreuses oppositions. L'Elysée a confirmé qu'un projet de loi sera présenté pour appuyer l'effort.
Le président français a réagi aux propos de la candidate au poste de Premier ministre, qui a refusé de dire si elle le considérait comme «ami ou ennemi» de son pays. Pour Emmanuel Macron, les deux pays sont alliés, quels que soient leurs dirigeants.
L’Union européenne et le Royaume-Uni sont parvenus à un accord sur les quotas de pêche pour un an dans leurs eaux partagées. Mais cet accord ne clôt pas le différend entre Londres et Paris sur les licences de pêche.
La France va demander à la Commission européenne d'engager une procédure de contentieux post-Brexit contre le Royaume-uni pour l'obtention d'un certain nombre de licences de pêche, a annoncé le gouvernement.
Les pêcheurs français se sont mobilisés ce 26 novembre dans plusieurs ports et devant le tunnel sous la Manche, afin d'y bloquer le trafic de marchandises pour dénoncer le nombre limité de licences de pêche accordées par le gouvernement britannique.
Des pêcheurs français bloquent ce 26 novembre le trafic des ferries assurant les liaisons avec la Grande-Bretagne, pour exiger le règlement des litiges de pêche post-Brexit avec le Royaume-Uni.
Le Comité national des pêches a annoncé le blocage des accès aux ports de Saint-Malo, Ouistreham et Calais, et au tunnel sous la Manche pour les marchandises. Un «coup de semonce» afin d'obtenir l'octroi rapide de licences de pêche par Londres.
Le gouvernement a évoqué un plan d'indemnisation des pêcheurs français qui n'ont pas obtenu le renouvellement de leurs licences dans les eaux britanniques. L'annonce a déclenché une tempête de critiques des professionnels et de l'opposition.
Paris n'instaurera pas de sanctions contre Londres avant une réunion censée régler le litige sur la pêche entre le secrétaire d'Etat britannique chargé du Brexit David Frost et le secrétaire d’Etat chargé des Affaires européennes, Clément Beaune.
Liz Truss, ministre des Affaires étrangères britannique, a exigé que Paris retire ses menaces et trouve une solution sous 48h, faute de quoi Londres enclenchera le mécanisme de règlement des différends pour faire respecter les accords du Brexit.
En marge du sommet du G20, Emmanuel Macron et Boris Johnson se sont entretenus au sujet des tensions franco-britanniques sur les licences de pêche. Sauf que le ton des autorités britanniques sur cette entrevue diffère du ton de la partie française.
Le Premier ministre britannique Boris Johnson s'est plaint auprès de la Commission européenne des menaces «complètement injustifiées» de Paris à propos des licences de pêche. Londres préparerait «activement» une procédure inédite contre la France.
Le ton monte de chaque côté de la Manche : Emmanuel Macron a estimé que l'attitude de Londres n'était «pas une grande preuve de [...] crédibilité» et Boris Johnson a annoncé qu'il ferait «le nécessaire pour défendre les intérêts britanniques».
En pleine escalade entre Londres et Paris autour des licences de pêche post-Brexit, les pêcheurs britanniques dénoncent une politisation du dossier par le gouvernement français, mais ils blâment aussi la surpêche.
Joffrey Bollée, membre de la direction des Patriotes et François Poulet-Mathis, journaliste, spécialiste des questions européennes étaient invités à revenir sur les tensions franco-britannique au sujet de la pêche.
Le torchon brûle entre Paris et Londres. La Grande-Bretagne a annoncé «convoquer l'ambassadrice française» après les menaces de rétorsion formulées par la France à propos des licences de pêche post-Brexit.
Deux navires de pêche britanniques ont été verbalisés à la suite de contrôles effectués au large du Havre, nouvel épisode du conflit sur les licences de pêches sur lequel Paris veut saisir la Commission européenne. Londres appelle à la désecalade.
Engagé dans un bras de fer avec Londres au sujet du respect d'un contrat conclu après le Brexit portant sur les licences de pêche, le gouvernement français a menacé Londres de mettre en place des sanctions à partir du 2 novembre.
Bruno Margolle, président de la FEDOPA et Paul Thomson, vice-président du Parti conservateur britannique, étaient invités à débattre des tensions post-Brexit et plus particulièrement sur le sujet des licences accordées aux pêcheurs français.