Opérations de rachat, plans de restructuration, fermetures d'usine... Autant d'annonces inquiétantes pour l'avenir de l'industrie automobile sur le sol français. De fait, de façon globale, le déclin industriel dans l'Hexagone ne date pas d'hier.
Olivier Delamarche et Thomas Bonnet s’intéressent cette semaine aux grandes entreprises qui licencient malgré les aides qu’elles ont perçues de l’Etat.
Quelques milliers de personnes se sont rassemblées devant l'usine Renault de Maubeuge ce 30 mai pour manifester contre la décision du constructeur automobile de supprimer environ 15 000 emplois dans le monde, dont 4 600 en France.
Le constructeur automobile français Renault, en difficulté financière, a annoncé ce 29 mai la suppression d'environ 15 000 emplois dans le monde, dont 4 600 en France, dans le cadre d'un plan d'économies de plus de 2 milliards d'euros sur trois ans.
Frédéric Taddeï reçoit Jean-Michel Quatrepoint, journaliste économique, et Nicolas Bouzou, économiste.
Laissant au groupe Renault la priorité pour annoncer ou démentir des fermetures d’usines, le gouvernement, qui s’apprête à lui offrir un prêt garanti, n’a pas semblé les exclure.
Alors que l'Etat, premier actionnaire de Renault, a volé au secours de l'entreprise en garantissant un prêt bancaire d'environ 5 milliards d'euros, la marque au losange envisagerait la fermeture de sites de production. La CGT s'insurge.
Les bourses de Paris, Francfort, Londres, Madrid et Zurich ont toutes chuté à cause de la propagation de l'épidémie de coronavirus. La directrice du FMI estime que le virus Covid-19 pourrait «mettre en péril» la reprise de l'économie mondiale.
L'ex-PDG de Renault estime que sa démission n'en est pas une et réclame ses droits à la retraite. Il attaque donc son ancien employeur en justice et lui demande plus de 15 millions d'euros, en plus d'une retraite.
Magali Forestier reçoit Patrick Mennucci, ancien député et conseiller municipal de Marseille, Florian Philippot, président des Patriotes, ainsi que Jean-Pierre Mercier, délégué syndical CGT Groupe PSA Peugeot-Citroën.
Dans La Grande Interview, Samantha Ramsamy reçoit Carlos Ghosn, ancien PDG de Renault-Nissan.
Dans La Grande Interview, Jean-Marc Sylvestre reçoit Jean-Yves Le Borgne, avocat de Carlos Ghosn.
Le ministre de l’Economie a souligné en ce début d’année que la France voulait relancer sa coopération économique avec la Russie. Or cette volonté se heurte aux sanctions extraterritoriales américaines, contre lesquelles Bercy cherche une parade.
La femme de l'ex-patron de Renault et Nissan est soupçonnée de fausses déclarations devant un tribunal de Tokyo en avril 2019. Elle a qualifié cette mesure de «vengeance des procureurs japonais» qui voudraient «mettre la pression» sur son mari.
Ce 30 décembre, l'ancien PDG de Renault-Nissan a quitté le Japon pour rejoindre le Liban, son pays natal, échappant ainsi à la justice japonaise. Mais des zones d'ombre persistent, notamment sur les conditions de son voyage.
De l’extrême droite à la gauche incarnée par le Mouvement 5 étoiles, en passant par les éditorialistes et les syndicats, l’Italie unanime fustige le rôle de la France dans l’échec de la fusion entre les deux constructeurs.
Selon des informations rapportées par Marianne, Rachida Dati et Alain Bauer sont sous le coup d'une enquête du PNF pour des montants qui auraient été perçus via une filiale de Renault-Nissan. L'avocat de l'ancienne ministre a immédiatement démenti.
Alors que Carlos Ghosn est visé par plusieurs procédures judiciaires, une vidéo montrant la fête grandiose qu'il a organisée à Versailles pour ses 60 ans a fuité. Une sauterie à 634 000 euros réglée par la filiale néerlandaise de Renault-Nissan.
Selon les médias japonais, il est «extrêmement rare» qu'un suspect soit ré-arrêté après avoir été relâché : c'est pourtant bien ce qui est arrivé au magnat déchu de l'automobile, Carlos Ghosn. La veille, il s'était engagé à «dire la vérité».
Le successeur de Carlos Ghosn rêve-t-il d’absorber totalement Nissan puis d’avaler Fiat Chrysler ? Le quotidien britannique de référence pour les marchés Financial Times l’affirme.