ANALYSE

Plusieurs milliers de personnes ont défilé à Paris à l’appel du parti de Florian Philippot, en faveur des motions de censure déposées contre le gouvernement. Celui-ci a en effet enclenché l'article 49.3 pour faire passer la réforme des retraites.
Un nouveau rassemblement a eu lieu le 14 janvier dans les rues de Paris, à l’appel du parti de Florian Philippot, afin de dénoncer la politique du gouvernement et d'appeler à la sortie de l’Union européenne et de l’OTAN.
Le parti souverainiste Les Patriotes, présidé par Florian Philippot, a organisé ce 17 décembre un nouveau rassemblement dans la capitale. Son mot d’ordre reste inchangé : défendre les libertés des Français.
En charge de la distribution d'électricité, l'entreprise Enedis a annoncé que les personnes dont l'équipement médical à domicile dépend d'une alimentation électrique ne seraient pas épargnés par les coupures, ce qui a suscité un vif émoi.
Plusieurs personnalités se sont émues d'apprendre que les mascottes de l'événement sportif, censées «incarner l'esprit français» selon le comité d'organisation des Jeux, seront produites essentiellement par l'industrie chinoise.
L'acquisition de Twitter par Elon Musk a satisfait l'ancien président américain Donal Trump, selon qui le réseau social est dorénavant «entre de bonnes mains». En France, cette prise de contrôle par le milliardaire ne fait pas consensus.
Plusieurs milliers de personnes ont de nouveau répondu à l'appel à manifester lancé par Florian Philippot, président des Patriotes. La mobilisation entend dénoncer la politique française et plus largement européenne concernant le conflit en Ukraine.
Des centaines de personnes se sont réunies place Denfert-Rochereau, en présence notamment d'Eric Zemmour, tandis que les députés du RN observaient une minute de silence devant l'Assemblée, pour dénoncer le meurtre de Lola et d'autres victimes.
Le laboratoire suscite à nouveau la controverse pour avoir indiqué que son vaccin n'avait pas été testé quant à sa capacité à prévenir la transmission de la maladie avant d'être mis sur le marché, et pour son manque de transparence sur les contrats.
Le parti présidé par Florian Philippot a réuni à Paris, ce 8 octobre, des partisans de la sortie de la France de l'OTAN et des contempteurs de la politique énergétique du gouvernement. L'eurodéputé Gilbert Collard était de la mobilisation.
A l'appel du président des Patriotes Florian Philippot, un rassemblement s'est tenu à Paris le 17 septembre pour protester contre la politique de rationnement d'Emmanuel Macron et demander sa destitution, et plus largement contre l'OTAN et l'UE.
La chaîne d'information a présenté des excuses après avoir nié l'existence d'une manifestation qui s'est bien déroulée le 3 septembre dans la capitale française. Elle avait faussement mis en cause une opération de «propagande russe».
Le parti mené par Florian Philippot a réuni de nombreux manifestants à Paris le 3 septembre, pour la «destitution» du président de la République, la sortie de l'Alliance atlantique ou encore la sortie de l'Union européenne.
Les changements annoncés au sein de l'équipe gouvernementale le 4 juillet ont été vivement critiqués par les oppositions de gauche et de droite, qui ont dénoncé entre autres la reconduction de Gérald Darmanin et le retour de Marlène Schiappa.
A gauche comme à droite, plusieurs personnalités politiques critiquent le déplacement à Kiev du président de la République. Il lui est notamment reproché un opportunisme électoraliste à quelques jours du second tour des élections législatives.
L'ancien Premier ministre Manuel Valls a fermé son compte Twitter après son énième défaite électorale lors des législatives. Une décision largement commentée sur les réseaux sociaux par ses adversaires politiques autant que par le monde médiatique.
Interrogé par RT France sur la prise de parole du président ukrainien à l'ouverture du Festival de Cannes, le président des Patriotes a regretté un «mélange des genres». Il a fait savoir sa «gêne» concernant cette stratégie de communication.
Le président des Patriotes, qui soutient Nicolas Dupont-Aignan pour le premier tour, a annoncé qu’il appellera à voter pour le candidat qui fera face à Emmanuel Macron au second tour, «quelle que soit la personne».
Dans une interview sur TF1, le Premier ministre a utilisé une formule surprenante en défendant le renforcement des obligations des allocataires du RSA, évoquant un travail d'intérêt général normalement réservé aux auteurs d'infractions.
Deux semaines après l'interdiction de RT en France, Emmanuel Macron a déclaré que l'interdiction des chaînes françaises au Mali était «le signe d'une course en avant, vers le pire». Un commentaire qui a suscité de nombreuses réactions ironiques.