POLÉMIQUE

Vladimir Poutine, Hassan Rohani et Recep Tayyip Erdogan, qui se rencontraient ce 4 avril à Ankara, en Turquie, ont annoncé qu'ils organiseraient un prochain sommet sur la Syrie, appelant à un «cessez-le-feu durable» dans le pays.
Tandis que les Occidentaux ont échoué à imposer leurs buts de guerre en Syrie, et malgré une dégradation de la situation au début de l'année, les trois puissances garantes du processus de paix d'Astana se retrouvent autour de la même table.
Pour sa première visite à l'étranger depuis sa réélection, Vladimir Poutine se rend pour deux jours en Turquie, à l'invitation de Recep Tayyip Erdogan, afin d'évoquer le renforcement des liens bilatéraux et la résolution du conflit en Syrie.
Dans un contexte de détente entre les deux Etats, le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un et le président sud-coréen Moon Jae-in vont se rencontrer pour un sommet historique fin avril, où ils discuteront de la réconciliation nationale.
L’Etat d’Israël connaît de nombreuses guerres depuis sa création. Pour certains militants israéliens se réconcilier avec la Palestine est le seul moyen d’obtenir une paix durable. Ils sont prêts à lutter malgré les réactions de leurs compatriotes.
L'ancien Premier ministre de Jacques Chirac a rappelé au micro de RTL que la France était «partie prenante» dans le conflit syrien et a appelé au dialogue avec «les différents belligérants» : notamment Bachar el-Assad et la Russie.
Interpellé à l'Assemblée nationale sur la question palestinienne, Jean-Yves le Drian a affirmé que la France comptait reconnaître l'Etat palestinien – au moment qui sera jugé «opportun» par Emmanuel Macron.
Sur le vol qui le ramenait du site olympique des Jeux d'hiver à Pyeongchang en Corée du Sud, le vice-président Mike Pence a assuré aux journalistes que l'objectif d'isoler Pyongyang économiquement et diplomatiquement était partagé par Tokyo et Séoul.
Pendant deux jours, Sotchi a été le théâtre d'une nouvelle session de pourparlers de paix sur la Syrie à l'initiative de la Russie, de l'Iran et de la Turquie. L'envoyé de l'ONU pour la Syrie s'est réjoui des avancées, qui se poursuivront à Genève.
Le Conseil central de l'OLP a voté le 15 janvier en faveur de la suspension de la reconnaissance de l'Etat d’Israël, remettant en question les accords d'Oslo et créant une entrave supplémentaire au processus de paix déjà mal en point.
Après une escalade des tensions entre Washington et Pyongyang, Kim Jong-Un avait évoqué une ouverture des discussions avec Séoul à l'occasion des JO d'hiver. Le 2 janvier, la Corée du sud ouvre à son tour la voie à des discussions pour le 9 janvier.
L’ambassadeur de Syrie auprès des Nations unies, Bachar al-Jaafari, a demandé le 22 décembre aux troupes américaines et turques de quitter le pays au plus vite. Damas n'a jamais autorisé Washington ni Ankara à y déployer des forces militaires au sol.
Pour Emmanuel Dupuy, spécialiste de la sécurité et des relations internationales, la rencontre surprise de Vladimir Poutine et Bachar el-Assad le 11 décembre montre la position privilégiée de la Russie dans la résolution politique du conflit syrien.
Vladimir Poutine est arrivé au Caire le 11 décembre pour rencontrer son homologue égyptien. Les deux dirigeants ont parcouru les divers sujets économiques et diplomatiques qui lient leurs deux pays, notamment le dossier israélien.
En marge du sommet réunissant les trois chefs d'Etat de la Russie, de l'Iran et de la Turquie, Vladimir Poutine a annoncé le début de la phase politique de résolution du conflit syrien. Le processus s'inscrira dans le respect du droit international.
Les présidents russe, turc et iranien se rencontrent à Sotchi pour «œuvrer au règlement de long terme du conflit» en Syrie. Les trois pays se veulent garants du processus de paix.
Après sa rencontre avec Bachar el-Assad, Vladimir Poutine a téléphoné à Donald Trump pour faire le point sur plusieurs dossiers brûlants. Malgré les vents contraires, les deux hommes s'efforcent de coordonner leurs diplomaties.
Les efforts communs de la Russie, de la Turquie et de l'Iran pour régler la crise syrienne sont productifs car la violence dans le pays va décroissant, a estimé le président russe Vladimir Poutine à l'issue de sa rencontre avec son homologue turc.
La Russie a démenti avoir annulé la conférence de paix sur la Syrie qu'elle prévoyait d'organiser à Sotchi, dans le sud du pays. Cette rencontre à laquelle sont conviés le gouvernement et l’opposition vise à relancer le dialogue politique.
Tandis qu'un navire de guerre américain rejoint les côtes sud-coréennes dans l'optique de probables exercices militaires, Pyongyang hausse le ton contre la «frénésie» belliqueuse qu'elle décèle en Washington.