SIDERANT

Dans un texte publié sur Facebook le 9 août, Sahra Wagenknecht, députée allemande de gauche, a fustigé l’attitude des dirigeants occidentaux dans le dossier ukrainien. Des propos qui illustrent les divergences de vues allemandes sur le conflit.
Dans un entretien accordé à la radio publique Kossuth, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a fustigé le rôle des États-Unis dans la guerre qui secoue l’Ukraine et s’est montré sceptique quant à la communication de Kiev.
Selon un court extrait vidéo partagé sur les réseaux sociaux, l'ancien président français François Hollande se serait exprimé sur les accords de Minsk auprès d'un interlocuteur qu'il pensait être Petro Porochenko.
Sans faire spécifiquement référence au récent plan chinois de règlement du conflit en Ukraine, le président biélorusse a exprimé son soutien total à l'«initiative pour la sécurité internationale» de Pékin.
Alors que la France soutient diplomatiquement et militairement l'Ukraine, Emmanuel Macron a appelé les belligérants à se mettre «autour d'une table» quand les Ukrainiens «le décideront». Moscou de son côté s'impatiente du refus de Kiev à cet égard.
«Ils devraient d'abord quitter notre territoire, ensuite on verra», a déclaré le président ukrainien, au sujet de potentielles négociations de paix avec les Russes. En avril, Volodymyr Zelensky affirmait encore que Kiev était prêt à des pourparlers.
Le porte-parole du Kremlin a fait savoir que Vladimir Poutine recevrait Antonio Guterres le 26 avril à Moscou. Le patron de l'ONU s'entretiendra également avec le chef de la diplomatie russe, dans le contexte d'opération militaire en Ukraine.
Vladimir Poutine a reçu les dirigeants arménien et azerbaïdjanais à Moscou pour discuter de l'avenir du Haut-Karabagh. «La situation est maintenant calme dans la région», a estimé le président russe.
Lors de son discours à l'Assemblée générale de l'ONU, Recep Tayyip Erdogan a appelé «à faire baisser les tensions» en Méditerranée orientale, déclarant par la même occasion être «prêt pour commencer des pourparlers exploratoires» avec la Grèce.
L'ancien président iranien Mahmoud Ahmadinejad a envoyé des lettres aux belligérants du conflit au Yémen ainsi qu'au Secrétaire général de l'ONU pour se proposer comme médiateur dans la résolution du conflit au Yémen.
Au moment où les forces du Gouvernement libyen d'union nationale (GNA) s'apprêtent à reprendre la ville de Syrte, jusqu'alors aux mains des forces du maréchal Haftar, celui-ci s'est montré favorable au cessez-le-feu proposé par l'Egypte.
Abdullah Abdullah, rival du président d'Afghanistan Ashraf Ghani, a été nommé à la tête du conseil de paix afghan afin de mener des pourparlers avec les Taliban. Les négociations de paix étaient au point mort depuis plusieurs mois.
Plusieurs pays, dont le Yémen, la Syrie ou les Philippines, mais aussi des groupes rebelles tels que l'ELN en Colombie ou le Socadef au Cameroun, ont répondu favorablement à l'appel de cessez-le-feu lancé par l'ONU face à la pandémie de Covid-19.
Les forces américaines en Afghanistan ont annoncé le 9 mars qu'elles avaient entamé leur retrait d'Afghanistan, prévu dans le récent accord de paix signé avec les Taliban, pour réduire leurs effectifs de 13 000 à 8 600 militaires.
Donald Trump a dévoilé, ce 28 janvier, son plan de paix pour le Proche-Orient au côté de Benjamin Netanyahou. Prévoyant notamment «la souveraineté israélienne sur des territoires» occupés, ce plan a peu de chance d'être accepté par les Palestiniens.
La Libye se dirige-t-elle vers une période de paix durable ? Grâce à l'entreprise diplomatique des présidents turc et russe, le maréchal Khalifa Haftar et Fayez al-Sarraj, en conflit depuis avril dernier, ont accepté un (fragile) cessez-le-feu.
Une trentaine de chefs d'Etat et de gouvernement sont attendus au Forum de Paris sur la Paix, qui ambitionne d'être un relais d'actions concrètes sur les défis tels que le changement climatique, les inégalités ou encore la désinformation.
Une nouvelle réunion au «format Normandie» sur la crise ukrainienne est attendue depuis plusieurs semaines. Or, selon le porte-parole du Kremlin, les incessants changements de position de Kiev empêchent la préparation d'une telle rencontre.
Un accord a été décidé par toutes les parties sur la mise en place de la «formule de Steinmeier» en Ukraine. Une avancée importante vers le règlement du conflit qui fait rage dans l'est du pays. La nouvelle a été accueillie avec espoir à Moscou.
Dans un interview exclusive accordée à RT, le négociateur en chef des Taliban, Shir Mohammad Abbas Stanikzai, a commenté l'arrêt des négociations entre les Américains et l'organisation islamiste. Et a adressé un avertissement à Washington.