VIDEO

Le pouvoir militaire qui a repris le contrôle de la Birmanie a condamné l'ex-chef du gouvernement pour incitation aux troubles et violation des règles sanitaires. Amnesty International a dénoncé une volonté d'«asphyxier les libertés».
Alors que Donald Trump aurait annoncé s'attendre à redevenir président dès août, son ancien conseiller à la sécurité nationale a déclaré qu'un coup d'Etat «devrait voir lieu» aux Etats-Unis, avant d'affirmer que ses propos avaient été déformés.
Après avoir dénoncé une «intimidation» suite à la prise de contrôle de l'ambassade birmane à Londres par la junte au pouvoir depuis le coup d'Etat militaire, la diplomatie britannique a dit «accepter la décision prise par le gouvernement birman».
Le Kremlin a déclaré ce 29 mars désapprouver la répression sanglante des manifestations pro-démocratie en Birmanie. Il s'inquiète de surcroît de l'importance «croissante» du nombre de morts civils.
Les ambassades de l'UE, des Etats-Unis et du Royaume-Uni en Birmanie ont dénoncé des exactions commises contre des civils par l'armée birmane. Celle-ci défend le putsch en invoquant la fraude électorale présumée lors des élections de novembre.
Un coup d’Etat militaire met fin à une fragile parenthèse démocratique ouverte il y a une décennie. Le changement de pouvoir, l'arrestation d’Aung San Suu Kyi et la répression des manifestations risquent d’avoir un fort impact sur la région.
Le chef de l'Etat a demandé à l'armée de mettre «un terme à la répression en Birmanie, à libérer les personnes détenues et à respecter le choix démocratique du peuple birman» après la prise de pouvoir de l'armée, qui conteste le résultat du scrutin.
Au moins dix personnes sont mortes le 3 mars, après que l'armée a ouvert le feu sur des manifestants. Les ministres des Affaires étrangères de l'Asean appellent de nouveau les militaires à libérer Aung San Suu Kyi.
Selon le leader militaire Min Aung Hlaing, la Birmanie «doit consacrer son énergie à la relance de l'économie en berne du pays». Le 22 février, l'UE et les Etats-Unis ont adopté des sanctions contre des leaders de la junte.
L'armée, qui a renversé le gouvernement d'Aung San Suu Kyi, a déployé des troupes dans plusieurs villes birmanes le 14 février. De violents affrontements avec des manifestants ont eu lieu dans le nord du pays, à Myitkyina.
Depuis 2012, l'UE fournissait une formation à la police birmane pour le contrôle des foules dans le cadre du programme Mypol. Le programme a été suspendu la semaine dernière après le coup d'Etat qui a déclenché un fort mouvement de protestation.
Pour le troisième jour consécutif, des milliers de citoyens ont manifesté pacifiquement dans plusieurs villes de Birmanie pour protester contre la prise du pouvoir par l'armée.
L'armée birmane a perpétré un coup d'Etat et arrêté la chef du gouvernement Aung San Suu Kyi. Les militaires pensent que des fraudes électorales ont entaché les élections de 2020. Les Etats-Unis et l'Union européenne condamnent le putsch.
Plus d’une vingtaine de pays et des dizaines de milliers de personnes et entités sont frappées de sanctions américaines. Administrées par le Trésor, celles-ci sont justifiées par des menaces supposées contre la sécurité des Etats-Unis.
Les réfugiés rohingyas au Bangladesh sont invités à revenir en Birmanie. Mais retourneront-ils dans un pays où ils craignent de ne jamais avoir les mêmes droits que les autres citoyens?
Les députés canadiens ont décidé le 27 septembre, à l’unanimité, de démettre Aung San Suu Kyi de sa nationalité canadienne. Une décision motivée par le silence de la dirigeante birmane face à la répression de la minorité musulmane des Rohingyas.
Des attaques contre la police, des répressions sanglantes de l’armée, des centaines de milliers de réfugiés : la crise des Rohingyas en Birmanie continue d’inquiéter la communauté internationale. Quelles sont ses origines et peut-on faire la paix ?
Bernard Kouchner n'a pas eu de mots assez durs, récemment, pour qualifier le silence d'Aung San Suu Kyi au sujet des Rohingyas. Il avait pourtant été pointé du doigt pour un rapport de 2003 pour Total, accusé de fermer les yeux sur le travail forcé.
Les critiques pleuvent sur la dirigeante birmane, décriée pour son silence au sujet des Rohingyas. BHL, Malala, Desmond Tutu ou encore Bernard Kouchner protestent contre Aung San Suu Kyi à qui le Royaume-Uni retire certains titres honorifiques.
La prestigieuse université britannique d'Oxford a décidé de retirer de ses murs un portrait de la dirigeante birmane Aung San Suu Kyi, ancienne étudiante de l'établissement, dont le pays est accusé par l'ONU de se livrer à une épuration ethnique.